153- Confessions caféinées de cubicule (22MAR25 9/10)!

À chaque fois que vient le temps de me décider à écrire un texte, c'est un combat à finir entre plusieurs idées qui se bousculent : continuer une série interminable, retravailler un vieux texte que je ne veux plus voir, vous lancer dans un fait vécu à l'eau rose stagnante. C'est un mystère digne du triangle des Bermudes. Ayant un penchant pour l'équitabilité, je flanche toujours vers un équilibre, ne favorisant ni l'un ni l'autre.  

C'est un peu la raison pour laquelle je vais vous rabâcher l'esprit avec ma petite série de confessions caféinées de cubicule, une liste de billets qui prend l'apparence d'une combinaison pour la loterie : 94, 113, 114, 118, 121, 126, 129, 145. Petite statistique inintéressante : cette série de textes revient en avant-plan, en moyenne, à tous les 7 numéros. Et voilà, nous y sommes !  

Je vais poursuivre avec vous une histoire fictive (malheureusement) de party de Noël de boulot. Bien sûr, ce genre de dénouement plein de feeeeeelings relève du fantasme ! Rappelez-vous que cette protagoniste que j'utilise pour... ce rêve rempli de désirs... est une femme ronde qui existe, en chair et en os, au bureau. Ouin, je l'ai déjà identifiée comme « fantasme ultime » à certains collègues qui sont dans mes confidences. Figurez-vous donc que dernièrement, je lui ai parlé quelques secondes lors d'une soirée où les retraités de l'année étaient à l'honneur... Ouf ! Ça m'a vraiment pris mon petit change pour l'aborder et me présenter, même si j'ai l'impression d'avoir été un hurluberlu qui a croisé son chemin l'espace d'une pensée magique. Oooooooh oui, l'avoir eue si proche un fugace moment, ma vie a fait une pause pour graver sa voix, son regard et ses courbes dans le granit de ma mémoire... euh... non... dans le grès de ma mémoire, s'effritant au gré du souffle des vents d'une tempête de feelings. Triste mais vrai.  

Puis, j'ai sué ma vie lorsque cette collègue tellement désirée s'est faufilée derrière moi, entre deux groupes, une main sur mon épaule pour m'avertir que son gros ventre glissera sur mon dos. Une chance qu'il y avait des collègues secouristes sachant utiliser le défibrillateur, vous avouerai-je. Jamais je n'aurais cru à cette finalité, vraiment pas. Merci au gros bonhomme barbu dans le ciel, s'il existe, de m'avoir positionné à cet endroit de la salle, au bon moment ! Rien d'autre ne s'est ajouté, ne vous faites pas d'idées. Les rapprochements avec... huuuuum... Mel... je les imagine dans cette histoire fantaisiste de bureau, tellement rêvée.  

Avant de retourner au « party de Noël », une belle ronde de ce monde est apparue sur mes réseaux via un publi-reportage exposant un parcours de type travail-études en Centre de la Petite Enfance. La pub présente un programme qui offre aux milieux de garde la possibilité d'accueillir des étudiants en formation, favorisant ainsi le développement professionnel et l'amélioration de la qualité des services offerts aux enfants. Présenté par Nancywoooow, ton sourire est d'un magnétisme qui impose... hum oui... de l'admiration ! Comment rester concentré devant autant de charisme ? Impossible ! Il m'est facile d'imaginer des histoires comportant mille détours d'une vallée de délicieuses formes, surtout que la propriétaire de ce paysage tient un sourire espiègle ! Ouf, Mlle Nancy, même si la raison d'être de la publicité ne me concerne pas, disons que tu as mon soutien feelings, hihihi ! Directrice adjointe... holala... mes pensées divaguent... vers des coins où la culture populaire eût établi des idées préconçues sur les femmes ayant des positions sociales élevées ! Bon, je m'emporte comme d'habitude, mes fantasmes m'amènent souvent vers des coins peu défrichés. Bonne continuité, chère Nancy, tout en souhaitant que le métier d'éducatrice en Centre de la Petite Enfance continue d'être valorisé !

