145- Confessions caféinées de cubicule (11JAN25 8/10)!
Peu importe le moment où vous lirez cette fiction, qui est une vie fantasque, pour moi, les partys de Noël de bureau seront toujours une source d'histoires à l'eau de rose pimpées de tendresse corporelle (pour moi, bien sûr). Petit "playback" : j'ai déjà publié un texte sur ce sujet, le numéro 117, Party de bureaudultère! En résumé, ce texte fait un survol global des statistiques en lien avec les aventures entre collègues lors des partys de Noël de job. J'ai revisité mon texte (j'haïs relire mes vieux trucs) et par chance, je me suis reconnu dans l'écriture, même si plus d'une année s'est écoulée avant de réexplorer le sujet.
Non, je n'ai encore jamais participé à faire évoluer les statistiques d'aventures en mode party de bureau... même que des circonstances extraordinaires m'ont tenu à l'écart de l'édition de l'année en cours. Par contre, en tant que placoteux invétéré, j'ai utilisé mes talents d'enquêteur "X-Files" pour débusquer les histoires "XXX-Files" chez mes collègues ayant, justement, participé aux célébrations. Enfer et damnation... niet... nada... pas d'histoire digne de la plus croustillante des chips (choisir entre Miss Vickie ou Cape Cod). Pendant une semaine, j'ai fait du chantage auprès de mes collègues pour découvrir des histoires de parking, des anecdotes de becs volés, des échos d'échanges de feelings. Depuis votre écran, vous voyez de la déception dans mes traits, n'est-ce pas? Même le "plusse" célibataire de mes collègues n'a pas profité de l'ambiance légère et décomplexée par les joues rougissantes commanditées par la SAQ! Il n'est même pas allé zieuter ce qui se passait dans l'autre party de bureau, lui qui est tellement difficile côté "match parfait", stigmatisé par une trèèèèès ancienne aventure intra-équipe.
Peu importe, je vous embarque dans une nouvelle histoire pornoromantique telle qu'elle me rendrait reconnaissant pour la durée de l'éternité! Comme toutes mes rubriques confessions caféinées de cubicule (94, 113, 114, 118, 121, 126, 129) les récits que je présente avec une collègue ronde choisie pour être l'héroïne sont 100 % issus d'une zone cervicale directement connectée aux parties intimes... hihihi! Disons que mon fantasme sur les femmes dodues est comblé... avec mon imaginaire décadent auquel s'adhèrent des faits vécus.
Avant de me lancer dans une sempiternelle histoire de collègue avec celle qui est mon "fantasme absolu" (une femme réelle d'un département que je ne côtoie guère souvent), je dois vous dire que mon Facebook me bombarde de "reels" (vidéos courtes et divertissantes) de... femmes grosses! Ça, vous le saviez! Chaque jour, il y a cette femme qui s'affiche dans des petits clips vidéo que pas grand monde se donne la peine de... saliver... sauf moi, bien entendu. Cette propriétaire de restaurant italien s'approche de ma dénomination "fantasme ultime", une Belladonna d'exception : Mlle Erenda du ristorante Borsieri à Milan... wooooooooow!
Elle est époustouflante, assurément une maîtresse de tous mes fantasmes! Vous ne pouvez savoir ce qui se passe dans mon coco alors que je l'écoute sans comprendre la teneur de ses propos en langue italienne. Elle a toooooous les attributs féminins pour me faire rêver. Erenda est le portrait sans équivoque de celle (en chair [surtout] et en os) qui m'a, à l'origine, propulsé dans le monde des feelings aux femmes rondes. Hooooolala! Mes envies de feelings atteignent l'espace intersidéral chaque fois qu'Erenda se présente dans mon Facebook! Elle est tout simplement irrésistiblement roooooonde!
Ouf, c'est compris, je me calme le pompon. Ici aussi, celle qui me rejoint dans ma narration est une collègue que je qualifie de fantasme absolu... vraiment (vous pouvez aller au texte 141 pour comprendre mon concept de fantasme absolu)! Elle est arrivée dans une équipe administrative sans avoir été présentée aux autres départements, à moins que j'étais absent du bureau lors des présentations. C'est par le truchement d'un dîner à la cafétéria que mon regard a croisé sa silhouette d'exception! Impossible pour moi de demeurer de marbre... mon équipe a vite compris que cette collègue est mon bonbon suprême! Allons-y, imaginons un hypothétique party de bureau où... presque tout est permis!
