134- Halte à l'aventure (30SEP24 1/1)!

Une aventure.. des aventures.. carburer à ces petits plaisirs de la vie, anodins pour certains, riches en ressentis pour d'autres.. comme pour votre chère blogueur à l'eau de rose! Vous me comprenez, j'en suis convaincu, hihihi! Avec les responsabilités imposées, incluant la vie de famille, le boulot et les sorties de toute sorte (vous savez qu'aller à l'épicerie un samedi matin pluvieux est une sortie riche en feeling.. non.. plutôt.. riche en frustrations), il ne reste plus beaucoup de temps pour, hum, les charmantes rencontres! Il faut dire que, lorsque les moments "escapade de feeling" arrivent, je bois tout, jusqu'à la dernière goutte. Chacune de ces rencontres m'estampe au fer rouge en ajoutant une encoche de plus sur mon revolver "un coup". Quand je dis rencontre toute azimut, il faut lire "faire de la route pour aller retrouver une chaude et bouillante femme ronde quelque part dans le petit Québec" (pas le fromage cheddar, mais bien la province). Un road trip? Non.. ce bidule demande temps et planification, en ajoutant un plein d'essence ou plusieurs visites aux bornes de recharge. Une virée? Non plus.. ce truc stipule un tour juste assez loin pour être capable de revenir la journée même, tout en rendant envisageable le transport en commun! Un périple? Surtout pas.. sauf si vous aimez l'aventure des ponts et des cônes oranges pour vos déplacements sur des îles qui ont le loisir de se prénommer "la métropole". Une balade? Oui.. idéal pour le court terme, n'engage pas trop de ressources pour les protagonistes et demeure un incontournable à feelings! Vous savez, une balade facile est de se rencontrer à mi-chemin.. pour du maxi-ressenti.

Seul Dieu sait combien de balades feelings, combien de périples frustrants, combien de virées romance, combien de road trip euphorique, j'ai accumulé. Vous pouvez me croire, je peux dire que le compteur de road trip est zéro.. c'est zéro.. c'est zéro (comme la chanson iconique de Julie Masse qui date de 1990). À me lire, vous comprenez que les balades à mi-chemin demeurent un must pour mon type de rencontre et je ne parle pas uniquement d'une jasette entre correspondants! Le mi-chemin permet un tête-à-tête où aucun protagoniste n'est chez-eux, retirant toute distraction familière qui pourrait affecter les retrouvailles. Un point de rendez-vous mi-chemin n'est limité que par les inhibitions des tourtereaux; restaurant, parc, commerce, location Airbnb, motel! Ainsi, la planification demeure "de base", l'investissement monétaire est "à la portée de tous" et le temps limité pour le déplacement avant de se retrouver "décuple l'anticipation". C'est à la planification d'une de ces aventures en mode balade qu'une correspondante m'a fait part d'un de ses fantasmes.. soit une rencontre en public.. à une halte routière.. vous comprenez!

Ce fantasme partagé par une belle et ronde correspondante, m'amène à vous parler de ces fameuses haltes routières québécoises le long de l'autoroute Transcanadienne, de la 20 si vous préférez. Ces haltes style cabanes brunes en bois ronds ornées d'une fleur de lys, sont iconiques à l'essor de la route des vacances. Ouin, datant des années 70, elles sont aujourd'hui la risée des conducteurs croisant leur "claboard" de cèdre peint en brun! Par contre, depuis 2021 (jusqu'en 2027), un programme de financement provincial pour la rénovation des haltes routières est en cours, enfin! Vétuste, malpropre, odeur d'urine, sans eau potable pour certaines, tout plein de raisons pour avoir honte de ce réseau de halte laissé à un entretien minimal. Oui, ces cabanes sont là pour un besoin primordial, se soulager la vessie tout en s'adonnant à la lecture des graffitis ornant les murs et le mobilier. Je vous dirai que les messages véhiculés par ces graffitis ne sont pas ceux laissés par un ado au look Skin Head. Ce sont plutôt des messages styles, "recherche gars qui a envie de se vider". Disons qu'en date d'aujourd'hui, les petites annonces de ce genre sont passées à l'ère internet, mais ça demeure un graffiti classique. Je vous laisse imaginer la suite, digne d'un film pour adulte, ce qui se passait devant une rangée de trois urinoirs sans séparateur.. un spectacle de branlette! Je n'ai jamais été témoin d'acte sexuel dans une de ces haltes, mais je ne serai pas surpris si un jour ça m'arrivait.

