114- Confessions caféinées de cubicule (13NOV23 3/10)!

Pour ce texte, je vais poursuivre dans la même veine que le billet de blog numéro 113 et, dans une moindre mesure, le texte 094. Si c'est votre première visite sur mon blog, vous savez quoi faire, du rattrapage! Vous êtes encore ici? Parfait. Parce que je c-a-p-o-t-e sur les femmes rondes, mon milieu de travail met à rude épreuve ma contenance, hihihi! J'ai "a big lot of colleague" qui me font de l'effet en tabarouette et la plupart se range sous le vocable "femmes rondes". Mais bon, comme tout le monde dit, "don't fuck with the payroll"! Pour ceux qui ne connaissent pas bien la langue de Shakespeare, ça veut dire en joual, "ne fourre pas avec les chums de la job". Pssst, j'ai fouillé un peu les Internets pour savoir d'où vient la fameuse expression. Elle n'aurait pas d'origine précise, mais demeure utilisée dans toutes les sauces du milieu professionnel. La chose qui est bien établie avec l'expression, c'est que l'utilisation de l'argot et sa vulgarité est là pour délivrer un message qui fesse.. les histoires de couchettes avec tes collègues peuvent avoir des répercussions importantes sur ta carrière, garde tes mains chez-vous! Ouf! Je connais plusieurs de mes collègues qui ont passé outre cet avertissement.. quand le couple de collègues file le parfait bonheur, ça nous fait jaser.. quand le couple flirte avec la crise et que ça va mal, ben, ça nous fait jaser aussi. Jusqu'à maintenant, je n'ai vu qu'une seule de ces relations payroll où ça s'est terminé par une cessation d'emploi pour un des protagonistes.. ouf! Pourquoi vous me regardez comme ça? Je vous le jure, je ne fais pas partie des statistiques de ces gens qui ont sauté la barrière du payroll.. hihihi!

Même si je n'ai pas sauté la clôture.. oups.. sauté le panneau du cubicule, ça ne veut pas dire que je ne m'intéresse pas aux femmes du boulot.. ouf.. j'essaye plutôt de ne pas en faire une obsession. Surtout que je sais que 10 % du payroll sont des couples qui travaillent ensemble. Même, je dirais que 10 % est une statistique pas mal conservatrice, je penche plutôt vers le vingt points de pourcentage. En plus, au plus grand plaisir des amateurs de commérages, il y a eu une vague de couples qui changeaient de partenaire, il y a quelques années. Ce fut une période très faste pour le potinage entre employés! Aujourd'hui, c'est un portrait plutôt calme du côté des amourettes, les plus beaux hommes séducteurs se sont calmés le pompon et sont "cassés". Mettons que l'étiquette "red flag" est bien étampée dans leur front. J'ai déjà jasé avec l'une de celles qui est tombée dans le piège des séducteurs. Même si elle se voyait dans un lac de drapeau rouge, elle a sauté par-dessus le bastingage, retournant sa vie à l'envers, pour ramasser les pots cassés plusieurs mois plus tard. Est-ce qu'elle a des regrets? Non. Elle de retour avec son ancien chum, gardant une porte entrouverte que le séducteur peut parfois traverser, tel un vendeur de balayeuses ayant réussi à coincer son pied sur le battant de la porte.

Si la pandémie a calmé les histoires de couchettes, les miennes incluses, les parties du cerveau créatif ont pris le relais pour m'offrir des histoires propices aux afflux d'endorphines et à l'engorgement des corps caverneux et spongieux.. de l'organe que vous savez bien identifier. Mes collègues de travail sont une source inépuisable pour ces histoires qui m'aident à canaliser un trop-plein d'énergie vitale.. ouin! La prochaine histoire que je vous raconterai, elle provient de mon moi profond. J'ignore totalement si c'est commun chez les gens de mon espèce que de fantasmer des folles aventures sexus dont vous êtes le héros de l'histoire. J'ai cette collègue ronde qui me donne tellement de matières à rêver, que je lui ai déjà dit d'arrêter de s'en faire avec ses courbes, "elles sont parfaites"! Cette femme, que je vais nommer Ève pour l'histoire, est un rêêêêêêve pour l'admirateur de femme ronde que je suis. Pourquoi? Premièrement, elle est d'une assurance sans faille et ne laisse pas ses rondeurs lui poser des obstacles. Non, elle ne fait pas une Lise Dion d'elle-même en plaçant ses courbes comme produit d'appel! Disons que tout le monde sait qu'elle est grosse, puis on s'en fout.. heu.. peut-être pas moi.. ni son chum qui travaille dans le même établissement. Et physiquement, a-t-elle tout pour me faire capoter? Ben.. oui.. un french me rendrait complètement fou d'elle! Pour tout vous dire, elle n'est pas très grande (son chum non plus), visage ni rond ni masculin, cheveux longs jamais portés longs (je lui ai d'ailleurs fait la remarque que ses cheveux lousse, c'est wooooow). Épaules carrées, silhouette plutôt pomme et.. ouf.. des grosses cuisses équipées de mollets de fer, se durcissant à chacun des pas. Mettons que j'en sais quelque chose, elle revêt presque exclusivement des shorts de jeans ou des jeans en pleine longueur, moulant comme je les adoooore. Elle a tout pour me faire capoter lorsque je suis seul dans mon lit avec une érection à satisfaire!