Je pense que vous reconnaissez ma petite intermède « pub femme dodue », qui commence à être récurrente. Vos courbes sollicitent mes sens sans bon sang. Retournons au programme principal, si vous le voulez bien. Je vous fais un petit résumé de ce qui s'est passé précédemment, au billet numéro 145. Le texte raconte ce moment où je me retrouve face à mon « fantasme absolu »: une collègue nouvellement arrivée, Éloïse. Puis, l'animatrice de la soirée me propose de me joindre à Éloïse, le temps d'une compétition entre nouveaux employés. Des petites péripéties inattendues me... rapprochent de celle-ci ! Un trébuchement maladroit m'aide à me retrouver dans ses bras pour une aventure assez pimentée... hooooolala... c'est fou comment m'imaginer ces scènes avec Mel... non... avec Éloïse réveille des feelings en bas du pubis ! Il faut dire que mon désir pour cette « ronde divine » n'est pas une blague. Voilà où nous en sommes. Continuons mon aventure... que vous pouvez qualifier de quétaine si désiré !  

J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle que mon équipe se moque déjà de moi.
Hey, le tombeur, t’as failli y rester ! J’suis sûr que t’as vu ta vie défiler quand t’as plongé dans l’abîme intersidéral de ses... heu... ben, t’sais, rigole Alex avec son air de toujours tout savoir.  

Je fais mine de ne pas l'entendre, encore trop abasourdi par le message Teams reçu il y a quelques instants. Je ne peux m'empêcher de scruter Éloïse, qui discute avec Michèle à quelques mètres. J'en suis presque au point de renier mes collègues pour ne pas perdre l'idée d'un conte de fées avec cette femme qui bouleverse mes désirs.  

Des groupes passent dans mon champ de vision, l'équipe de l'approvisionnement vient placoter, m'obligeant à lever le verre pour l'année qui vient de passer. Où est Élo ? Shit... elle est partie sans me dire au revoir ? Mon cœur tient un frisson d'élan avant de reprendre où il s'était arrêté.  

Fausse alerte, je la vois dans le coin des amuse-gueules, les courbes de son gros ventre « multi-couches » me font de l'œil. Elle jette un regard en coin vers moi, l’air faussement innocent, mordillant la paille d'un cocktail à la teneur indéfinie. Elle sait... elle sait exactement l’effet qu’elle me fait. Ma propension pour les courbes est bien connue à travers les corridors !  

L’épreuve des cuillères s’est terminée dans un chaos de fous rires et d’échecs spectaculaires. Moi, je suis encore debout… à peu près. Mes jambes sont plus molles qu’un pudding, mon esprit divague entre l’instant présent et l’éventualité d’un « contact prolongé » avec Éloïse. Mais jamais je ne trouverai le courage de m'y lancer à corps perdu, il faudrait de nouveau l'animatrice « entremetteuse ».  

Un petit pas à la fois, une placote par ici et par là, un jeu de chat et souris pour m’approcher d’elle... Le message reçu par Teams n’était pas une invitation à la procrastination sentimentale. J'y suis... sa silhouette est dans ma bulle intime... il m'est interdit de reculer.  

Alors, mon blessé de guerre ? Ton ego a survécu ?  

Sa voix est un délice, une mélodie de miel légèrement taquin.  

Mon ego, oui… ma dignité, on en reparlera, hahaha ! Pour vrai, je... j’ai... hum... tu comprends.  

Elle rit doucement, son ventre tremble sous son chandail de Noël, ses seins se gonflent par une rapide inspiration d'air... ce même air que j'ai expiré. Mes yeux s’attardent un peu trop sur ce spectacle singulier pour les autres, divin pour moi. Je me donne une claque imaginaire pour me ramener sur Terre.  