- Bob, je pense que ça va être le moment de te lever, pis de r'monter tes culottes, pis d'nous faire tes stépettes! S'exclame Léo du bout de la table, en levant un verre en guise de signe de ralliement.
- Esti que vous êtes fatiguants avec ça. C'est toé qui es monsieur populaire depuis que t'as fait un show avec ta split, répond Bob.
Pendant que les hommes de l'équipe scandent "Bob... Bob... Bob" à l'unisson, j'en profite pour reprendre une conversation à mots couverts avec mon collègue Alex, mon plus fiable confident.
- Hey, t'as sûrement vu comme moi qui est là avec la gang des HR?
- J'voulais justement te le dire : ton fantasme absolu en personne que personne ne connaît, ajoute Alex, bien au fait de mes désirs profonds.
- Elle est tout simplement... un cadeau de l'univers! Penses-tu que je vais être game d'y demander à danser, tantôt? Interroge-je Alex.
- Pas pantoute... Té mieux de caler un quarante onces pour te donner des ailes!
- Booooon, les amoureux, vous parlez encoooore de vos histoires de sexe, s'exclame tout haut Jason. On n'est toute l'équipe ensemble, on veut savouère quessé vous dites!
- Pffffft... tu commences à être pas mal saoul, mon Jason, dis-je en lui présentant une coupe de vin. Toé aussi, tu vas devoir nous faire une danse poteau.
- Tabarnak, la salle va se vider si je m'lance dans s'genre de pirouette.
Deux mains fortes, ridées et cahoteuses, s'installent sur mes épaules. Je devine que ce sont celles de Mikaël, le vieux magasinier. Comme toute personne plus âgée que la moyenne d'un groupe, il ignore le sens du mot chuchoter.
- Mon chum, ta femme parfaite est là, dit Mikaël en pointant celle qui m'envoûte.
- J'te comprendrai jamais, ajoute Léo. Comment quelqu'un d'aussi beau gosse peut tripper sur cette grosse!
- Bob peut pourtant vous confirmer que les grosses sont cochonnes, ajoute Mikaël, déclenchant une hilarité contagieuse au sein de l'équipe.
C'est à ce moment que Michèle, la réceptionniste, se présente à notre tablée, un verre à la main, l'air pompette pour avoir bu du punch à volonté.
- Salut les gars! Vous êtes encore en train de parler de femmes? Ma gang de gros parleurs, petits faiseurs!
Notre réceptionniste, chandail "lette de Noël" et legging très ajusté avec des imprimés de sapin, n'est pas moulée dans un "frame" d'oiseau et présente des rondeurs très agréables depuis qu'elle a arrêté de fumer.
- Levez vos derrières, on va enlever les tables pour passer aux jeux. Pis après, on va pouvoir r'garder si Léo est encore aussi flexible. Prépare ta split, dit Michèle au principal intéressé!
- Ouin! J'ai manqué ça l'année passée... pis tout l'monde en parle, rétorque Mikaël.
- Câlicez-moé patience, à soère, cé Bob qui vole le show!
J'hésite de les laisser s'obstiner sur les mêmes vieilles rengaines, année après année. Je préfère aider mes collègues "Gentil Organisateur" du club social de la job, sans oublier de zieuter les grosses fesses de Michèle, qui présente une forme poire aux hanches très marquées.
Je le regarde avec une réponse qui me fait honneur.
- C'est plus fort que moi, c'est trop beau!
Petite pause avant d'entendre un commentaire trop commun lorsque je parle de courbes.
- T'as pas d'allure!
Sous les lumières dansantes et la musique de party choisie par le DJ invité, le carré de danse de la salle est couvert de collègues qui ne sont ici que pour s'amuser! Alors que le limbo, la chaise musicale et les danses en ligne allument les fêtards, Michèle s'empare du micro tout en enlaçant le DJ qui en a déjà vu d'autres.
