129- Confessions caféinées de cubicule (29JUIN24 7/10)!

Étant donné que je n'ai pas tant d'histoires vécues à vous raconter en tant qu'admirateur de femmes rondes, je me plais bien à imaginer des récits (lire entre parenthèses "rêvés") où les femmes bien en chair sont en avant-plan. Dans ces contes Harlequin où je suis le héros (souvent soumis à des protagonistes collègues de bureau), on peut y suivre les péripéties d'un homme qui réalise des fantasmes tout plein de feeeeeeelings! Bien entendu, les femmes dodues sont au centre de cet univers.. fabuleux. Si vous n'avez pas lu la série de textes "confessions caféinées de cubicule" depuis sa première publication, sachez que je me projette dans une histoire fictive avec une collègue ronde bien réelle. Bien entendu, une histoire mielleuse avec une sexualité bien assumée, est au rendez-vous! Pourquoi pas! Après avoir parlé à plusieurs collègues masculins (de genre, pas de virilité [le terme est souvent confondu]), tous sans exception, ont des envies fantasmagoriques envers d'autres collègues, selon des attirances physiques bien personnelles. Et oui, même si ce n'est plus un secret que je caaaapote sur les grosses femmes, aucun de mes collègues ne m'a avoué ce même leitmotiv! Je comprends très bien que ces femmes du bureau maîtrisant leur taille de guêpe, elles puissent être un aimant à regard et susciter de l'envie chez tous les genres! Moi aussi, je tourne vers elles des coups d'œil qui lancent des flèches cupidonnesques.. mais ça s'arrête là, elles ne me rejoignent pas du tout dans mes histoires de fantasmes. D'ailleurs, je sais que plusieurs d'entre elles ont eu des histoires de feelings bien tangibles, au bureau. Tout est le contraire pour les femmes en surpoids du boulot, rien, niet, nada, pas d'histoire de couchette, pas de commotion générale liée à une tenue vestimentaire subjective. Avec mes récits imaginaires, ce sont ces collègues rondes qui s'ouvrent aux histoires de couchettes.. s'élevant au rang de déesse pour l'homme que je suis.. wooooow!

Mais chuuuuuut! Être en admiration devant une femme grosse, ça ne se fait pas.. sauf que.. vous comprenez! Plusieurs disent que mes trucs sur les femmes rondes sont des questions fétichistes. Boooooof! Je n'irai pas jusqu'à ce niveau. Au sens propre, le fétichisme désigne "l'adoration des fétiches" (feitiço, "artificiel"). C'est un nom venu avec les Portugais à l'époque de la colonisation de l'Afrique. Il signifiait, entre autres, "l'affection envers un objet pour lequel nous lui attribuons un pouvoir". Les temps ont changé, la science a fait un bond, les courants spirituels sont plutôt agnostiques aujourd'hui. Supposons que je sois convaincu que je suis en présence d'un fétichisme, il aurait pour nom.. tenez-vous bien.. "adipophilie" (du latin adeps "gros" et du grec philia "amour")! Bon, on peut y comprendre que c'est une attirance sexuelle dirigée vers les personnes en surpoids ou obèses pour diverses raisons. Une bonne fois pour toutes, je vais vous le dire pourquoi j'aime les femmes rondes. Premièrement, c'est avec elles que j'ai connu des feelings qui m'ont amené vers une vie sexuelle active. Je ne peux pas vous dire que je n'ai pas essayé d'avoir une blonde mince dans ma jeunesse. Au Cégep (Collège d'Enseignement Général et Professionnel), j'ai même refusé les avances d'une étudiante très mince.. ben oui! Deuxièmement, j'aime les gros seins moelleux, j'aime les grosses fesses imparfaites, j'aime les grosses cuisses ballotantes, j'aime les gros ventres à bourrelets, j'aime les gros bras douillets, j'aime.. vous saisissez je pense! 

