Nous y voilà : la dernière semaine de mai. L’été peut enfin s’installer, non? Tous les chemins devraient mener vers la chaleur, les vacances, le plaisir de s’habiller léger, les garden-partys, l’odeur envoûtante des viandes qui grésillent sur le BBQ, les festivals débridés, les randonnées en nature, et les découvertes coquines... euh, cyclables! Mais non. Ce qu’on retiendra du mois de mai 2025, c’est qu’il aura été l’un des plus détrempés et frigorifiques des 75 dernières années au Québec. Merci, blocage
Oméga — ce capricieux courant atmosphérique en forme de front froid qui s’est cru en droit de squatter notre ciel.
Mais haut les cœurs! Laissons la déprime saisonnière moisir dans les oubliettes. Parce que l’Histoire, la vraie, celle avec un grand
H, ne prend jamais de pause. Et toi non plus d’ailleurs : finis donc le mois en beauté, en toute autosatisfaction… car c’est aussi le grand
climax du
mois de la masturbation! Hihihi. Allez-y, je ne regarde pas…
Je fais un bond dans l’Histoire, jusqu’à l’aube de la
Renaissance : en 1431,
Jeanne d’Arc est brûlée vive à Rouen, à tout juste 19 ans. Avançons ensuite jusqu’en 1896, fin de l’ère
victorienne et début de la
Belle Époque : c’est l’ouverture des premiers Jeux olympiques modernes à Athènes !
Les années d’après-guerre réservent aussi leur lot d’exploits : en 1953,
Edmund Hillary et
Tenzing Norgay deviennent les premiers humains à fouler le toit du monde en atteignant le sommet de l’Everest. Puis, en 1961,
Kennedy défie l’Amérique d’envoyer un homme sur la Lune… défi brillamment relevé quinze ans plus tard. Dans la foulée, 1977 marque la folie des étoiles avec la sortie de
Star Wars : Episode IV – Un Nouvel Espoir.
Comme le chantait
Jean Loup, 1990 sera l’année des télécommunications. Quatre ans plus tard, la première saison de la sitcom
Friends révolutionne notre façon de
binge-watcher la télé. En 1995,
Christopher Reeve — notre Superman national — devient tétraplégique après une chute à cheval. Dix ans plus tard, en 1998, l’escalade nucléaire entre l’Inde et le Pakistan fait rage… sans qu’aucun super-héros en collants ne vienne l’enrayer.
Au tournant du millénaire, en mai 2001,
Wikipedia franchit la barre des 20 000 articles. Aujourd’hui, l’encyclopédie en ligne compte plus de 63 millions de pages dans toutes les langues ! Le scandale du
Watergate, a du nouveau depuis la démission de Nixon ; en 2005, «
Deep Throat » — l’informateur secret, le numéro 2 du
FBI — est enfin démasqué. Et en 2011, la Cour suprême du Canada statue qu’un contact sexuel avec une personne inconsciente, même consenti auparavant, constitue une agression sexuelle. La question de l’asphyxie érotique reste, quant à elle, une affaire délicate et peu répandue.
Cette semaine, on célèbre aussi la
Journée internationale des Casques bleus de l’ONU, le
Geek Pride Day (coïncidant avec la sortie de Star Wars en 1977) et la
Towel Day, hommage à l'écrivain
Douglas Adams et à son
Guide du voyageur galactique.
Et voilà, c’est la fin de notre voyage historique ! N’oubliez pas votre serviette : la grande fête se passe à l’intérieur. Dommage que la pluie tombe sans discontinuer… elle risque de gâcher les anniversaires de ces fabuleuses femmes dodues que je m’apprête à vous présenter !