Imaginons une histoire avec Ève.. elle qui nourrit continuellement mes fantasmes. Sa voix chantée, je l'écouterais sans jamais être rassasié. Cette femme s'implique dans mille et un projets qui la passionne et la façonne, hyperactive pour garder ses cuisses telles qu'elles me font fondre. Il y a ce jour où je marche dans un long corridor du bureau, entre deux départements, et que devant moi, arrive cette nouvelle gestionnaire que tout le monde sait qu'elle est en poste sans savoir où. Gardant son regard affairé sur son paquet de pamphlets, nous allons imperturbablement nous croiser. Elle est comme l'effet d'une claque, mes pensées d'ordre sexuel se bousculent. "OMG! C'est elle la nouvelle! Comme elle est grande et mince.. comme elle est jolie.. une tignasse blonde est gage de tigresse! Queeeeel look d'enfer, jupe et collant". Tous les scénarios cochons possibles impliquant une femme d'affaire, ils s'alignent un après l'autre dans ma tête. Arrivée à sa hauteur, elle ne porte aucun regard sur ma personne. Se sachant constamment convoitée sexuellement, elle doit s'être construit une carapace d'acier.

"Ne pas me retourner.. ne pas me retourner.."! C'est un mantra qui passe en boucle dans mon ciboulot, mais je suis incapable de m'en tenir à ces mots. Dès que la nouvelle gestionnaire se trouve à dix pas derrière moi, je me retourne pour lorgner ses fesses.. oooooh.. une jupe tendue offre une vue iiiiiiincroyable! Une voix chantée s'élève dans le corridor, "qu'est-ce que tu fais là"? Ma tête tourne en direction opposée, Ève m'a bien vu détailler la silhouette de la nouvelle gestionnaire.
- Ben.. heu.. je me demandais c'était qui.
- Ouin ouin ouin. Vous êtes tous pareil, vous les hommes. Dès qu'il y a une nouvelle, vous allez lui sniffer le cul.
- Moi? Faire ça? Je suis trop enfant de chœur, tu le sais bien. Tsé, pour parler de la nouvelle avec mes collègues, je devais avoir des détails.
- Tu parles.. ce genre de détail.. je suis certain que vous avez fouillé sur l'Internet pour en savoir plus sur Kathia.
- Aaaaah, c'est comme ça qu'elle s'appelle.
- Arrête, ta sincérité rejoint celle des politiciens. Anyway, j'avoue qu'elle est jolie. Elle n'a pas le défaut d'avoir mes grosses hanches.
- En tant qu'admirateur de courbes, tu sauras que je préfère les tiennes à celle de.. comment donc.. Kathia!
- Mon snoro. Ça n'existe pas d'hommes qui préfèrent les bourrelets. Ils sont les premiers à nous parler d'exercice et de diète. Viens au bureau, j'ai un projet à te présenter.

En fait, son bureau est tout juste où je me suis fait.. reluquer en train de reluquer! Ève ferme la porte derrière moi et rejoint son fauteuil pour afficher une présentation PowerPoint sur l'écran.
- Je n'ai pas terminé le montage du document, mais toutes les grandes lignes du projet sont présentes. Je vais pouvoir vous montrer la version finale bientôt.
- Wow.. tu as vraiment de la drive. La gestion va t'admirer!
- En parlant d'admirer, j'ai entendu dire que tu étais un admirateur de femmes rondes?
- ...
- Pis je suis une femme bien dodue. Qu'est-ce que tu penses de moi?
- Heu.. ben..
Je me lève et fais mine de quitter le bureau, même si je ne veux pas. Incapable de trouver une échappatoire verbale, je pose une main sur la poignée de la porte. J'ose un dernier regard derrière.. je fige! Ève est assise sur son fauteuil, jambes croisées, une grosse cuisse me fait de l'œil. Comme une fanfare, le rire d'Ève remplit le local de sa joie.
- Si tu te voyais, je pourrais ramasser ta mâchoire par terre. Ta réaction me dit que tu n'es pas déçu par ce que tu vois, souffle Ève en glissant une main sur sa cuisse. Assieds-toi ici, je veux que tu me fasses plaisir.
- Non.. heu.. oui.. bien sûr.. te faire plaisir? Que veux-tu dire? Ton chum..
- Tu tu tu. Mon chum n'aime pas toucher mes rondeurs. Je veux que TU me donnes des caresses pour les grosses femmes.

