113- Confessions caféinées de cubicule (21OCT23 2/10)!
À ceux que ça intéresse, disons que ce texte est une suite de 094- Confessions caféinées de cubicule (09JUN23 1/2).. oui ça fait un bail.. oui je vais y ajouter plusieurs suites! Pour ceux qui travaillent avec le public, vous remarquez sans doute que certains de ces gens vous laissent indifférent alors que d'autres vous donnent des frissons qui arrivent à faire bouillonner vos parties intimes.. vous faire bander ou mouiller si vous préférez. En tout cas, je ne connais que le côté masculin de cette réaction. Quand ça arrive, il est fort probable que personne ne connaît l'état de vos feelings à ce moment, je gage que vous garderez le tout pour vous. À moins que ce vis-à-vis que vous trouvez hors de l'ordinaire, ne remarque que vous soutenez son regard, que vous passez votre main dans vos cheveux, que vous vous mordez les lèvres, que vous vous inclinez subtilement vers la personne d'intérêt, que vos mains sont moites et que vous êtes son être miroir.. hihihi! Ok, ça doit être juste dans les films ces évidences, mais il y a quand même du vrai. Ces mimiques sont bien connues dans l'art du flirt. À ceux-ci, ajoutons d'autres mimiques telles que, le ton de voix qui change (mielleux), on pénètre dans la zone d'intimité de l'autre, on cherche à faire des contacts doux et subtils (épaules, poignets), on sourit et rit très facilement.. ouf! Même avec tout ça, c'est toujours extrêmement délicat d'interpréter les signes d'intérêts vis-à-vis les flirts.. et c'est plus aisé d'accepter un statu quo. Vous pouvez utiliser la télépathie pour fouiller les signaux enfouis, afin de savoir s'il y a un intérêt réciproque. C'est de la fabulation! Oui, oui.. expulsez plutôt un nuage de phéromones pour envoûter ce flirt naissant. Quoi, le concept de phéromone n'a jamais été prouvé chez les humains? Bien sûr, il nous manque pas mal de tissu olfactif pour que la technique soit envisageable. Pssst.. messieurs.. en parlant de phéromones.. une recherche en 2010 indique que les tigresses ont un intérêt marqué pour les effluves du parfum Obsession de Calvin Klein.. qu'attendez-vous.. héhéhé.
Ça prend davantage qu'un parfum pour "dégager". Il n'y a pas de recette miraculeuse pour connaître véritablement les intentions derrière une approche ou devant des signaux que l'on pourrait interpréter comme une invitation à la drague! Et vous savez certainement que nous les gars.. nous sommes idiots dans l'interprétation de ces démonstrations. Je vais parler pour moi, dès qu'une femme daigne de porter un regard sur ma personne pendant plus d'une seconde, je tombe en amour et ma machine à fantasme s'emballe! Bien sûr, c'est toujours une fausse alerte, même s'il est trop tard pour le corps, la réaction en chaîne des désirs s'est lancée. Ne rien laisser transparaître de mon match (au sens littéraire et figuré) intérieur est tout un contrat. Il me serait facile de me lancer dans une suite irrationnelle des divers signes pour afficher mes.. intentions envers cette femme, je ne le fais pas, tout de moins consciemment. Les plus malotrus des hommes enchaîneraient probablement avec des allusions d'ordre sexuel tout en plaçant un pied dans l'aire d'intimité de son vis-à-vis.. ouf! Je ne pense pas avoir déjà tenté ce coup dans mon passé. Et encore moins aujourd'hui, ma situation d'homme en couple est presque aussi imperméable que le mur entre la Bande de Gaza et Israël. Par contre, c'est ici que toute l'équipe de la réalisation cinématographique dans mon cerveau prend le relais et s'arrange pour me fournir un scénario à l'eau de rose ou au jus de chatte, pour assouvir ce désir de contact hétéro, avec ce vis-à-vis qui m'est tombé dans l'œil.