Alors que je m'en tiens là, sans troisièmement, il existe une variété de fétichismes associés aux rondeurs. Rappelez-vous que le fétichisme est l'adoration (sexuelle) d'un objet pour lequel on lui accorde un pouvoir (excitation)! La nuance est toute faite, un fétiche est lié à un objet, pas à une partie du corps d'un être humain. C'est ici qu'entre en action la nourriture et la graisse au niveau du fétichisme! J'ai déjà exposé tout ceci, dans un autre texte, mais bon, utilisez celui-ci comme un rafraîchissement de mémoire. Pour tout vous dire en une seule phrase, le "feederisme" ou le "gain", est une gratification sexuelle obtenue consistant à engraisser soi-même ou aider les autres à engraisser. Le fétichisme de cette prise de poids intègre également le gavage et d'autres formes d'ingestion d'aliments plus ou moins sains (funnel par exemple, entonnoir.. 😬). L'excitation se concentre sur les désirs personnels d'un gain de poids réel ou sur la domination d'un participant par la nourriture. Allons-y pour un petit lexique autour de ce fétichisme, avant de passer à l'histoire. Mutual-gainer (engraissons ensemble), est un participant qui encourage son/sa partenaire à devenir de plus en plus grosse et lui fasse de même. Un gainer est une personne qui prend du poids volontairement, seule, sans aide de partenaire. Un feeder est l'individu dont le fantasme est de donner ou forcer à manger en vue de voir grossir son partenaire. Le feedee est justement, celui qui désire grossir et se faire gaver, sans compter le nombre de calories ingérées.

Tout ça me fait penser à Homer Simpson, dans l'épisode King-Size Homer (le gros Homer) paru en 1995, où il prend intentionnellement du poids pour obtenir la clause de télétravail! Hihihi! Ce que j'en pense des feedees, feeders et des gainers? Tant que c'est un choix libre et éclairé, je n'ai rien contre, même si ça ne m'allume pas pantoute. Ça me fait penser à l'histoire de Fanny (nom fictif), une de mes collègues rondes, d'une classe de silhouette sans nom, soit sablier en poire.. bonhomme Michelin comme une connaissance s'est déjà surnommée. Fanny est une collègue de la cinquantaine, bourreau du boulot, vieille fille et autoritaire, lunettes et cheveux bouclés courts.. elle est une femme que l'on ne remarque pas si elle n'utilise pas son attaque favorite .. le placotage! Ooooh oui, si vous voulez avoir votre moment de gloire avec Fanny, écoutez tout ce qu'elle a à dire, même si vos paupières sont lourdes ou que le bonhomme sept heures et le marchand de sable sont passés. On ne la remarque pas, sa garde-robe est simple et ne permet que d'imaginer les courbes. Bon.. ce qui m'assomme à coup sûr chez elle, le ton monocorde de sa voix, qui en a achevé plus d'un.. wooooow! Fanny n'est pas fictive, elle existe dans la vie réelle, sans que je connaisse ses histoires de charme et ses aventures de séduction. Selon ce qui se jase dans les coulisses, elle est une foodie confirmée! Si vous êtes comme moi, sûrement êtes-vous dans une quête insatiable de.. protagoniste à feeeeeeeling et désirez en connaître un peu plus sur ce brin de femme! Venez faire connaissance avec Fanny!

C'est une grosse semaine au bureau, une suite sans fin de lundi pleine de grisaille. Ce n'est pas l'éclairage des néons qui va chasser le teint blafard qui me couvre. Même si l'été approche, il est 19 heures et j'ai l'impression que nous sommes au cœur de l'hiver. J'ai pas mal de dossiers à couvrir, la date butoir est tout près, un stress que je me serais bien passé. Ce soir, sur l'étage, personne d'autre ne semble être demeuré ici pour abattre un ouvrage sans fin. Probablement que je suis seul, avec l'équipe d'entretien ménager, invisible malgré les seaux jaunes sur roulettes et les serpillières abandonnées sur les corridors silencieux. Pour me donner cette énergie de poursuivre, rien de mieux qu'une pause café instant et chips au BBQ du Tigre Géant (les meilleurs, je vous mets au défi d'y goûter et de résister à vous gaver des 235 grammes d'un coup) dans une cafétéria ayant accueillie des employés affamés et pleurnichards toute la journée. Une gorgée de café, une poignée de chips portée en bouche tout en gardant un œil sur le journal "les Affaires" datant de deux ans. Le déclic de la porte, sûrement les gens du ménage, me dis-je.

