094- Confessions caféinées de cubicule (09JUN23 1/2)!

Vous venez ici pour lire mes histoires, parfois ce sont des scénarios et d'autres fois des anecdotes. Pour ce billet, ce ne sera rien de tout ça. J'y explore ces petits crushs secrets au bureau, mon quotidien quoi! Penser qu'une femme est en amour avec moi parce qu'elle tient la porte de l'ascenseur pour que j'y prenne place 😅. C'est ma réalité et c'est probablement une réalité pour beaucoup d'hommes (toutefois, ceux-ci ont probablement autre chose en tête que des femmes dodues). Même si mes désirs envers ces collègues sont là, il n'est rien arrivé de concret. Ce n'est pas comme dans les films où le "reject" de la classe n'a d'yeux que pour la reine du bal et qu'à la fin du film, il réussit à la matcher au nez et à la barbe des Jocks! Avant que je décide de me lancer dans les graaaaandes aventures des rencontres avec bénéfices, disons que j'étais dans le niveau pee-wee pour mes relations avec les femmes. C'était plutôt.. platonique mon affaire.. jamais je n'aurais osé dire à l'une d'elles que ses lunettes lui donnaient un air cougar ou qu'elle porte bien sa nuisette d'été! Mais non!

Aujourd'hui, j'ai bien compris des petits principes pour éviter d'être trop boooooring avec des humaines désirées et j'utilise le tout avec.. prudence et modération. Par exemple, si tu prends un coup, c'est-à-dire davantage d'alcool que ton métabolisme peut tolérer, mettons que les risques de dérapage sont grands. C'est pareil pour la communication avec une personne qui te fait chavirer, les tentations sont grandes pour un homme; placoter sexualité, commentaires désobligeants, dick pick. C'est poche d'écrire ça, mais je dois vous faire comprendre que la biologie des mâles est ainsi faite, plusieurs laissent l'instinct bestial prendre le contrôle à de bien mauvais moment.. et c'est pire si l'homme est bandé! 

Revenons à nos moutons. Des jasettes sans phrase d'accroche ne crée pas ce feeling de "il faut se re-re-revoir". J'ai appris ça à la dure, dans ma collégialité. Par exemple, être un livre entrouvert et sortir, de temps en temps des petites pointes de sa vie intime, ça permet de rester au-dessus de la friendzone avec les protagonistes d'intérêts.. hihihi! Ouin, c'est peut-être une des premières règles du potinage, en révéler juste assez pour créer un intérêt soutenu. Pssst.. je ne détiens pas la vérité sur comment entrer en relation avec un collègue qui vous fait de l'effet, j'essaye de porter en mots ce que j'ai constaté avec le recul, dans tout ce que j'interprète de mes relations avec mes humains favoris! Cette petite prémisse vous dirige vers cette époque où j'étais vraiment "bloqué" quelque part.. une barrière que je n'ai jamais réussie à cerner. J'imagine que Doc Mailloux aurait accusé ma mère pour ce blocage mais bon, je n'ai jamais rencontré ce psychanalyste. Alors que nous sommes arrivés en 2023, bien sûr, j'ai fait du chemin, j'ai compris des trucs.. genre que je suis au niveau sept sur huit du système de classement alpha masculin, soit le mâle oméga soumis, qui est mieux qu'oméga inférieur.. hahaha! Les hommes ne le diront jamais, mais toute notre vie nous essayons d'être l'idéal masculin (et la définition de masculin est trèèèèèès subjective). 

Après mûres réflexions, j'ai vainement essayé d'utiliser ma vie professionnelle pour mousser ma candidature et monter les échelons de la masculinité. En vain je dis bien. Je crois que j'ai appris.. même si la peur de la claque dans la face est toujours là!! Explorons chronologiquement les projections de mes désirs sur mes collègues, au travers le temps et ces collègues avaient tous un point commun, les bourrelets! J'ai commencé ma vie professionnelle dans une PME de village. Nous n'étions vraiment pas beaucoup de salariés, incluant la fille du patron, qui était mon rayon de soleil quotidien. Oui oui, elle était plus jeune, maximum six ans de moins, je ne me souviens plus, mais c'était une jeune femme tout en rondeurs, blonde, aux yeux sombres et profonds, le caractère bouillant, et cette drive renversante.. ça ne manque pas de faire démarrer la machine à fantasme! Nous avons toujours eu une relation cordiale et j'étais persuadé qu'elle savait que je la regardais sans la regarder, ça doit se voir dans le regard d'un homme.. plutôt, dans le ti-gars que j'étais. Toujours est-il qu'elle comprit rapidement le pouvoir qu'elle avait sur les garçons. Elle dut se fabriquer une carapace pour repousser les multiples avances d'hommes. Elle a vite saisi comment ne plus être une proie à tout instant, en s'attachant avec l'homme alpha le plus bonnasse de la Terre (mâle alpha ultime).. qui est devenu le gars le plus convoité du comté, à son tour. Ce couple a duré quelques années, mais convoitise et jalousie ont eu raison de l'aventure du couple. Dans mon analyse de la chose, j'ai vu la jeune femme devenir une tigresse.. après avoir quitté l'homme adulé, pour s'entourer d'hommes vraaaaaaiment "tapis". Après trente ans, j'ai croisé le chemin de cette femme par hasard, lors d'une foire commerciale, et wooooow! Plein de placotage sur nos vies, incluant des détails croustillants. Tout était écrit dans le ciel qu'elle allait diriger un petit empire. Elle est justement à la tête de plusieurs succursales d'une entreprise dans un monde typiquement masculin, la reine et son harem. 