Un lieu de travail, un lieu de magasinage, un lieu touristique.. tout est valide pour y voir de visu une de ces femmes qui me font chavirer et gagner l'Oscar du meilleur acteur d'un film qui se déroule alors que dans ma tête, dont la consécration est.. l'orgasme! Pourquoi pas, visitons ensemble celles qui me font vivre une bouffée d'endorphine au boulot. Ces femmes que j'ai le plaisir de rencontrer au gré d'une réunion, dans un corridor, dans le stationnement, dans la cafétéria, name it, juste un regard ou un bonjour font assurément l'effet d'une bombe nucléaire interne dans la région des.. papillons.. cette zone près du bassin.. du pubis.. et du pénis.. ouf! Dans un autre billet 088- Faites l'amour avec les yeux (06MAI23 1/1), j'avais exploré les feelings que me donnent certaines femmes rondes de mon village. Je fais le même exercice, pourquoi pas, avec ces femmes de rêve dans un endroit où je passe le tiers de ma vie je pourrais dire, les lieux de travail. Je dois vous dire qu'une seule fois en quatre ans, j'y ai vécu un flirt réel, mais qui s'est soldé par une fermeture de dossier lorsque je lui ai dit que j'étais déjà en couple. Je ne peux pas m'enlever ça, je suis franc et à livre ouvert. L'homme malotru aurait caché cette information pour avoir une chance de coucher avec ladite conquête. Mais bon, si elle aurait manifesté le désir de poursuivre l'histoire quand même.. ouf.. wooooow!
C'est justement ça dont il est question, continuons l'histoire! Tout d'abord, dans un autre texte 092- Dr Frankenstein et sa ronde (27MAI23 1/1), je décrivais l'apparence physique que j'ai de la femme de mes rêves. Celle-ci, qui m'a ouvertement demandé de "sortir" ensemble (ça m'est arrivé qu'une seule fois en cinquante ans), appelons-la Elizabeth pour l'histoire, elle correspondait justement à ce grooooos dessin que je me fais de la femme fatale.. sauf que.. en tant qu'admirateur de rondeur, il lui manquait les gros os, hihihi! Peu importe, l'apparence corporelle est l'attirance naturelle, l'attachement vient avec la découverte intellectuelle par.. le placotage, bien entendu!
- Donc, tu es en couple, cher collègue? Me demande Elizabeth avec son énigmatique sourire caché sous les longues bouclettes qui descendent sur les joues.
- Oui.. je me dois de te l'avouer pour que tu ne te fasses pas des idées, en couple fermé. Mettons que je suis assez volage et j'aime bien nos jasettes sans filtre.
- Oh! As-tu déjà flirté avec une femme tout en étant en couple?
- Oui.. je ne peux vraiment pas me contenir sur ce point.
- Ok.. as-tu déjà couché avec ces femmes?
- Je ne te le cacherai pas, je te réponds sans te cacher mes histoires de jardin secret.. oui, je l'ai déjà fait.
- Et, est-ce que je te fais de l'effet, comme une de celles qui t'a déjà ouvert son chaud minou?
- O..u..i..!
Elizabeth, qui est assise droit devant moi, dégrafe un bouton de sa veste, laissant entrevoir une belle craque de seins disparaissant dans l'ombre d'un soutien-gorge. Oui je suis tarla dans l'interprétation des signaux de consentement, mais ça, c'est une démonstration d'un oui sans équivoque. Je plonge un regard humide plein d'émoi dans le décolleté, qui est vite caché de ma vue. Elizabeth empoigne mon collet et je comprends quelles sont ses intentions. Nos lunettes et bouclettes s'emmêlent en même temps que nos langues.. hoooolala! Mon pénis durcit immédiatement, ne laissant aucun doute sur mon ressenti actuel. Je repousse Elizabeth après quelques.. secondes.. tout en regardant d'un côté puis de l'autre.
- Qu'est-ce qu'il se passe? Je n'embrasse pas bien? Dit Elizabeth avec des traits qui expriment la réflexion.
- Non.. ce n'est pas ça.. même si nous sommes dehors, les collègues pourraient se pointer.
- Et puis?
J'ai compris que les feelings sont beaucoup trop forts pour se soucier des autres. Une de mes mains se faufile entre deux boutons de la veste d'Elizabeth pour caresser un sein. Je n'ai pas le temps de calculer le ressenti de la caresse qu'une langue infatigable vient à la rencontre de la mienne.. ooooooh.. c'est.. iiiiiiincroyable!
