150- Sauna et confidences (15FEV25 1/3)!
Entendez-vous la terre trembler ? Ce vrombissement, qu'est-ce qu'il se passe ? Mais… mais c'est un drumline qui s'avance avec une discipline quasi martiale. Le ténor appelle une marche militaire réveillant les tripes ! Un coup de cymbale résonne en envoyant des sons cristallins vers le ciel, vingt milliards de baguettes rebondissent sans arrêt sur les caisses claires et le battement du cœur de la grosse caisse impose son puissant tempo. Les cors, de je ne sais où, se réveillent et poussent leurs plaintes vers qui veut les entendre, et un pupitre de clarinettes siffle une mélodie rivalisant avec le tintamarre de la soudaine fanfare. Ma respiration se lie au rythme du bass drum, malgré que mes yeux pétillent à la vue des grandes majorettes à jupettes et cuisses bien dodues, qui entrent dans la danse à leur tour.
Un murmure s'élève, se transformant en grondement, puis en sifflement, forçant à lever les yeux vers le ciel. Oooooooh… un escadron aérien étend ses ailes en agrandissant lentement leur formation «fan break» pour offrir un oriflamme de fumée colorée… woooow ! «BOOOUM», des coups de canons s'enchaînent en cascade, suivant les élans de la fête improvisée, en même temps qu'une scène musicale s'illumine alors que le rideau tombe. Le ballet de «cancan girls» se déhanche à l'unisson, pour mon plus grand plaisir… oh oui ! Qui peut rester de marbre à la vue de ces robes de plumes et des bas en résille couleur… chair ? Surtout pas moi !
Vous vous demandez pourquoi il y a toute cette démonstration pleine d'éclat ? C'est pour lancer les festivités du 150ᵉ texte (billet) officiel publié sur le blogue, en plus de deux ans… yoooooupie ! Disons que votre blogueur favori se surprend d'être encore en mesure de dénicher des trucs à vous raconter sur un sujet récurrent qui lui tient tellement à cœur, les femmes… rooooondes. Pourquoi ne pas vous dévoiler quelques statistiques alors que vous êtes ici ? Cent cinquante publications, c'est également plus de 3 500 consultations de ces mêmes textes grâce à vous, chers visiteurs et visiteuses. Avec un petit savant calcul, ça fait 130 pages consultées chaque mois et 20 visites pour chacune de mes publications… woooow ! C'est une belle victoire personnelle, même si ça paraît dérisoire en comparaison aux statistiques de certaines célébrités du web, cumulant un nombre astronomique d'abonnés.
En fouillant plus loin dans les données disponibles, les deux tiers des visites sur mes pages viennent de Canadiens (trois quarts en 2023), alors que 12 % proviennent de Français (7 % en 2023) et 7 % d'Américains (des Allemands en 2023). Allons-y pour un palmarès ! Le texte le plus consulté est le numéro 102 : «Kiss-O-Rama (22JUL23 1/3)»… le premier volet d'une série qui a fait un tabac sans que je sache vraiment pourquoi. J'imagine que les french kisses ont toujours la cote dans nos relations… ooooouf ! Le deuxième texte ayant le plus de visiteurs, c'est le numéro 001 : «Admirateur de rondeur recherche ronde à admirer (03DEC22 1/1)», mon premier bébé, qui était également le billet le plus lu en juillet 2023. Je l’ai réédité en 2025, lui offrant un lifting et ajoutant un boost de stéroïdes pour ses statistiques. Puis, en troisième position des billets les plus populaires, c'est le texte 105 : «Échangisme, vous avez dit échangiste ? (13AOUT23 1/2)»… oooooh ! Le retour de ce texte dans le top trois me remet ce désir de libertinage… huuuuum… au goût du jour. Pour en terminer avec les statistiques, une chose m'a surpris dans ma compilation : les textes les plus lus sont dans l'intervalle 88 à 105. Il faudrait que je révise ce que je faisais de différent à ce moment-là. C'est peut-être l'autopromotion que je faisais avec l'aide de Reddit et de Twitter/X… à suivre !