Dans une autre vie professionnelle, suivant la précédente, j'ai continué d'être ce gars gêné au plus haut niveau de l'IASPF (Indice d'Anxiété Sociale envers les Partenaires Féminins.. hihihi)! L'entreprise pour laquelle je travaillais à ce moment était du niveau des "moyennes entreprises". Ooooooooh.. j'étais lancé dans un univers d'interactions sociales, relativement nouveau pour moi; les 5 à 7, amis collègues, le clubbing, les gardens partys, les partys de bureau.. tout ça.. dans le même état d'esprit d'anxiété sociale.. pas envers les boys, je suis certain que vous comprenez. Il y avait cette collègue que j'avais spottée depuis un bout; petite et rondelette, avec un sourire chaaaaarmeur! Elle manifestait une assurance hors pair.. vraiment! Lorsque nous travaillions ensemble sur un même projet, je lui demandais de chanter (elle est maître [ou maîtresse] en karaoké), m'évadant dans sa voix.. hoooolala.. tout plein de feelings me traversaient le corps, ne voulant jamais que cette vibration ne s'arrête! La croissance de la compagnie nous a éloigné, jusqu'à ce qu'elle annonce son départ de l'entreprise. Je n'ai pas osé lui dire qu'elle fut un crush.. lors d'un tendre enlacement d'adieu. Récemment, par un heureux hasard de circonstance, elle m'a fait visiter la nouvelle entreprise qui l'embauche. Je voulais tellement lui dire que je l'ai toujours adoré, étoffant mille et un plans pour lui dire.. guuuuurlp! Totalement iiiiincapable de faire ce pas. Elle est beeeeeeelle, ronde et féminine au coton!

Il y avait de ces matins que j'avais le temps de recevoir ce petit boost d'endorphine. Je croisais la route de cette femme bien dodue, en apparence sévère et dominante avec sa longue chevelure montée en chignon. Elle était chef d'une entreprise voisine, dans la tour à bureau. Presque toujours en jupe et collant assorti, bottes à gros talons. Je n'avais pas de peine à me l'imaginer seul dans l'ascenseur, améliorant son brushing devant le miroir entre les étages, remontant ses seins dans le soutien-gorge pour qu'ils paraissent plus gros! Du fantasme? Probablement.. c'est juste dans les films des affaires de même. Sa compagnie a fini par déménager non loin, et la femme est disparu de ma map.

Puis, j'ai eu cette collègue inoubliable que je rencontre parfois dans la ville, par hasard, pour du placotage animé. Mon admiration pour cette connaissance était purement physique.. ouin.. une femme grosse et aguichante. Elle savait que ses courbes étaient un plaisir de la vie, des rondeurs parfaites pour s'attirer un fan-club masculin. Si cette femme aurait été plus grande en taille, elle pouvait certainement faire la une du Sport Illustrated Swimsuit. Elle eut accumulé plusieurs mariages malheureux, incluant celui sous la case outremer (les insulaires sont friands de femme bien en chair et elle en a profité), avant de s'assagir côté séduction. En tout cas, elle a gardé ses hanches larges et sa plantureuse poitrine, qui ne faisait pas partie du patrimoine familial à partager lors des nombreuses séparations! Psssst.. je lui ai dit que je l'admirais secrètement.. hooolala! Je ne me souviens plus de sa réaction, mais je sais qu'elle n'a pas été outrée. Tsé, quand tu places sur Facebook des photos de tes bourrelets en bikini.. je n'ai pas le choix d'être en parfaite admiration!!!

Croyez-vous que ce sont les seules collègues de bureau dont j'ai eu un petit kick? Maaaaais non! Il y avait une collègue grosse, vraiment ronde.. ok.. il n'y a pas de quoi s'énerver. 

- Avec des lunettes, est-ce que ça change quelque chose? 

- Ouuuuuuuf oui, tsé, je suis un lunettophile hein? Y a-t-il autre chose?

- Elle a des cheveux longs, ça ne doit pas te faire d'effet.

- Arrête, tu t'attaques à mes fantasmes.. vraiment.. je capote!

- Ça veut dire que je n'ai pas besoin de te dire qu'elle a une longue craque de seins et des fesses bien dodues.

- C'est décidé, je la marie! Son accent du West Island est trooooop hypnotisant!