Les histoires de sexe aux haltes routières ont pullulé dans la décennie 2010, alors que les médias journalistiques se sont lancés dans une chasse aux sorcières après le fait divers d'une action indécente commise par Joël Legendre, dans les buissons du parc Marie-Victorin. Selon le Journal de Montréal, cette arrestation a déplacé les "trips de rencontre entre mecs", des parcs urbains vers les haltes routières isolées! Je me rappelle bien des reportages où des reporters cachés dans les bois, à l'arrière des cabanes brunes, croquaient sur le vif des rencontres "sexe entre hommes". Et même, il y avait des interviews entre participants sous visages et voix floutés. Le Québec puritain brandissait la promesse des tourments éternels aux pécheurs de la branlette dans les bois. La surveillance sur les lieux s'est accrue, suite à des plaintes de citoyens et des employés du ministère des transports. Les inspections journalières confirmaient la présence de tout plein d'objets à caractère sexuel, incluant des trous percés dans les cloisons des cabinets de toilette. Fait cocasse, lorsqu'un véhicule bien identifié aux services publics (policier, travaux publics) arrivait sur les lieux, le stationnement se vidait soudainement. En fait, si un homme seul s'arrête à la halte pour flâner, il est considéré comme un visiteur jugé suspect, hihihi!

Voilà où je veux en venir avec vous. Oui, j'ai déjà vécu une histoire de feelings avec une correspondante à une de ces fameuses halte routière.. ouin! Et je vous assure que c'est étrange en même temps qu'être intense. Tout ça débuta avec ma correspondante qui m'expose ce fantasme particulier, d'une rencontre dans ce lieux public emblématique. Disons qu'après avoir vécu ce genre d'histoire dans un parc, à un Ikea ou dans le stationnement d'un Maxi, il n'y avait rien pour me rebuter. Bon.. je ne peux pas vous cacher qu'il y avait "rien-là" vu de l'extérieur.. mais être un des protagonistes invités, c'est.. quelque chose. Quelques réflexions plus tard et une curiosité sans borne aidant, je lui ai dit "oui, je le veux" (vivre ce fantasme). Après avoir épluché le meilleur moment pour y vivre cette expérience peu usitée, et voilà, tout est booké. La journée choisie annonce, côté météo, une journée pétillante! La halte routière sélectionnée se trouve à mi-chemin de nos points de départ respectifs.. heu.. non.. l'avantage est de mon côté finalement.. chut.. ne lui dites pas!

Qu'est-ce qu'on fait lorsqu'on arrive à un endroit où on sait que l'on va bafouer sciemment la loi? On se cache.. on se stationne dans un endroit reculé. En m'engageant dans la voie de service vers la cabane brune, je reconnais la voiture de celle qui m'a fait vivre des sacro-saint feelings dans d'autres endroits incongrus. Elle m'a laissé la dernière case de stationnement, pour que je puisse y placer ma vieille minoune de minivan qui en a vu plus d'une aventure. Ça doit paraître étrange que deux visiteurs se stationnent bien loin de la cabane alors qu'à cette heure, il n'y a que peu d'usagers en besoin de soulagement de vessie. Je sors, nous nous étions entendus de casser la croûte à une antique table de pique-nique avant de se.. désirer! Ce n'est pas rare d'y voir deux amis qui se retrouvent pour se raconter toutes sortes de péripéties, mâcher un sandwich, croquer des céleris, déguster un Joe-Louis, aspirer une gorgée de jus de raisin. Rapidement, nous arrêtons de tourner autour du pot, allons vers notre point d'intérêt commun qui implique la van. Bien sûr, on n'oublie pas de s'embrasser et de se tripoter en marchant. Elle me connaît trop, sa craque de sein bien visible à la table, n'a pas arrêté de me faire de l'œil! Ça ne prend pas beaucoup d'étincelles pour m'allumer.. hihihi!

La vraie heure du dîner est installée, la halte routière sortant des années 80 s'anime d'une vie nouvelle, le sprint vers les tables de pique-nique peu nombreuses est lancé. Il y a un va-et-vient constant de voitures et de visiteurs, assez pour faire fuir les gens louches.. mais n'a pas d'effet sur moi et ma compagne.. n'y sur d'autres étranges personnages! J'ouvre la portière coulissante, mon amie en profite pour y transférer ses agrès de.. péchés.. holala (couverture, coussin, nécessaire à toilettage, jouets sexuels)! Puis, je l'invite à y entrer, sans oublier de lui caresser les fesses au passage.. huuuum. On ne perd pas trop de temps, le placotage a été fait en lunchant, nos sexes sont parés aux feelings. Je baisse mes pantalons en m'assoyant sur la banquette, alors que ma compagne pose ses genoux sur un coussin qu'elle eut la prévoyance d'amener avec son ééééénorme kit de "survie dating". Mon short disparaît, mon pénis en érection rebondit comme un jouet "clown à ressort (Jack-in-the-box)"!
- Oooooh.. ça faisait tellement longtemps que ta belle queue ne s'était pas montrée à moi!
- Comme tu vois, dis-je, elle est toujours aussi excitée de se prêter aux jeux des rencontres.
- Tu te rappelles que je t'ai toujours raconté vouloir percer le mystère de cette tache de peau claire sur ta queue, juste là.
- Ça doit être de l'usure, à force de me branler.
- Huuuuum. Est-ce que tu te masturbes de cette manière pour y laisser ta marque? Demande mon amie, toujours aussi fascinée par ma verge.
- Rappelle-toi que je dois avoir quarante ans de pratique.. ce coin de peau a été astiqué à la mesure d'un cours de karaté de monsieur Miagi!
Pendant que mon amie empoigne ma queue pour intimer la masturbation, tout en glissant le pouce sur le gland. Je fais un tout petit geste qui la prend par surprise. Je glisse mes doigts dans les siens pour ainsi, partager la masturbation et toucher ensemble cette verge dressée. Le geste est tellement intime que l'on se partage des frenchs baveux.