- ÉCOUTEZ! Notre prochain jeu est pour intégrer nos nouveaux que vous ne connaissez peut-être pas encore. Les nouveaux, venez tous au milieu, les autres, formez les groupes selon votre département. J'vais aller former les couples.
Au mot "couple", des fous rires s'emparent de la salle, chacun y allant de blagues grivoises!
- Votre premier défi, pour couronner le NOUVEAU ou la NOUVELLE de l'année, sera de déplacer les cuillères en équipe, nez à nez.
Des applaudissements et encouragements s'entendent partout; les spectateurs sont prêts à soutenir leurs collègues. Avec deux mains sur mes épaules, Jules, le GO, me pousse vers les nouveaux, tout sourire et m'abandonne devant... mon fantasme ultime. Hoooooolala... je suis petit dans mon pantalon.
Elle est là, même grandeur que moi. Un sourire en coin s'affiche sur son visage parfaitement rond, et ses petits yeux brillants témoignent d'une sensualité cachée derrière des lunettes au cadre invisible. Le renne au nez rouge de son chandail de Noël me fait de l'œil, déformé par d'énormes seins s'appuyant sur un gros ventre étagé... OMG! Même si je n'ose pas descendre le regard, je sais que son jean tendu emprisonne un pubis gonflé et de grosses fesses que je devine abondantes.
- Salut. C'est moi l'heureux élu pour faire équipe avec la meilleure nouvelle collègue, dis-je d'un trait, comme si un scénario était écrit d'avance. Mon nom est...
- Tututu, me dit-elle en me tapotant le bout du nez. Ben oui, nous savons tous ton nom sur le département, hihihi! Ta photo comique sur Teams ne manque jamais de faire sourire.
- Ah oui, à ce point-là? Dire que je croyais présenter un côté sérieux de moi-même avec cette photo. C'est peine perdue, il faut croire!
- Mais non, ne t'inquiète pas, elle est très chouette. Et elle cadre bien avec toutes les histoires que j'entends sur toi!
- Hein? Quoi? Quel genre de... potins?
- Hum! Des cancans bien mouillés, en fait. Marie-Ange, qui a été embauchée l'année dernière, figure-toi qu'elle est mon amie {en lien avec le texte 126}.
- Oooooh... me voilà bien gêné!
- Pis Linda aussi!
- Guuuuurlp!
- JE DEMANDE À TOUTES LES ÉQUIPES DE VENIR PRENDRE PLACE! Crie Michèle plus fort que nécessaire.
- Moi, c'est Éloïse! J'espère que nous allons bien nous entendre, surtout que je connais tes collègues favorites, lance-t-elle avec un sourire à faire fondre les glaces de méthane de Neptune.
Je regarde Éloïse passer devant. La courbe de son dos me scotche vers ses grosses fesses qui peinent à être contenues dans le jean. Je c-a-p-o-t-e ma vie! Un petit coup d'œil à gauche et à droite me confirme que cette providentielle équipe est un coup monté. Mes collègues me font divers signes obscènes à peine discrets pour me gêner davantage. S'ils savaient comment mon érection me transporte déjà vers un monde d'extase... Ma peau est irisée, prête à décupler les feelings au plus infinitésimaux effleurements de peau. Alors que nous allons rejoindre Michèle, j'ose effleurer le bout des doigts de ma favorite. Oooooh... je sais que c'est gagné d'avance. Elle répond à mon geste en tapotant doucement ma paume de main baladeuse. C'est complètement incroyable! C'est ici que je prends conscience que ma soirée sera folle!
Les haut-parleurs se plaignent à grands bruits électroniques, Michèle se fond en excuses qui manquent de crever des tympans à leur tour. Les duos de concurrents s'élancent dans une course où une cuillère est coincée entre les deux nez et doit rejoindre une tasse à café à l'autre bout de la salle.
Impossible de cacher que mon bonheur est sans égal. Respirer l'air de ma compagne, tenir sa main pour orienter un tempo de marche, se regarder dans les yeux, effleurer sa poitrine et son ventre en avançant pour gagner... je suis au nirvana! Je n'entends plus les encouragements, je ne vois plus mes collègues, il n'y a qu'Éloïse qui existe.