Billboard Top 10 - Février 2025
1. 102 - Kiss-O-Rama
2. 001 - Admirateur de rondeur (⬇️1)
3. 105 - Échangisme, vous avez dit échangiste ?
4. 092 - Dr Frankenstein et sa ronde (⬇️2)
5. 101 - Autopsie cupidonienne
6. 096 - Le monde étonnant du burlesque (⬇️2)
7. 087 - Maxi… ben oui… Maxi
8. 099 - La barbe par un sans barbe
9. 088 - Faites l'amour avec les yeux
10. 091 - Remettre la morphologie sablier à l'heure
L'autre jour, j'ai reçu une nouvelle invitation (ndlr : c'est une fiction… on s'entend) à participer à l'émission de Bobby Bougon, pour une nouvelle interview liée à mon 150ᵉ texte. Avant d'aller plus loin, vous pouvez lire ma première entrevue au Bobby Talk Show vers les textes 082 et 083. Donc, me voici dans l'ombre des coulisses du plateau, en attente que l'équipe de production m'invite à passer sous les projecteurs. Des applaudissements nourris attirent mon attention vers ce public trié sur le volet, invité à assister au variété. Bobby Bougon fait son entrée par un accès dérobé, en saluant la foule énergique.
— Bonsoir tout le monde ! dit un animateur aux anges d'être le centre d'attraction. Mon invité de ce soir, je l'ai déjà reçu ici même sur ce divan, dans un passé où l'univers post-pandémique se cherchait. Eh oui, presque deux ans se sont écoulés depuis cette mémorable visite.
Une musique d’intro énergique s'élève, les applaudissements enthousiastes du public sont couverts par les accords électroniques. Bobby, le dynamique animateur au charmant sourire en coin, s'offre une courbette.
— Mesdames et messieurs, ce soir, on replonge dans cet univers où l’audace rencontre des mots électrisants. Je vous parle d’un blogue pas comme les autres, un espace unique, sensuel et résolument inclusif.
Bobby marque une petite pause en offrant un clin d'œil au public et en récoltant de nouveaux applaudissements.
— Imaginez un lieu où les femmes rondes sont admirées dans toute leur unicité, où la sensualité ne se cache pas mais s’exprime avec poésie, passion et… une pointe d’indiscrétion ! Un blogue où l’érotisme et le romantisme s’entrelacent dans un style inédit : «pornoromantique».
L'animateur porte un regard complice à la caméra, tirant du public quelques réactions bien ressenties.
— Ici, on ne parle pas seulement d’histoires d’amour et de désir… on les vit, on les ressent, on les explore dans chaque mot, dans chaque phrase, sur chaque courbe décrite avec une tendresse envoûtante. Accueillons de nouveau… Mr. Intello Coquin !
Sous les applaudissements vigoureux du public, Bobby m'invite à le rejoindre, alors que l'équipe de production me pousse vers le plateau. Je ne vous cacherai pas que j'ai toujours cette timidité face à tant d'attention.
— Merci tout le monde ! Vous savez sans nul doute que je suis très heureux de me retrouver ici, dis-je en m'affalant sur le divan ayant accueilli les prestigieuses fesses d'invités de marque.
— Nous partageons tous ce plaisir. Alors, dis-moi, il doit en avoir coulé de l'eau… ou autre fluide corporel… sous les ponts pour en arriver à ce 150ᵉ !
— Je peux dire que mon écriture a gagné en fluidité et en maturité. Surtout, je prends plaisir à transcrire des dialogues et des conversations entre protagonistes. Au lieu de placer un décor pour y ajouter l'action, je propose immédiatement des scènes immersives où les émotions et les interactions occupent le plus grand espace.
— Oui, ta plume a pris beaucoup de sagesse assumée. Ce que je remarque, c'est qu'avant, la sensualité était une chose et le charnel un autre bidule. Maintenant, ton pornoromantisme est ton dada.
— C'est ça, j'ose décrire mes fantasmes en les pimentant d’émotions, dis-je en passant une main dans mes cheveux. Le sucré-salé, si on veut.