Embrasser avec des lunettes est faisable, embrasser alors que nous avons tous les deux des lunettes, ça c'est à en perdre la vue! Je n'ai pas le choix, je dois accepter d'explorer intimement Elizabeth en mode flouté! Ce n'est pas grave, c'est le moment d'utiliser mon super pouvoir, celui de voir la vie avec les terminaisons nerveuses tapissant la langue bien huilée, le bout des doigts qui picote et la verge engorgée. Un temps indéfinissable s'écoule, même Stephen Hawking dirait que nous sommes perdus dans l'espace et le temps.. soit dans la singularité.
- Je connais un spot tranquille et beaucoup plus confortable, cher. Ramasse tes trucs.
- Es-tu certain que tu vas être capable de marcher? Ton jeans va éclater. J'espère que ton spot discret va me permettre de te soulager!
- Misère chère Elizabeth.. je ne m'attendais pas à ce genre de dîner!
- Ben quoi? C'est à ça que ça sert les dîners.. à manger, hahaha!
OMG.. jamais en quatre ans d'ancienneté ici, je me serais attendu à vivre ce moment avec une femme qui, au départ, m'attirait sexuellement. Elizabeth n'est pas une grosse femme, les mots d'aujourd'hui la classe comme une taille plump ou curvy. En bon québécois, on pourrait dire, enveloppé.
On se retrouve dans un bosquet de conifère, une petite clairière avec un banc de jardin et une bûche faisant office de table à d'office. À peine arrivée, Elizabeth déboutonne entièrement sa veste et libère des seins de belles taille par un tour de passe passe avec les bretelles du soutien-gorge. C'est comme ça que sans gêne à mon tour, j'enlève mon t-shirt pour qu'on s'embrasse peau à peau. "Le temps file bel Adonis. Ils vont m'attendre.. pas le temps de niaiser pour moi". Tout en joignant nos langues, deux mains féminines délient ma ceinture, dégrafent le bouton et libèrent une érection animée de pulsation. Ma partenaire s'assoit sur la bûche en me tirant vers elle. Je n'ai pas le temps de réfléchir, ma queue se retrouve dans une bouche chaude animée d'une langue hyperactive.. wooooow! Je sais que je ne tiendrai pas longtemps, Elizabeth sait où lécher et sucer mon point faible, le frein du gland, qui ne semble pas être un secret pour elle. Sa langue tourne sens dessus dessous, dans ce coin de mon anatomie. Parfois le gland et la hampe disparaissent dans la bouche avide.. ooooh.. je n'ai pas le choix de murmurer des vilaineries. L'éjaculation est tout proche. Alors que les veines de ma queue se raidissent, Elizabeth cesse tout mouvement en gardant mon pénis dans sa bouche. La bombe éclate.. mon foutre s'échappe des lèvres de ma partenaire à chacune des pulsations d'éjaculation.. ooooooooh! Pendant que je subis les derniers moments de l'orgasme, les mains d'Elizabeth explorent cette pièce anatomique si peu singulière, s'assurant que tous les millilitres de sperme soient expulsés de sa réserve.
Fin de l'histoire, coït interrompu, hihihi! Vous comprendrez que c'est de l'ordre du fantasme ce récit. À part que nous nous retrouvions ensemble à dîner et à potiner, cette Elizabeth n'a pas voulu franchir la barrière des couples. Mes fantasmes s'en sont occupé, de bien des façons! Même que je me souviens d'avoir rêvé à elle une fois, dans une histoire tordue de l'esprit, sans bon feeling cette fois. Aujourd'hui, elle ne travaille plus avec nous, étant retournée dans sa lointaine ville. Parfois on se donne des nouvelles, sinon rien de plus. Mais bon.. la légèreté de son esprit est ce qu'il m'a le plus marqué, elle semblait toujours flotter sur un nuage de bonheur! Bon.. ça va faire. Ne croyez pas qu'elle était la seule collègue où j'ai eu des scénarios pleins de fantasmes. Pour en savoir plus, suivez-moi dans les prochains textes de cette série! Merci d'avoir vécu, en même temps que moi, cette rencontre fantasmagorique!
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