Petit moment d'hésitation, nos pieds se rencontrent. "Non, ce n'est pas le moment de perdre foooocus!"
On trébuche, la cuillère glisse, une grosse cuisse plaque mon entre-jambe, nos lèvres se rejoignent. Je me sens glisser à l'arrière, incapable de me rattraper. Dans ma chute, la honte m'envahit. J'imagine mon fantasme ultime se muter en "Karen" amère, trouvant ridicule l'issue du jeu et préparant un grief contre Jules pour m'avoir accolé à elle. Cette pensée s'enfourne dans une fraction de seconde alors que je me retrouve étendu sur le dos.
"Oooooh nooooon... pourquoi moi, je suis ridicule!"
C'est maintenant que j'entends la salle s'exclaffer, rigoler et redoubler d'encouragement pour que je relance la course. Éloïse, que je croyais avoir perdue, me lance un de ces sourires coquins pendant que je suis sur le dos à replacer mes lunettes. Oh... un pied dans un soulier rouge apparaît à gauche de mon bassin, un second pied s'aligne à droite de mes hanches. Éloïse s'accroupit en me tendant une main. Ouf, je suis figé. La vue, de ma position, du corps plié de ma collègue... je suis hypnotisé et tétanisé!
L'univers m'a réellement envoyé la Vénus que j'attendais depuis que le Big Bang a garroché ses atomes aux quatre coins du cosmos. Les vêtements de ma coéquipière crient à l'aide alors que les fibres des tissus se tendent pour résister aux bourrelets qui se gonflent à l'effort.
- Donne-moi ta main, cher ami! J'espère ne pas t'avoir causé trop d'humiliation.
Une claque virtuelle dans la face me ramène sur Terre. Je prends la main tendue en guise de point d'appui et me redresse sans mal... heu... c'est vrai... mais... ouf... c'est fou!
En me soulevant, la grosse bosse bien dure dans mon pantalon glisse sur le pubis bombé de ma secouriste. "Merde, pense-je trop rapidement. Je risque de recevoir une méééééga plainte pour attouchement sexuel". Je ne sais plus à quel saint me vouer pour me sortir de ce mauvais pas, maudissant mes érections trop faciles.
- Tout va bien finalement. Je pense qu'il va falloir recommencer, ajoute Éloïse .
- Pas la chute, j'espère!
- Hahaha, non bien sûr. Je trouve étrange qu'un gros machin dans ton pantalon m'ait touchée... je vais devoir enquêter sur son identité, me lance Éloïse avec le plus cochon des sourires!
Mon équipe vient vite me rejoindre pour s'enquérir de mon état, les GO veulent savoir si j'ai quelque chose de cassé. Pourtant, je n'ai que des yeux pour Éloïse, qui rit de bon cœur alors que je suis pratiquement au triage de l'urgence du party ! Une vibration discrète réveille ma montre, un message Teams de... eeeeelle ! "Après que tes docteurs auront vérifié si la grosse des HR ne t'a pas broyé la cage thoracique, tu viendras me voir, je suis bonne infirmière. Élo".
Oooooh my god, c'est une fiction incroyable pour n'importe quel gars soumis et admirateur de femmes rondes... woooow ! Si c'était la réalité, je pense que le défibrillateur de la salle aurait un client à réanimer ! Je dois absolument reprendre mes esprits après avoir imaginé cette histoire que je vais poursuivre dans un autre texte. Si vous vous posez la question, oui, cette Éloïse existe dans ma collégialité. En fait, pratiquement toutes les femmes ayant le rôle principal dans mes "confessions de cubicule" sont réellement des êtres humaines en chair et en os. J'imagine que si un ou une collègue lisait ces pages en connaissance de cause, des noms pourraient être rattachés aux personnalités d'emprunt, hihihi ! Pssst... Je ne pense pas que ça arrive un jour qu'un collègue fouille ces pages. Si je regarde les statistiques de visites sur le blogue, le chemin vers la "viralité" est à l'égal d'un pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle ! Hihihi ! Bon. Je vous quitte sur cette première partie d'un party de Noël de job, rêvé et fantasmagorique... j'en bande tout juste d'en imaginer les tenants et aboutissants ! Alors, je vous dis, "à la revoyure" !
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