— Nous, les hommes… pis les émotions, répond Bobby avec son fameux demi-sourire.
Des gens du public semblent approuver cet état de la masculinité.
— C'est probablement un désir d'introspection qui me donne le loisir de jongler avec les émotions. Y aller à fond dans des descriptions explicites, j'adore. Inclure mon ressenti intérieur, c'est vivre mes fantasmes et revivre mes expériences… ouf !
— Je suis certain que tes lecteurs et lectrices abondent dans ce sens ! On ressent vraiment que les femmes rondes te font baver au sens littéral et figuré.
La foule éclate de rires et d’applaudissements. Certains ont visiblement du dégoût pour les bourrelets, mais ne le font pas trop remarquer.
— J'essaie beaucoup de mettre en place des personnages réalistes, pas seulement idéalisés. Si vous lisez mes textes, vous comprenez que la majorité des femmes sont… réelles… sous une identité fictive !
La foule réagit avec un mélange de murmures d’approbation et de rires intrigués. Quelques applaudissements fusent ici et là, tandis que d’autres hochent la tête, visiblement captivés par l’idée.
— Oh que oui ! Pour ce 150ᵉ, ton blogue a toujours le descriptif «sous la couverture d'un intello qui aime les rondes». C'est assez incroyable que tu trouves toujours quelques coquineries à publier.
— Mettons que j'ai comme un plein sac d'idées et de concepts pour m'inventer des conversations avec moi-même.
— Mon public est justement friand d'histoires croustillantes. En as-tu une qui soit hors du commun ?
— Hum. Oui. J'ai quelque chose de très unique pour un hétéro comme moi. C'est une… histoire… que je n'ai jamais relatée à personne et que je gardais justement pour cette entrevue.
— Mais… tu es agace… vas-y, raconte-la sans plus tarder. Mesdames et messieurs, ne quittez pas, même si ça fait pas mal penser à «Sexe & Confidences» de Télévision Quatre Saisons.
— Hahaha ! Je ne me souviens pas beaucoup du programme, mais Louise-Andrée Saulnier faisait pas mal jaser dans les chaumières à l'époque.
— Cher Intello, nous buvons de vos paroles, transporte-nous dans ton histoire… on ne me tient plus ici dans le studio.
L’énergie dans le studio monta d’un cran, on sentait une impatience collective, un frisson d’anticipation suspendu dans l’air.
— D'accord. Allons-y. Je vous mets une petite mise en contexte. J'avais un collègue gay extrêmement extraverti il y a plus de cinq ans. Un jour, lors d'un dîner en tête-à-tête à la cafétéria, je lui ai demandé comment ça se déroulait dans les saunas gays.
— Woooow. Tu as du culot !
— Il faut dire que ce collègue, on va l'appeler Yan, était assez confident côté… coquineries.
— Il t'a déjà attrapé l'arrière-train ?
— Non. C'est juste qu'il ne reculait devant rien pour parler de ses préférences sexuelles. Les femmes du bureau adooooraient ses confidences.
— Je n'en doute pas un iota, toi aussi tu devais être bon public pour lui. J'imagine aisément que sa popularité auprès des femmes rendait les hommes amers.
— Tu frappes dans le mille. Je ne l'ai pas côtoyé longtemps, il est parti travailler dans une autre ville. Je vais vous raconter ce que Yan m'a révélé comme si c'était moi qui visitais le sauna.
— Oh oui, demeurez avec moi pour découvrir ce qui se cache derrière les mystérieuses portes closes.
— Des vraies portes bardées de fer, comme dans les temps médiévaux. En haut de l'escalier à pic, c'est là que se cache l'antre aux vices.
— Woooow ! J'imagine que les lieux sont sombres...
— Assez sinistres, ça c'est vrai. Sur le palier au bout des marches, un kiosque est votre lien avec un commis, comme les guichets bancaires dans le temps. Une vitre blindée munie d'un passe-voix et d'une fente passe-billets y cache votre droit d'entrée. Si je lève les yeux, une caméra et une ampoule blafarde s'ajoutent à l'ensemble !
— Incroyable, ça me rappelle les clubs de danseuses de la métropole.