Ève écarte les jambes quelques secondes avant de se lever, faisant lever mon "Basic Instinct". Je suis ébahi et hypnotisé par la tournure du moment. Elle se lève sous des mollets qui se bandent sous l'effort. D'un geste que je n'ai pas su suivre, elle déboutonne son short pour libérer un gros ventre qui n'est plus compressé. Les lèvres me fendent le visage, s'attirant un sourire sous le nez d'Ève. Deux pas pour me rejoindre, je m'écrase sur le siège derrière moi. Omg.. qu'est-ce que je suis en train de vivre là.. n'ayant pas le temps d'appréhender qu'elle assoit ses fesses sur mes jambes. "Vas-y, donne-moi cette chance inespérée que mes rondeurs soient chéries par un homme". Ooooooooh.. je n'attends pas d'y être obligé! J'empoigne son gras de taille et laisse mes mains suivre le repli jusqu'au pubis.. soulevant le ventre et le laissant retomber. Je recommence plusieurs fois, usant de fermeté, du bout des ongles, soulevant les replis pour me glisser dessous.. c'est un feeling incroyable.. empoigner ce gras d'abdomen au-dessus de la zone pubienne.. ouf.. c'est comme caresser un troisième sein! Ma collègue doit vraiment se sentir inconfortable avec mon érection qui menace de lui transpercer le dos. "Ooooooh mon choux, si tu savais comme je capote. C'est totalement fou dans ma tête. Je sais que ça doit être du fétichisme, mais c'est comme une libération. Mes bourrelets t'en remercient"!

Je résiste à la tentation de dégrafer son soutien-gorge. Je monte les mains sous son t-shirt tendu en laissant mes doigts suivre les replis adipeux sous les omoplates.. tout doucement.. je ne veux surtout pas qu'elle se débatte sous une sensualité chatouillante. Ève se cabre le dos et lève les bras, me laissant toute latitude pour mon exploration. Hoooolala.. je glisse longuement sous ses seins, je tremble tellement mon combat intérieur est intense. Pour couper court à mes pulsions mammaires, je continue mon chemin tout haut, vers les bras, les triceps mous méritent mon intérêt. "T'aimes vraaaaaaiment les grosses femmes, je ne pouvais pas croire que ça existait en vrai ailleurs que sur Pornhub". Ma collègue se lève debout et se penche vers moi.. je sais quoi faire.. son ventre, tiré par la gravité terrestre est ma destination. "Voilà chère madame, c'est comme ça qu'on touche des femmes rondes. Tu n'as pas connu les joies et peines de la maternité, ta peau du ventre est encore bien lisse et douce. Tu te plais à ressentir mes mains malaxer ton ventre? Je te laisse imaginer à quoi servent les bourrelets en position levrette.."! Sans avertissement, Ève se redresse et place un pied sur mon entrejambe.. appuyant le bout du soulier sur mon érection. Son genou replié, sa cuisse pendouillante.. ooooh.. mon rêve est exaucé.. je peux enfin y glisser une main et y laisser gambader le bout des doigts sur les aspérités de la cellulite. Wooooow! À ce moment, j'ai tellement le goût de l'embrasser, de lécher et mordre tout ce qu'elle me présentera. Même si ma tête est hors de ce temps, les trucs de la vie réelle me ramènent sur Terre, comme la sonnerie d'un appel par Teams. "Shit! J'avais oublié celle-là! J'ai un appel conférence avec Chantal. On se reprend, je pense que tu as plein d'autres trucs à m'apprendre"!

Wooooow! Toute une histoire qui m'a donné plein de belles images en tête à l'écrire. Je crois bien que toucher une femme ronde qui assume ses rondeurs, ça doit bien ressembler à ça. Ok, vous comprenez que je n'ai que la portion masculine de l'histoire. À part m'être fait dire que je suis le premier, chez certaines de mes connaissances, à avoir osé prendre les bourrelets à pleine poigne, je ne connais pas le ressenti du côté feminin. Honte à moi, je n'ai jamais manifesté le désir de le savoir. Puis, l'Internet est pas mal muet sur cette question qui ne se pose pas. Des histoires fictives avec des humaines bien réelles, je suis ceeeeertain que dans la tête d'autres collègues, ces scénarios typiques s'y déroulent, hormis les femmes dodues. Les histoires idylliques entre collègues sont bien connues, elles sont chuchotées, elles sont décriées, elles sont enviées et elles ont probablement toutes débuté par des pensées cochonnes. Je ne suis pas le premier à l'avouer que de fantasmer sur ses collègues, mais bon, ce genre de récit ne court pas les rues. Du même coup, j'espère que je vous ai bien exposé l'art de toucher une femme ronde sans vous dégoûter, hihihi! À la prochaine et merci d'être passé sur mon blog!

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