Notre première célébrité à défiler sur le tapis rouge des anniversaires, c’est l’actrice américaine
Octavia Spencer ! Je l’avoue, je ne la connais pas personnellement (pas encore !), mais son immense talent s’impose dans une filmographie que même moi je reconnais du premier coup d’œil. Elle a brillé dans
The Help (La couleur des sentiments), rôle pour lequel elle a remporté un Oscar bien mérité. Octavia, c’est l’incarnation parfaite de ces femmes rondes qu’on croit en retrait, mais qui, dès qu’elles entrent en scène, captivent tout avec une intensité tranquille. Ses rondeurs dégagent une sensualité discrète mais puissante : un sourire accueillant, une poitrine affirmée, une démarche qui impose le respect. Hollywood la cache un peu derrière des rôles sérieux, mais ses courbes, elles, ne m’échappent pas… et elles mériteraient franchement plus de gros plans, hihihi !
Booooonne fête, Octavia — que ta journée soit paaaaaarfaite !
«
Vennez ici, Mlle Pam Grier, c’est à ton tour de souffler tes trois quarts de siècle... woooow ! » Originaire de la Caroline du Nord, Pam a fait exploser les écrans dans les années 70, devenant l’icône indétrônable de la
Blaxploitation — ce courant cinématographique où les actrices et acteurs afro-américains prenaient enfin le contrôle de la bobine... et de nos fantasmes. Avec sa moue capable de désarmer n’importe quel macho, ses courbes solides, sa silhouette charnue et ce buste de guerrière, elle incarne à la perfection la femme fatale, version badass et bien en chair. Dans sa jeunesse, elle était fine et férocement sexy, mais avec le temps, elle a gagné en présence… et en galbe ! Je ne la connaissais pas tant avant, mais sa filmographie est iiiiiimpressionnante — même si on y trouve quelques navets à déguster avec un popcorn au fromage. Au Québec, elle évoque autant les vieux cinéphiles des clubs vidéo que les fans de
Tarantino, grâce à son rôle culte dans
Jackie Brown. Pam, c’est le fantasme vintage par excellence : une déesse aux rondeurs assumées, capable de cogner aussi fort qu’elle fait battre mes feelings.
Haaaaaappy birthday, Pam !
Levons nos verres — et nos souvenirs télévisuels — à Sharon Gless, cette légende du petit écran qui a marqué toute une génération avec Cagney & Lacey, diffusée au Québec dès 1984 sur le réseau TVA. Dans sa filmographie télé que je connais davantage par réputation (oui, je l’avoue, je n'ai pas vu grand chose), elle incarne ce type de femme qu’on aime appeler « plantureuse » : épaules solides, bras accueillants, et ce petit ventre moelleux qui appelle les câlins prolongés. Pour votre blogueur en quête d’émotions et de formes bien campées, Sharon représente cette sensualité typique des années 80 — une époque où les femmes à la télé avaient du caractère, des répliques tranchantes… et des courbes tout sauf anonymes. Dodue juste comme il faut, elle inspire l’envie très sincère de s’abandonner dans ses bras. Huuuum... Bonne fête, chère Sharon !
Native du Kentucky — ce berceau sacré de la musique country et du bluegrass —
Wynonna Judd est une chanteuse emblématique qui a longtemps partagé la scène avec sa mère Naomi dans le duo légendaire
The Judds. Depuis toujours, elle arbore une silhouette voluptueuse, une vraie courbe vivante de la country : des hanches aussi vastes que les plaines du Sud, une poitrine aussi généreuse que les Appalaches… de quoi me laisser figé comme une note prolongée dans une ballade! Honnêtement, sa musique, je ne la connais pas assez pour chanter ses louanges, mais sa chevelure flamboyante me fait vibrer autant qu’un solo de banjo bien senti. Elle incarne cette sensualité sudiste, cette force tranquille qui sait se faire remarquer sans lever le ton.
Bon anniversaire, Wynonna… que la country continue de swinguer sous tes formes!