"Bonsoir. Toi aussi tu es pris pour des heures supplémentaires, ta chef a beaucoup de budget pour te payer"! Je déglutis.. je m'attendais à n'importe quoi, mais au grand jamais à.. Fanny.. vraiment pas!

- Manger des chips à même le sac, c'est d'en refuser le partage, s'exclame Fanny.

- Heu.. oui.. en fait.. moi et les chips avons une relation.. très particulière! Nous sommes dans une relation exclusive!

- J'ai d'autres choses pour te faire passer cette exclusivité. Je suis très au courant de tes goûts lipidiques.

Fanny ne s'emmerde pas des protocoles de savoir vivre. Elle plonge une main dans le sac, dans MON sac de chips et en soutire le quart du contenu. Je ne manque pas de la regarder porter à sa bouche cette poignée de croustilles qui devait me rassasier. Nos regards se croisent, tout juste avant qu'elle n'ouvre la bouche pour tout croquer.. wooooow! Des feux d'artifices pétillent dans mon corps, ce "open house" dans mon ventre me surprend.

Jamais, je n'ai vu Fanny de cette façon, alors que je faisais tout pour l'ignorer lorsque je pouvais la croiser dans le labyrinthe de couloir des étages. J'ai plusieurs fois tenté de lui envoyer mon plus beau sourire avec un timide "bonne journée", qui a toujours été intercepté par les douaniers en poste à la frontière de sa "friendzone". C'était une cause perdue jusqu'à qu'elle me pique une poignée de chips épaisses comme un Big Mac.. CRUUUNCH! Bien entendu, des miettes postillonnent en tous sens.

- Huuuum.. elles sont délicieuses! Tu as du goût! Tu es sûrement capable de venir manger les miettes tombées sur mon shaggy.

- Hein.. quoi.. je ne suis pas certain d'avoir entendu.

- Esti, je suis sûr que t'as ben compris. En d'autres mots, viens bouffer les miettes de chips dans mon décolleté, sans baver.

- Tu es certaine de ce que tu dis? Nous avons souvent des formations sur le consentement sexuel.

- FANNY TE DONNE SON CONSENTEMENT, dit-elle en plaquant ma tête dans son décolleté!

Je suis littéralement un abonné VIP pour les histoires abracadabrantes! Peu importe les circonstances, je me suis promis de me laisser envoûter par toutes les aventures que l'univers daigne placer sur ma voie. J'ai bien appris que les histoires qui me semblaient anodines à première vue, ce sont celles qui m'ont apporté des ouragans de catégorie 5 sur mon échelle de feeling. Fanny me transporte, justement, vers ce coin dominé par l'inattendu. Parce que mon nez inspire la chaude chaleur salée d'une craque de seins, mes sens se remplissent de cette adrénaline qui pousse en renfort, du sang en ébullition vers.. mon sexe! Je m'active timidement en pointant le bout de la langue pour attraper de microscopiques miettes de chips.. ben tiens.. celle-ci refuse de se faire avaler. Je tire l'élastique qui joint les deux bonnets du soutien-gorge et je pousse plus loin ma langue. "Ça y est"! D'une ultime léchée, j'attrape cette croustille récalcitrante tout en glissant des papilles gustatives sur le mamelon tout près. Ouf.. je n'aurais pas dû aller si loin. Un soubresaut anime Fanny, une clé de bras emprisonne ma figure, manquant de près une prescription pour une trachéotomie.

- Tu n'enlèves pas ta face de là, tu continues ton job de nettoyage.