Viens, on va chercher un verre. J’te dois au moins ça pour t’avoir fait perdre pied… au sens propre comme au figuré !  

Mon cerveau bug. Elle… veut… vraiment… passer... du… temps… avec… moi ? J'étais certain que son invitation Teams n'était que paroles en l'air, une forme d'excuse un peu badine. Pendant que nous traversons la salle, je ressens les regards furtifs de mes collègues, tous en mode « on sait exactement ce qui se passe, vieux cochon ». Alex me lance un clin d’œil appuyé. Mikaël chuchote (trop fort, comme toujours) à Léo :  

Regarde-moi ça, c'est lui qui va scorer c’t’année !  

Je fais abstraction de ce qui est chuchoté, je me concentre sur le poids agréable de la main d’Éloïse me poussant par l'avant-bras, m'empêchant de perdre une milliseconde. Pensant vite-vite à la remarque de Léo, il faut dire que les collègues les plus placoteux y vont d'un concours entre eux, revenant à chaque party de Noël de bureau : qui sera le nouveau ti-couple de la fête !  

Au bar, elle commande un drink style rhum & coke pour m'en donner un également. Nous prenons une gorgée avant qu'elle ne se penche légèrement vers moi.  

Faut qu’on parle…  

Une chaleur monte à mes joues, mon pouls s’emballe. Le ton est sérieux, mais son sourire en coin me rassure.  

Je vais être directe : c’est la première fois que je participe au party de bureau, et je pensais pas m’amuser autant.
Je suis un excellent brise-glace, que veux-tu ! Moi aussi, c'est mon premier party avec ma bande de comiques. Tu ne dois pas les connaître, mais ils sont gentils !
Haha, c’est surtout toi que... je trouvais déjà intriguant avant ce soir. Et là… ben… disons que je suis encore plus curieuse.

Un frisson me parcourt l’échine. Elle ne joue pas, elle ne plaisante pas. Elle est là, avec son regard pétillant et son assurance qui me fait fondre.  

J’ose à peine te demander… curieuse de quoi, exactement ?  

Elle approche son visage du mien, ses lèvres à quelques centimètres de mon oreille.  

Curieuse de voir jusqu’où ton imagination va m’emmener. Tes faits et gestes avec les grosses de la compagnie sont... légendaires !  

BOOM. Cortex en fusion. Feux d’artifice sous ma boîte crânienne. Je m’apprête à répondre quand Michèle, légèrement pompette, s’incruste avec son habituel enthousiasme débordant.  

EHHHHH! Venez danser! Vous avez l’air de comploter un coup pendable, vous deux!  

Éloïse me regarde, un sourire malicieux étirant ses lèvres.  

Ça te tente?  

Si je refuse, je passe à côté d’une chance en or. Si j’accepte… je plonge tête première dans une tentation qui me consume déjà.  

Bien sûr, mais je te préviens… je danse aussi bien que je tiens en équilibre avec une cuillère entre le nez et celui d’une femme qui… me fait… heu… ouin… perdre mes moyens.  

Elle rit, attrape ma main, et nous voilà sur la piste. La suite? Hum. Je n’ose croire que je suis capable de poursuivre ma recherche de feelings au vu et au su de tous. Le tempo de la musique, les lumières colorées et dansantes… je crois bien que l’invitation pour un slow timide et des éclats de rire est lancée!  

Un regard volé vers Xavier et Juliette… ils savent bien que je ne pourrai pas me contenter d’une simple danse innocente. Mon corps tout entier vibre à l’idée d’avoir Éloïse collée contre moi, son ventre moelleux pressé contre le mien, ses cuisses gonflées s’imbriquant contre mes jambes.  

Son regard s’illumine, et sans un mot, elle me guide vers la piste de danse. Le DJ, comme s’il avait flairé l’électricité entre nous, enchaîne avec une chanson langoureuse. Les lumières tamisées, les guirlandes scintillantes et la boule disco ajoutent une ambiance presque irréelle.  