Rapidement, mon amie fait disparaitre mon gland dans sa bouche, vétéran médaillé de cette science qu'est la fellation, donc elle connaît bien les secrets. Hooooolala, je m'y abandonne, laissant les pulsions de plaisir monter dans la moelle épinière. Pendant que je gémi doucement, mes mains glissent dans les cheveux de ma compagne, lissant cette mèche rebelle qui ne veut que se mêler avec la salive de la fellation. Pendant que je double.. non.. quadruple mon excitation en regardant ma verge se faire manger, mes mains descendent sur les épaules de mon amie puis, pénètrent dans le décolleté pour attraper les seins. Voyant mon désarroi, ma tentatrice se relève en dégrafant le soutien gorge.. pour libérer sa lourde poitrine qui a toujours été pour moi, une source d'admiration.. woooow! Ooooooh ooooouuuiiii, gros et lourd, assez pour dissimuler ma queue dans une craque de sein abyssale. Alors que toute mon excitation est dirigée sur les gros seins qui se balancent..
- Caches-toi, il y a quelqu'un à côté, me dit-elle en se plaquant sur moi, pour se faire tout petite.
- Il ne peut pas nous voir, les vitres teintées deviennent opaques dans le jour.
- Je te le dis qu'il regarde par ici, je suis certain qu'il nous voit.
- Ben non.. impossible.. je te le jure.

Bon, j'ai quand-même ce petit doute lorsque je vois l'homme dans la soixantaine avancée. On dirait clairement qu'il nous regarde de derrière ses lunettes fumées, mais son visage impassible me convainc du contraire. C'est bien possible qu'il soit passé maître dans l'art du "poker face". En tout cas, l'homme traîne entre nos deux voitures, semblant attendre quelque chose qui ne vient jamais en scrutant l'horizon. Un.. deux.. trois.. pouf.. l'homme disparait. Enfin! Ma queue se retrouve dans l'abysse insondable de la craque de sein de ma compagne! Woooow! C'est une chose qui sera toujours un plaisir renouvelé, des sensations uniques, surtout lorsque le gland se promène sur les mamelons. Note de l'auteur et du propriétaire de cette queue, je ne me souviens plus pantoute de la suite de cette rencontre, ce n'est pas le syndrome de la page blanche, mais le malheureux syndrome d'un blanc de mémoire cinquantenaire. Je me rapelle que l'homme s'est présenté une seconde fois dans le coin de nos voitures, en ayant la même mine. Peut être était-il attiré par nos voix ou par les soubresauts de la minivan? Pourtant, on a évité la traditionnelle pénétration, les contorsions deviennent laborieuses dans ce lieux exiguë. Ma compagne m'a souvent dit qu'elle craignait trop de mouiller le tapis de plancher de la minivan.. étant une femme fontaine confirmée. Mais, j'imagine qu'elle a eut droit à un traitement qu'elle adore au-dessus de tout, une éjaculation de sperme sur ses seins! Je me souviens qu'elle a promener ses doigts dans mon jus, profitant au maximum de ce moment qui n'arrive pas souvent!

C'est toujours trèèèèès difficile de porter en mot les feux d'artifices de feelings pour ce genre d'histoire. Avoir une petite aventure hors des sentiers battus remplies vite la boîte crânienne d'un milliard de souvenirs! Ces récits grandeur nature me suivront toute ma vie et deviennent des reliques qui ressurgissent sans trop d'introspection. Étrangement, même si c'est une aventure sans pareil, j'ai plutôt gardé l'histoire dans sa globalité au lieu de me concentrer sur les moments de booooon seeeeexe. Il est vrai que j'ai déjà raconté, de vive voix, à des connaissances, certains de ces hauts faits.. d'armes. Est-ce que tout est racontable? Bien sûr, c'est là qu'il faut jongler avec les mots, tout dire sans rien dire.. hihihi! Est-ce que j'ai déjà évoqué mon incursion à la halte? Vraiment pas. Disons qu'il y a quelque chose d'illicite dans cette histoire que je qualifierai de pratiquement improbable pour ceux me connaissant dans la vraie vie. Je fais tout pour bien garder cette image de gentil garçon! S'ils savaient.. ils seraient sûrement outré pour mille et une raisons. Avec la tête froide, j'ai quand-même une question qui demeure depuis toutes ces années; est-ce que l'homme âgé, qui se promenait entre nos bagnoles, voyait la trame de feelings qui se déroulait dans l'habitacle? Mystère et boule de gomme.. jamais je ne le saurais. C'est sur cette question que je vous laisse en vous disant.. merci pour être passé ici!


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