Enfiiiiiiiiin, on sort un peu des États-Unis! C’est au tour de la flamboyante
Tábata Gálvez de passer à la casserole — ou plutôt d’avoir son petit roast d’anniversaire bien mérité! Actrice et animatrice d’origine équatorienne, elle est une figure incontournable du petit écran latino. Star des
télénovelas (ces feuilletons télé chargés en drame et en regards appuyés) et des talk-shows, elle s’assume avec panache comme femme ronde : poitrine débordante, hanches sculptées comme une œuvre de Botero… mon admiration ne peut que gonfler, et pas qu’un peu. Ses bourrelets sont célébrés dans son milieu glamour, et son franc-parler lui a valu un statut d’icône aussi télévisuelle. Wooooow… une simple recherche d’images sur le web me provoque des feeeeeeelings puissants et moelleux à souhait.
¡Que pases una gran fiesta, querida Tábata!
Kaycee Stroh, vous connaissez? Moi non plus… mais avec son sourire espiègle et son air espiègle, difficile de rester indifférent! Physiquement, elle me rappelle Brigitte Lafleur… BRIGITTE, hein, pas Geneviève — la version comédienne, pas la star
SSBBW (que j'adore aussi, mais pour d’autres raisons!). Kaycee est une Américaine de l’Utah surtout connue pour son rôle dans
High School Musical. Danseuse, chanteuse, actrice : elle a su se démarquer dans un univers Disney ultra-formaté, avec sa fraîcheur, son audace… et ses courbes sablier qui la rendaient aussi crédible qu’attachante. Les fans de Disney ont adoré son énergie, son look
curvy-friendly, et sa vibe «
je suis là pis je brille! ». Wooooow!
Bonne fête Kaycee!
Ma prochaine star? Une femme qu’on ne voit pas… mais qu’on entend très bien :
Erica Lindbeck!
Actrice de doublage américaine, Erica est la voix derrière Barbie, Black Cat, Futaba dans Persona 5 (des trucs que seul les initiés connaissent), et une flopée d'autres personnages. Wooooow — j’ai binge-watché quelques extraits sur YouTube : c’est iiiiiincroyable! Elle possède un timbre de voix trèèèès séduisant, velouté à souhait, enveloppé dans une beauté loun d'être discrète et.. saisissante. Elle n’est pas grosse, non, mais elle a ce moelleux hollywoodien, tout en rondeur, avec un visage doux et une crinière digne d’une lionne sensuelle. Dans les conventions, elle ne passe jamais inaperçue, ce qui est rare dans son domaine souvent dans l’ombre. Alors… joyeux anniversaire, divine Erica!
Oooooh… voici une femme de chez nous :
Nicolina Bozzo!
Chanteuse canadienne de Toronto, elle a marqué la saison 20 d’American Idol avec sa voix puissante et son glamour bien en formes. Je la connaissais pas, mais ses rondeurs, elles, ne passent pas inaperçues sur scène! Contrairement aux silhouettes filiformes typiques des concours à la télé, elle s’assume dans ses robes ajustées, exhibant ses courbes et ses replis comme un manifeste de beauté charnelle. Elle me rappelle un peu Laurence Libersan, la candidate toute en courbe passée par Star Académie 2025. Nicolina, elle, a eu un parcours digne d’un conte numérique : millions de vues sur TikTok et YouTube, puis boum, à la télé! Bonne fête, Nicolina… que ta voix et tes hanches continuent de faire vibrer monter les feelings!
Et ma dernière invitée à venir chercher son morceau de gâteau d’anniversaire est…
Mackenzie Lynn! Encore une beauté américaine, mais cette fois sortie tout droit de la culture web! Mackenzie est devenue virale pour ses imitations chantées et ses parodies irrésistibles de personnages Disney sur TikTok et YouTube. Elle combine humour, talent vocal, et — miam! — une silhouette dodue et ravissante qu’elle intègre parfaitement dans ses performances. Ce n’est pas juste une voix ou une parodie : c’est un corps qui rit, qui chante, qui provoque… et qui me séduit a coup sûr. Évidemment, votre blogueur fond pour son intelligence artistique enrobée dans un corps adooooorable.
Booooonne fête, jeune Mackenzie, continue de faire vibrer l’écran avec tes vibes sucrées-salées!
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