Je pose prudemment mes mains sur ses hanches larges, sentant la chaleur de son corps à travers les coutures tendues de son jean. Elle sourit, amusée par ma retenue alors que je cherche un échappatoire pour ne pas soutenir son regard.  

D’un geste lent mais assuré, Éloïse réduit l’espace entre nous. Son ventre muffin top s’écrase contre mon pubis, mon excitation est im-pos-si-ble à cacher. Elle le sent, et au lieu de reculer, elle se rapproche encore, un soupir effleurant mon cou.  

Hum… j’vois que tu ressens bien la musique, me glisse-t-elle à l’oreille, sa voix vibrante d’espièglerie.
J’pense qu’on a déjà gagné le concours du couple le plus chaud du party, murmuré-je à son oreille.  

Je déglutis, cherchant une seconde répartie, mais elle ne me laisse pas le temps. Ses bras se referment autour de mon cou, et son bassin se meut en une ondulation subtile, presque imperceptible aux yeux des autres, mais terrassante pour moi. Mon souffle s’accélère.  

Je pose une main dans le creux de son dos, glissant imperceptiblement mes doigts sous son chandail, découvrant une peau brûlante et veloutée sous une sueur perlante. Elle frissonne. Ses hanches roulent encore, me rendant fou.  

T’es dangereuse, Éloïse… murmuré-je, ma bouche effleurant sa tempe. Extrêmement même. Es-tu prête à appeler les secouristes si mon cœur flanche?  

Elle rit doucement, mais sa main descend lentement le long de mon dos pour s’arrêter juste au-dessus de mes fesses. Un léger mouvement de bassin, un frisson me parcourt l’échine. J’ai l’impression qu’elle danse autant avec moi qu’avec mon érection déjà bien installée contre son ventre.  

J’me souviens plus de la dernière fois que j’ai fait bander un homme…
Gurlppp…  

Dans un mouvement audacieux, elle guide ma main plus bas, sur la courbe somptueuse de sa fesse droite. Je la caresse à travers le jean, appréciant sa générosité et, je ne m’y attendais pas, elle me mordille discrètement l’oreille en réponse. Elle pivote légèrement, et l’arrondi de ses fesses vient frôler mon entrejambe d’une façon qui me fait presque grogner.  

On a peut-être un peu trop d’audace, ici…
C’est ce qui rend ça excitant, non? réplique-t-elle, sans se détacher de moi.  

Sa bouche est si proche de la mienne. Un centimètre de plus, et on bascule. Mais elle s’éloigne soudainement, me tirant par la main vers l’arrière de la salle.  

Viens.
Où ça? demandé-je en sachant très bien où ce jeu va me mener.  

Elle ne répond pas. Juste un regard brûlant qui me dit tout. Main dans la main, nous quittons la piste de danse. Mon cœur bat à tout rompre. L’adrénaline, le désir, l’interdit du contexte professionnel… tout s’entremêle en une anticipation brûlante.  

On se faufile à travers les couloirs du complexe, jusqu’à une porte à l’abri des regards, une salle de bain pour femmes. Abandonnée et inoccupée, trois cabines muettes occupent le fond. En silence, Éloïse m’attire à l’intérieur, l’éclairage automatique nous fait sursauter, l’odeur de cerise du savon à main embaume l’air.  

Aussitôt, elle m’attrape par le col de ma chemise et m’embrasse avec une faim dévorante. Nos langues se cherchent, nos souffles s’entremêlent, notre salive devient ce nectar aphrodisiaque. Mes mains glissent sur ses hanches, puis remontent sur ses seins lourds, pressés sous son chandail de Noël en déformant les motifs. Elle gémit doucement contre mes lèvres.  

Elle se presse contre moi, nos corps cherchant désespérément plus de contact. Mon érection palpite contre son ventre rebondi, et elle l’accueille en roulant des hanches lentement, sensuellement. Ma tête bouille littéralement sous les feelings qui s’y accumulent.  

