Sous la couverture d'un intello qui aime les rondes!

Tel que promis via de nombreux textes que j'ai publiés sur mon blogue, je fais un ultime retour sur les termes variés liés aux gens étiquetés en tant que " gros ", sur tous les satanés réseaux sociaux.. c'est à en perdre son latin! Bon, l'anglais est souvent défini comme LA langue de l'Internet, les termes couramment rencontrés sont, justement, eux aussi en anglais. Pour vous, je fais l'honorable effort (avec tous les outils informatiques disponibles et mon expérience personnelle) de proposer une traduction desdits mots et des abréviations. Attention très chers lecteurs et lectrices, même si les mots choisis peuvent paraître sympathiques, dans la langue du web, ils ont souvent une intention péjorative, c'est-à-dire qu'ils sont utilisés pour diminuer moralement une personne ou un groupe. J'en conviens que c'est malheureux, mais ces qualitatifs existent " dans la vraie vie " et sont très en vogue chez nos voisins du sud ...

J'ai un petit peu réfléchi au titre du texte que j'ai donné pour cette mini-série de deux billets, à la lunetterie. Ne vous inquiétez pas, je n'ai pas de paraphilie (ou déviance) touchant les lunettes. Rappelez-vous qu'une paraphilie s'adjoint toujours d'une notion de non-consentement, duquel s'ajoute souvent une dévotion sexuelle intense envers un élément, comme les lunettes dans mon exemple. J'adore les lunettes en tant qu'accessoire mode et de style, uniquement! Je trouve qu'elles ajoutent un élément sexy au visage d'autrui.. quelque chose de.. cochon je pourrais dire! Pourquoi? Je crois l'avoir deviné lors de l'écriture de cette mini-série " ma lunettophilie ". J'ai souvent parlé du comment les fantasmes prennent racine, dans d'autres textes de mon blog. Ils naissent, pour la plupart, lors d'une situation procurant une intense excitation que l'on ne soupçonnait pas. Pour mon " amour ...

Je vous ai déjà dit que je suis lunettophile , n’est-ce pas? Un lunettophile.. oui.. un mot inventé qui veut dire « celui qui aime les gens à lunettes »! C’est un petit mot que j’ai volé quelque part sur les internets, que j'ai adopté depuis. Moi qui suis un pseudo intello, j’ai adoré l’expression à tendance « paraphilique ». Dites-vous que le suffixe « -phobe » vient du grec ancien « phóbos » signifiant peur ou effroi. Puis, le suffixe « -phile » également du grec, il vient de « phílos » pour ami ou personne qui aime. Et voilà, vous comprenez maintenant, celui qui aime les lunettes, surtout les femmes rondes à lunettes. Ou bien, vous pourriez dire un stéatolunettophile (selon ChatGPT).. ouf.. c’est beaucoup moins sexy comme mot. Être un intello à lunettes, ça vient avec son lot de visites chez l’optométriste, à tous les deux ans selon les règles de la profession (et des compagnies d’assurance). C'est surtout vrai lorsque l’on atteint l’âge des problèmes de s...

Vous savez sans nul doute que, des petites histoires sans importance, j’en ai pour remplir une encyclopédie complète des contes de « mille et une nuits ». Vous comprenez également que ce sont des histoires sans scénarios, aussi fugaces que la rosée des matins d’été. La Schéhérazade de mes récits n’est jamais l’épouse d’un Sultan, mais bien une femme ronde qui a croisé ma vie.. et soufflé une brise sur la braise de mes fantasmes! Pour conséquence d’avoir passé la première moitié de mon existence pratiquement comme un InCell (Involuntary Celibates ou Célibataire Involontaire), j’avoue qu’une milliseconde d’interaction avec une femme bien dodue est suffisante pour me tirer bien des feelings qui s’apparentent aux fameux papillons. Vous pouvez lire entre les lignes que le réveil des papillons peut arriver n’importe quand, cette jolie commis rondelette au poste d’essence par exemple, ou cette cliente obèse affalée dans un fauteuil du Starbuck du coin, ou encore la joueuse de b...

L’autre jour, j’ai eu une requête d’une trèèèèès ancienne correspondante, adoptée par la région du Lac Saint-Jean. Cette femme est désespérée et m’explique avoir balancé toutes les applications de rencontres que l’on connaît si bien, vers le puits sans fond des déchets de l’ère internet. Célibataire, elle me raconte, les yeux révulsés, le toupet échevelé, le butch de cigarette pendouillant à la commissure des lèvres (cette description est l’image que je me fais, je n’ai aucune idée de son réel reflet à ce moment). - Je capote, je n’arrête pas de recevoir QUE des messages/matchs d’hommes en couple. Ça m’éééénarve ! - Wooooooooow.. tu pognes sans bon sang! Vois le bon côté des choses. J’imagine qu’être en demande passé la cinquantaine, c’est quelque chose ! - Pffffft, je te gage que pas un de ces gars n’est capable de bander. - C’est mal connaître ces gens, chère correspondante. Je te le dis, tes yeux ont quelque chose d’envoûtant, d’hypnotisant, d’ensorcelant ! - Tu m...

Une aventure.. des aventures.. carburer à ces petits plaisirs de la vie, anodins pour certains, riches en ressentis pour d'autres.. comme pour votre chère blogueur à l'eau de rose! Vous me comprenez, j'en suis convaincu, hihihi! Avec les responsabilités imposées, incluant la vie de famille, le boulot et les sorties de toute sorte (vous savez qu'aller à l'épicerie un samedi matin pluvieux est une sortie riche en feeling.. non.. plutôt.. riche en frustrations), il ne reste plus beaucoup de temps pour, hum, les charmantes rencontres! Il faut dire que, lorsque les moments " escapade de feeling " arrivent, je bois tout, jusqu'à la dernière goutte. Chacune de ces rencontres m'estampe au fer rouge en ajoutant une encoche de plus sur mon revolver " un coup ". Quand je dis rencontre toute azimut, il faut lire " faire de la route pour aller retrouver une chaude et bouillante femme ronde quelque part dans le petit Québec " (pas...