- Huuuumm hummm hum!

- Tu penses avoir terminé? Non.. pas pantoute.

Fanny émiette de nouvelles croustilles qui se glissent exactement où j'ai réveillé la succube! Un coup de langue sur le mamelon, mon taux d'oxygène sanguin chute. La langue glisse sur la peau capitonnée de l'auréole, mon pouls s'éteint. J'aspire tous ces éléments, mes vertèbres cervicales sont sectionnées!

Sachant que Fanny a de bons bourrelets, je transfère une main sous le chandail et je coince les doigts sous les rouleaux de chair.. ooooooh.. c'est toujours un geste qui me tire mille et une doses de bien-être. Je ne pouvais pas m'attendre à ça, Fanny plaque un genou sur mon érection qui menace l'intégrité de mon short.

- T'es juste un gros cochon.. go.. mange!

- Hey Fanny.. tu es délicieusement épicée BBQ!

- Comment ça t'es encore capable de parler?

Fanny dégrafe et retire sa brassière sans enlever son chandail. Je profite de ce répit pour refaire le plein d'oxygène et faire des déblocages chiropratiques de mon cou avant de me retrouver la tête sous le chandail de ma collègue. J'ai davantage de liberté, quoique je doive faire attention pour ne pas être coincé sous une prise de l'ours! Un tant qu'homme, la vue d'une poitrine nue devant les yeux est toujours un feu d'artifice de désirs. De nouvelles miettes apparaissent que je m'empresse à nettoyer. Pendant que ma bouche s'occupe d'un sein, je glisse une main sur le second.. wooooow.. c'est maintenant que je m'aperçois qu'ils sont durs et brûlants!

- C'est ça, mange et tripote. Tout est là pour que tu passes devant le comité de discipline si tu t'arrêtes. Tiens.. je te verse les miettes du fond du sac. Je t'avise de tout bouffer et de ne rien laisser tomber par terre.

Je sais qu'elle joue le jeu malgré son apparence inflexible. Sachant Fanny vieille fille, j'imagine qu'avoir un jouet qui accepte sans tabou ses requêtes, elle doit mouiller sa vie! C'est ce que je pense, mais, ma théorie tient-elle la route? La main sous un sein, elle s'y détache et rejoint lentement l'entre-cuisse. Fanny ne me laisse pas faire. Elle appuie son pubis sur ma cuisse, s'y frottant au gré de mon nettoyage de miettes. Même s'il y a plusieurs couches de tissus qui couvrent cette région anatomique.. une chaleur humide est perceptible! Hooooooooolala! Manger des seins au fumet salé empreint d'une dose de piquant bbq, la compagnie Lay's devrait en faire une nouvelle saveur! J'ose imaginer que j'en serais le principal consommateur!

Petite pause texte cochon, le temps que je calme mon appétit pour les chips! Pssst.. ça m'est déjà arrivé une fois en "carrière" qu'une femme ronde s'imprègne en miettes de croustilles pour que je déguste un à un chaque centimètre carré de peau! En fait, c'est son énorme ventre que j'ai nettoyé avec mon régal accoutumé, avant d'attaquer sa gigantesque poitrine.. ça.. je vous raconterai l'histoire dans plusieurs autres textes. Toutefois, je n'ai pas vraiment essayé d'autres sortes de trips "sexe et bouffe", genre, comme dans le film 9 semaines et demi (que j'ai vu à Bleue Nuit il y a des temps immémoriaux).. hihihi! La bouffe n'effleure même pas mes fantasmes, de près ou de loin. C'est ici que j'ai appris que le fétichisme de la nourriture, il se nomme.. attachez vous bien, la sitophilie! Ouf.. disons que le mot n'est pas très ragoûtant, mais ça existe. On explorera ce mot plus en profondeur dans mon prochain texte qui sera la suite de celui-ci. D'ici à ce temps-là, portez-vous bien et n'achetez pas tout le stock de chips BBQ des magasins Tigre Géant svp! Merci de votre passage!

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