Je fais glisser mes doigts, gonflés par un afflux sanguin soudain, sous son chandail, rencontrant la chaleur de sa peau. Un soupir s’échappe de ses lèvres quand mes pouces frôlent ses mamelons à travers son soutien-gorge.  

J’ai envie de toi… mais pas ici, murmure-t-elle. Ça fait plus qu'une éternité que j'attends qu'une histoire semblable réveille mes désirs.  

Elle regarde autour d’elle, comme si elle réalisait soudain que la salle de bain est trop peu appropriée pour y développer pleinement sa passion.  

Suis-moi.  

Dehors, la fraîcheur de la nuit de décembre nous fouette le visage, mais l’adrénaline nous tient en ébullition. Ce serait peu approprié d'aller au vestiaire et d'affronter les regards envieux de nos collègues. Sa voiture, un petit camion sport utilitaire spacieux, est garée un peu à l’écart, comme si le véhicule avait prévu l'issue de cette soirée. Elle ouvre la portière arrière, m’attire à l’intérieur, un désir que je ne réprime pas !  

Dès que nous y sommes installés, elle grimpe à califourchon sur moi, son jean serré frottant contre mon pantalon tendu à l’extrême. Ses mains se glissent sous ma chemise, caressant mon torse, effleurant mes épaules.  

Je défais fébrilement le bouton de son jean, elle m’aide à le descendre, révélant une culotte qui épouse à merveille la courbe de son ventre et de ses hanches rebondies par notre position. Mes mains explorent chaque repli de bourrelet qui me fait capoter. Vergetures ou varices, elles sont une œuvre d'art à mes yeux.  

Elle se cambre, m’offre son cou, que je couvre de baisers humides et brûlants. Mon souffle s’accélère tandis que mes mains glissent entre ses cuisses, caressant la chaleur qui s’y cache.  

Elle gémit, presse son bassin contre le mien, accélérant la danse charnelle qui nous consume. Même si son gros ventre devient une barrière, je trouve les failles de ce rempart. Nos respirations se font plus saccadées, nos mouvements plus impatients.  

La voiture se transforme en un cocon de chaleur et de désir brut. La buée envahit les vitres, témoignant de l’intensité de notre étreinte, de l'humidité que nous gardions pour ce moment. Éloïse, toujours à califourchon sur moi, presse son bassin contre le mien, ses mouvements devenant plus précis, plus impatients.  

J’te veux, souffle-t-elle, ses yeux brillants de désir. C'est complétement débile !

Je glisse mes doigts sous le tissu fin de sa culotte, suivant la couture élastique, touchant la commissure de sa longue vulve. Ouf… trempée n'est pas le mot juste… inondée s’en approche. Un frisson la traverse alors que j’explore prudemment le four de son intimité, hors de contrôle. Son corps réagit instantanément à mes caresses.  

Oh… si tu savais, Éloïse… ce que je pense de toi…  

Ses gémissements feutrés remplissent l’habitacle, se mêlant au bruit léger du cuir froissé sous nos mouvements. Elle s’agrippe à mes épaules, s’ancre à moi pendant que je continue à la faire frémir sous mes doigts qui pénètrent cette barrière interdite, s'enfonçant dans son vagin moelleux, tirant des mouvements involontaires de ses hanches.  

Je ne tiens plus. D’un geste habile, j’abaisse mon pantalon juste assez, libérant mon envie grandissante, ma verge violacée vibrant sous les feelings incontrôlables. Elle m’observe, mordille sa lèvre, puis m’aide à faire tomber le dernier rempart de tissu entre nous, incapable de retirer sa main de cette queue raide comme l'acier.  