— Hihihi ! Je pense que nous avons les mêmes références ! Je n'en sais rien sur les prix, mais sur la vitre du guichet, il y est affiché les différents «forfaits». Le prix d'entrée de base donne accès à un casier. Vous pouvez ajouter un montant supplémentaire pour une chambre privée, une suite exécutive, louer à l'heure, à la demi-journée, pour 24 h.
— Vraiment ? C'est un complexe hôtelier pour hommes en quête de plaisir des sens !
— Pas du tout, tu vas comprendre plus tard. Je glisse un billet de 20 $ dans le passe-billets en marmonnant mon forfait choisi, pour recevoir une serviette blanche bien pliée, une clé munie d'un élastique et un cadenas, puis… un… condom !
— Hooooolala, c'est une invitation à l'interdit ! J'imagine que tu n'as pas traité avec une intelligence artificielle ou une femme ?
— Huuuuum… la face du gars derrière la vitre, je ne me souviens pas, mais je sais qu'il avait une voix pas mal efféminée, selon mon éducation hétéro. En tout cas, il s'est présenté dans son plus simple appareil, un pénis mince et gigotant.
Bobby haussa un sourcil, un sourire en coin.
— J'ai ben de la misère à m'imaginer avec cet emploi de commis, dit l'animateur en secouant la tête avec une grimace amusée.
Un brouhaha s’installa, mêlant rires francs et quelques sifflements taquins.
— Un buzzer se fait entendre, un déclic de serrure également, la porte s'ouvre enfin… une lumière feutrée m'atteint. Quoique pas mal nerveux et craintif, j'entre d'un pas timide pour faire face à un homme de la cinquantaine, bedonnant et vêtu uniquement de sa serviette.
— Oh boy, quel accueil ! Pour une première fois dans un sauna gay, ça doit te faire un choc que de tomber sur ce gars.
— Mouais. On s'est salués silencieusement et il a passé son chemin. Un homme se cachant le paquet avec sa serviette, il y en a plein les vestiaires de gymnastes. Par contre, prépare-toi, l'autre homme, d'un âge indéfini, habillé d'une robe, de souliers à talons hauts et d'une perruque, ça frappe. C'était la première fois que je rencontrais un travesti.
— Oh My God ! Woooow ! Vraiment ! Pour un hétéro comme moi… c'est un truc assez difficile à concevoir.
— Pis, il y a eu un troisième bonhomme, grisonnant, la queue pendante, qui lui a attrapé les fesses en passant.
Bobby marqua une pause dramatique avant de répondre avec une moue faussement outrée.
— Ouille ouille ouille… on est loin de la notion de consentement.
Quelques applaudissements fusèrent, tandis que Bobby haussait les sourcils et levait les mains en signe d’impuissance, amplifiant l’effet comique.
— Je ne crois pas que ça existe ici. En tout cas, j'ai bien choisi mon moment pour me déshabiller et tout ranger dans ma case, peeeeeersonne d'autre n'est passé inopinément. Après avoir verrouillé ma case, à mon tour, j'attache ma serviette autour de la taille, je fais un tour à la salle de bain avant d'aller affronter les sombres couloirs.
— Bien sûr que non. Beaucoup trop stressé en voyant un bocal à poisson rouge rempli de condoms et l'armoire vitrée exposant des dildos en pénis géants, à vendre. Mettons que je me suis réfugié au premier spot où il faisait clair.
— Le sauna ?
— La petite cafétéria. J'avais droit au café gratuit. Puis, j'avais cette petite faim que j'ai comblée avec des chips. Le commis au mini-dépanneur, derrière un grillage de fer forgé, était un gars entre deux âges, la graine à l'air, mais se gardant une petite gêne… il portait son t-shirt.
— Hahahaha ! J'ai l'image en tête ! Ça pourrait être mononcle Roger en camping, en train d'atteler la "fifth wheel" sur le pick-up… avec ses bas blancs pis ses sandales !
Le public n'a pu se contenir, le studio s’embrase d'hilarité, amplifiant les rires.