Oui, cette collègue a bien existé. Chaque jour, j'espérais tellement la voir, l'entendre rire, sentir son parfum.. hooolala! La plupart de mes collègues savaient qu'elle était de mon goût et m'agaçaient avec ça. Si vous l'auriez vue à son dernier party de Noël du bureau.. seeeeeexy sans bon sang. Un jour, elle changea d'emploi, à son tour. Elle m'a fait un cadeau de départ.. une photo d'elle et de moi prise à un party d'Halloween, moi en policier, elle en prisonnière, où ses gros seins tenaient à peine dans sa tunique rayée. Huuuuuuum!

Il y a eu cette grande femme de six pieds, célibataire, à la maîtrise de l'université Laval, ronde à taille X (sablier), toujours élégante et d'un calme légendaire. Elle était dans mes fantasmes, ooooooh oui! Même âge que moi, voisine d'anniversaire, bonne vivante.. je faisais touuuuut pour la côtoyer. Un jour, j'étais à une plage de camping sur le bord d'un lac, en mode solitaire. Un ami d'ami de boulot est venue me rejoindre, pour y passer l'après-midi. Il m'a posé un milliard de questions à propos de cette magnifique collègue.. et croyez-le ou pas.. la semaine suivante, il formait un couple avec ladite collègue.. nooooooon! Aujourd'hui, lorsque je la rencontre par hasard, on se plaît à se remémorer les trucs de cette époque révolue où l'on travaillait ensemble. Ce qui est étrange, c'est que, lorsque j'ai su qu'elle était en couple, mon intérêt fantasmagorique s'est éteinte à jamais.. bizarre! En 2023, je la trouve désirable au boutte.. mais elle a cessé de me faire bander.

Il y a eu cette stagiaire française qui fut et qui est encore aujourd'hui, un kick incroyable! Qu'est-ce qu'elle avait de si extra, à part ses rondeurs, ses frisottis, son énergie pétillante? Huuuuuuum.. vous allez rire de moi.. c'était une provençale dans tous les sens du terme; d'abord de la Provence, sa légèreté, sa timidité, sa bonhomie, son caractère soudainement explosif, ses robes d'été très ouvertes! Elle était pour moi de l'exotisme à l'état pur, l'image que j'avais d'Emmanuelle au format de plus toutoune.. hihihi! Hooooolala, son contrat n'a pas duré longtemps, mais je l'ai rencontrée une fois à l'épicerie.. elle m'avait reconnu, pas moi! Wooooow! Je vous le dis, nous avons assez placoter pour que la dinde congelée dégèle dans le panier.

Et, je vais m'arrêter après, je vous le jure. Il y eut cette collègue voisine de bureau, dix ans de plus que moi. Cette année-là, j'avais pris des tâches supplémentaires sous mes ailes. Hum. J'ai eu la chance d'être dans son bureau. Elle aussi avait quelque chose d'exotique pour mon intellect de péquenot qui travaille en ville. Une année entière avec cette femme que l'on ne peut qu'admirer.. et moi.. je l'ai vraiment adoré! Elle était d'une gentillesse hors normes et d'une douceur inégalable, sa voix était une dose d'antidépresseurs quotidienne. Physiquement, c'était une grande femme ronde à la silhouette en V, soit les épaules plus larges que les hanches. Ses cheveux.. étaient un cadeau qu'elle me faisait ces jours où elle les laissait pleine longueur.. ooooooh.. je ne manquais pas de la remercier chaque fois qu'elle "négligeait" de les attacher. Et.. son éééénorme poitrine était ma caféine matinale.. hihihi! Aujourd'hui, lorsque je la rencontre au gré d'un magasinage, je suis surpris comment elle semble si fatiguée, traînant son mari, que j'ai connu, qui n'est devenu que l'ombre de lui-même. Elle ne me l'a jamais dit, mais je suis ceeeeertain qu'il est malade. Anyway, je peux vous dire que cette collègue, ben, je l'ai eu dans un nombre incalculable de scénarios d'autosatisfaction.

Voilà, le tour de mes crushs est fait. Je ne vous ai pas parlé des belle signore du boulot actuel, hihihi! Ce sera pour une autre fois! Je peux vous dire qu'il s'en passe en maudus des affaires dans le crâne d'un admirateur de femmes rondes pas mal introverti sur les bords. Tout ça, je vous le révèle bien candidement, n'ayant jaaaaamais couché avec l'une d'elles. Don't fuck with the payroll qu'ils disent, sauf si tu es prêt à quitter ton emploi pour faire face aux conséquences.. ouf! Ce n'est pas les désirs en ce sens qui manque, mais bon, ce boulot, j'y tiens! Je suis un homme qui vous a révélé ses histoires bien enfouies.. imaginez-vous que, s'il y a 50% d'hommes dans votre milieu de travail et que 100% de ceux-ci ont ces petits crush secrets.. ooooooooh.. ça en fait des histoires! Ça, c'est pour les gars. Je n'ai jamais su si les femmes ont ce genre de truc qui leur passe par la tête.. 🤔 s'il vous plaît, éclairez-moi sur cette interrogation! Dans tous les cas, je vous dis merci de votre passage et à la prochaine!

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