Et dans un soupir tremblant, elle s’abandonne en s’empalant sur mon monument érigé. Hooooolala… la sensation de son vagin moelleux épousant chacune des veines pulsantes de mon pénis est ahurissante ! Nos corps s’accordent dans un rythme instinctif, fiévreux, animal. L’espace exigu de la voiture ne fait qu’ajouter à l’intensité du moment. Chaque mouvement est amplifié par la proximité, chaque frisson est ressenti à l’unisson. Même si ses seins géants sont toujours coincés dans son soutien-gorge, mes doigts savent comment traverser les mailles de cette barrière.  

Elle s’accroche à moi, on accélère le va-et-vient, nos muqueuses s’accaparent de chacun des frottements, on se perd dans cette danse charnelle où seuls comptent nos soupirs et nos halètements.  

Les éclairs de plaisir augmentent d'intensité en traversant ma moelle épinière, sachant que le climax est tout près. Et puis… l’explosion ! Un cri étouffé contre mon cou. Une vague de plaisir submerge Éloïse, me prend de court et m’emporte avec elle. Je ressens ce fameux relâchement profond dans ma verge, puis la semence se répand dans de violentes contractions, suivant les spasmes des muscles vaginaux. Nos corps se tendent une dernière fois avant de retomber, pantelants, encore tremblants sous les répliques sismiques du plaisir. Le silence revient peu à peu, seulement troublé par nos respirations erratiques.  

Wow, murmure-t-elle en riant doucement. Je n'ai jamais eu d'orgasme le premier soir avant... Toi !  

Je caresse son dos moite, déposant un baiser sur ses lèvres, en partageant quelques effluves de nos orgasmes encore bien présents.  

Je crois qu’on a battu un record de buée sur les vitres, dis-je.  

Elle éclate de rire et jette un coup d’œil autour. En effet, la voiture est devenue un sauna intime, des gouttelettes d’humidité perlant sur les vitres closes.  

Faut qu’on sorte… l'équipe va se poser des questions...
Et qu’on se rhabille, aussi, dis-je en observant ma chemise ouverte et mon pantalon froissé.
J'ai comme l'impression que l'équipe a déjà tout compris !

On s’exécute tant bien que mal, encore fébriles, nos corps vibrant de l’intensité de ce qu’on vient de partager. Mais c’est au moment d’ouvrir la portière que l’évidence nous frappe.  

Euh… t’as des traces de nos abondants fluides sur ta cuisse, chérie.
Et toi… ta chemise est à l’envers.  

Un regard. Des éclats de rire incontrôlables.  

Ok, mission camouflage avant de retourner à la fête !  

En entrant dans la salle, on tente de faire comme si de rien n’était. On se fond dans le groupe, attrapant chacun un verre pour masquer notre petit détour interdit. Mais… il y a un problème.  

Dis-moi que je rêve, me glisse Éloïse à l’oreille.
Quoi ?
Tu sens… la… noune ambulante, m’annonce Éloïse avec son plus beau sourire.  

Je fais mine de la contredire… puis je capte le regard de collègues dans une discussion animée près de nous, qui fronce le nez en souriant.  

Oh merde… T’as vraiment l’odeur d’un homme comblé… et moi d’une femme qui a pris son pied dans une voiture.  

On essaie de bouger pour dissiper les soupçons, mais l’aura invisible de notre escapade nous suit.  

C’est sûr, c’est une senteur « Baiser torride en SUV », renchérit Éloïse à voix basse.  

Je manque de m’étouffer et elle éclate de rire en se cachant derrière son verre. Après tout, la soirée ne fait que commencer… et qui sait ce que la nuit nous réserve encore ?  

Élo, j’ai le goût de te dire que je suis amoureux de toi !  

Puis, comme si on savait ce que l'on devait faire, on s'embrasse en s'étreignant très fort, sans se soucier le moindre du monde des témoins de notre passion.  

FIN… ou pas ? Hihihi ! Sachez qu'en s'embrassant, son pubis arrondie bien appuyé sur mon érection qui renaît.. l'aventure n'est donc pas terminée ! Merci de votre passage sur le blogue, j’espère vraiment que vous avez apprécié cette histoire porno-romantique de mon cru !



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