— C’est une image que je voulais PAS avoir dans ma tête… pis maintenant, c’est trop tard, ajoute Bobby, réanimant l'hilarité générale, se penchant en avant, riant de bon cœur avant de reprendre son sérieux.
— Sauf que ton oncle Roger, la verge à l'air, tu ne veux pas le voir. Ici, au sauna, les exhibitionnistes sont bienvenus, même chez les employés. Tout ça pour dire que je m'attable à une petite dinette, café "buvable" versé, sac de chips, revue destinée à un lectorat gay, film de cul sur la télé placée en coin, en haut du mur.
— Il me semble que c'est pas mal glauque ! Ça veut dire qu’il y a un dress code sur l’offre d’emploi pour le sauna ? «Expérience en service à la clientèle et confort absolu avec la nudité exigés» ? J’imagine la réunion du staff : «Bon les gars, pensez à bien plier les serviettes, à garder les douches propres… et surtout, portez votre plus beau sourire… c’est le SEUL truc que vous portez !»
— Hahahaha ! On espère qu’ils fournissent des serviettes extra-larges, histoire d’avoir une option ! Parce que sinon, c’est pas un dress code, c’est un stress code !
Le public rit encore plus fort, certains tapent des mains en riant. Je reprends le fil de la conversation.
— Mais non, pas si lugubre, c'est un des seuls spots où il y a de la lumière qui vient de l'extérieur. Tu veux savoir ce qu'il y a de glauque ?
— Vas-y, nous buvons de tes paroles !
— Tu te souviens de l'homme que j'ai croisé en entrant à l'étage ? Ben, il vient s'affaler sur une chaise sous la télé, en prenant grand soin d'écarter les jambes pour que je voie son sexe rasé.
— Parce que moi, je te le dis, si je suis assis en train de bouffer et que sur l’écran, un boy s’affaire à souffler dans une trompette qui n’a PAS de pistons… je ne sais pas si j’arrive à finir mon sac de chips avec autant de sérénité que toi ! Pis, tu ajoutes le bonhomme…
— Un film gay à l'écran, c'est boooof. Je te mets au défi de vivre l'expérience sauna en vrai. Je suis certain que tu vas exploser dans un temps record.
— Arrête d'imaginer des pulsions taboues en moi, c'est tout simplement impossible, dit Bobby en se tournant vers la caméra. Je n'ai aucun fantasme homo que je refoule. C'est maintenant l'heure d'aller à la pause, parce qu'au retour, j'imagine que ce sera plutôt crunchy.
— Bien entendu !
— Chers téléspectateurs, profitez-en pour aller coucher vos enfants, je pense que ce qui suivra ne sera pas vraiment bon pour les oreilles chastes et impudiques.
— Ça, je l'avoue bien humblement.
— On se revoit de l'autre côté de la pause, lance un Bobby enthousiaste, regaillardi par des applaudissements soutenus.
Alors que les images du Bobby Talk Show s'assombrissent, une publicité prend place à l'écran. Une musique langoureuse s'élève, l’image d'une femme (ndlr : celle de la photo) à la silhouette voluptueuse se dessine doucement à l’écran. La voix grave et passionnée du narrateur prend aussitôt le relais.
— Il y a des femmes qu’on admire… et puis, il y a celles qui règnent, souveraines des désirs d'un intello coquin. Nancy M… Consultation Bien-Être… mais appelons-la comme elle est réellement : une présence, une force, une incarnation voluptueuse aux courbes de hanches affirmées. Elle ne se contente pas d’exister… Elle irradie. Elle ne se limite pas à conseiller… Elle inspire. Nancy M est l’évidence sensuelle pour un admirateur de rondeur, où l’admiration devient fascination. Dans la pyramide des désirs, elle ne siège pas… Elle règne.
— Nancy M - quand l’admiration frôle le sublime… et devient Bien-Être...
— Ah, Nancy…
Wooooooooow… encore une femme aux courbes généreuses qui fait grimper mes hormones à un niveau qui frôle la frontière du nirvana… hihihi ! Revenez-nous pour la suite dans un autre texte ! À la revoyure !
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