Sous la couverture d'un intello qui aime les rondes!

  En me lançant dans l’écriture de ce blogue qui, avouons-le, n’a probablement pas son pareil, je savais bien que mes mots allaient croiser la route d’un kaléidoscope de lecteurs et lectrices aussi varié qu’imprévisible. Rassurez-vous : votre visite sur mes plateformes est parfaitement invisible pour moi… à moins que vous ne laissiez une trace, comme un petit message ou une réaction coquine. Le seul indice visible d'une visite impromptue que j’ai, c’est ce minuscule compteur de visites incluant quelques données anonymes, probablement extraites d’un humble biscuit numérique que Google m’affiche sans grande cérémonie, que je déguste avec un verre de lait. Vous pouvez donc venir me lire en toute impunité — sans publicité, sans monétisation, et sans que je vous épie derrière un rideau de pixels.   Parfois, je reçois des messages franchement amusants, qui me font toujours l’effet d’une petite surprise sortie de nulle part. En fait, si j’y pense deux secondes...

Juin est arrivé. Si seulement les plaisirs d’été pouvaient commencer pour de vrai ! Selon Environnement Canada, il a mouillé 55 % du temps pendant les fins de semaine de mai dans ma région... Résultat : je songe sérieusement à transformer mes mercredis et jeudis en weekend, et mes samedis et dimanches en véritable lundi. Malgré toute cette pluie, ce billet sera bref — j’ai manqué de temps pour l’écrire, même si, en ce moment même, je regarde les gouttes tomber à nouveau, nostalgique d’une époque où Mère Nature était un brin plus complaisante. Avant de souffler les bougies avec nos célébrités bien en chair et bien en charme, voici un petit tour d’horizon des anniversaires historiques du début juin — entre tragédies, percées technologiques et reines couronnées. 1494 : Le traité de Tordesillas divise le Nouveau Monde entre l’Espagne et le Portugal. (Spoiler : les peuples autochtones n’ont pas été consultés.) 1937 : Première mise en service commerciale d’un radar...

Nous y voilà : la dernière semaine de mai. L’été peut enfin s’installer, non? Tous les chemins devraient mener vers la chaleur, les vacances, le plaisir de s’habiller léger, les garden-partys, l’odeur envoûtante des viandes qui grésillent sur le BBQ, les festivals débridés, les randonnées en nature, et les découvertes coquines... euh, cyclables! Mais non. Ce qu’on retiendra du mois de mai 2025, c’est qu’il aura été l’un des plus détrempés et frigorifiques des 75 dernières années au Québec. Merci, blocage Oméga — ce capricieux courant atmosphérique en forme de front froid qui s’est cru en droit de squatter notre ciel. Mais haut les cœurs! Laissons la déprime saisonnière moisir dans les oubliettes. Parce que l’Histoire, la vraie, celle avec un grand H , ne prend jamais de pause. Et toi non plus d’ailleurs : finis donc le mois en beauté, en toute autosatisfaction… car c’est aussi le grand climax du mois de la masturbation ! Hihihi. Allez-y, je ne regarde pas… ...