148- Une question d'âge (01FEV25 3/2)!

C'est le temps de tirer une conclusion pour cette aventure fantastique où, comme d'habitude, les feelings furent à l'honneur ! Bien entendu, vous pouvez lire ce chapitre comme une histoire sans prérequis ou vous pouvez aller lire les deux chapitres précédents, le numéro 142 et le 144. À la lumière de mon expérience, je ne peux que vous encourager à oser vous avancer dans cette direction où les différences d'âge (légales dans votre juridiction) ne doivent pas être un obstacle aux feelings... Oui pôpâ ! Je le concède, c'est déroutant de s'y lancer en y pensant avec une logique cartésienne, mais c'est sans remords ni regrets que vous allez partager des souvenirs charnels.  

Après tout ça, je me demande si je pourrais placer une annonce "de charme" dans une maison de retraite, genre : "Homme recherche amie charnelle pour échanger quelques jasettes, quelques rigolades, quelques caresses !" Ouuuuui !! Je me demande si ça marcherait ou si les administrateurs du centre lanceraient un mandat d'arrestation de la police des mœurs à mon endroit.  

Avant d'aller plus loin dans mes réflexions, passons à ma chronique "pub à feelings pour admirateur de femmes rondes" ! Ben oui, les réseaux sociaux me bombardent de publicités, et certaines captent plus que mon attention. Ça me touche trop intérieurement pour que je n'en fasse pas un cas spécial. Très chers lecteurs et lectrices, je suis trop facilement "excitable"... comme ça n'a pas d'allure. La dernière femme en publicité "en ligne" à faire monter ma pression sanguine, c'est, ne riez pas, une dentiste. Ben oui, moi qui ai une peur bleue des réparations dentaires (peur de la facture, je pense), j'ai comme développé un petit kick de désir pour une dentiste avec des courbes trèèèèès généreuses. C'est, pour de belles dents, docteur Nathalie Criton... Wooooooooow ! Elle est renversante et capotante... une femme magnifique !  

Si je "rewind" mes souvenirs passés chez les dentistes, jamais je n'ai rencontré de docteur, homme ou femme, avec des courbes... Tel que mademoiselle Criton... Hooooolala ! Selon sa bio, j'en déduis qu'elle est française, sa voix est de la musique, ses frisottis blondinets sont de l'art, ses épaules bien charnues sont une invitation à l'adoration ! Je l'avoue, j'ai stalké son compte Facebook... Je c-a-p-o-t-e à la regarder. "Est-ce que vous prenez des nouveaux clients qui seront contemplateurs à votre endroit, mademoiselle Criton ?" Donnez-moi une ou deux raisons d'aller la voir... une carie ou une réparation de plombage... ça me va... mais surtout pas de traitement de canal, svp !!  

Huuuuuum... Ce moment de publicité ciblée commandité par mon algorithme est passé, revenons au programme principal, si vous le voulez bien. Je me souviens que ma première possibilité d'une "collaboration" avec une femme retraitée de quinze années d'expériences de plus que moi s'est soldée par une fin de non-recevoir. J'ai quand même gardé trèèèèès bon contact avec elle, et nous communiquons régulièrement ensemble. Pourquoi je n'ai pas sauté sur l'occasion de feelings offerte par cette Cougare ? Ce n'est pas vraiment l'âge... Oui, pis non. En fait, je vois ma mère lorsqu'elle avait son âge, dans ses traits, une ressemblance bluffante. Avouez que ça ferait pas mal weird de se lancer dans une relation intime avec elle. De plus, elle avait un trèèèèès gros défaut... oui, oui... soit celui d'être une femme mince et athlétique, à la rigueur. Ouf ! Je n'ai jaaaaamais tenu dans mes bras une femme de sa shape, mais l'intérêt est assurément là ! Au-delà des caractéristiques physiques, il y a cette dernière tare qui afflige bien des relations : la fichue distance !  

Au cas où vous ne l'avez pas saisi, ce ne sont pas des échanges de feelings avec cette femme que je relate en trois volets. Cette femme Cougare se méritera un beau texte hommage si, un jour, on osait se faire un petit coucou devant un espresso au crèma fort généreux. D'ici ce temps-là, je me dois de peaufiner les idées que je me fais sur les femmes Cougares. En passant, elle m'a récemment raconté avoir mis un hola à une relation avec un presque vingt ans de moins qu'elle, une relation pratiquement qualifiée de mère/fils tellement il était en manque de maternage... héhéhé ! C'est un homme qui aurait intérêt à lire mon blogue, peut-être y trouverait-il des petits trucs pour améliorer... son approche !  

Beeeeeen non, je ne me considère pas pantoute un sex-symbol. J'en ai de la croûte à manger pour être un "incontournable", comme ce collègue séducteur. Je vous promets de mettre les bouchées doubles, et au lieu de manger des pains pas d'croûte, je goberai des croûtes pas d'pain. Allez, on met tout ça de côté, retournons à mes souvenirs pour clore ce troisième chapitre avec Martine (nom de scène, bien entendu). De nouveau, un café bien tassé me réclame chez elle, même si je frise l'overdose de caféine cette journée-là. Bien sûr, Martine connaît tout ce qu'il me faut pour me réanimer : de la jasette, un bec, une caresse, puis... des seeeeeeins !  

C'est une fin d'après-midi qui m'amène ici. Les effluves d'un café fraîchement moulu excitent déjà mes narines, bien que j'aie encore une dizaine de kilomètres à parcourir. Pour me guider à ce condo aux mille feelings, je n'ai qu'à regarder où l'arc-en-ciel tombe sur la ville. Martine m'accueille comme à son habitude, tout sourire, en m'invitant à l'embrasser, à l'enlacer dans mes bras, comme si je faisais ça depuis cent ans. Bien sûr, chaque fois j'ai la même fichue réaction bien masculine : je suis bandé bien dur ! Il doit y avoir quelque chose d'aphrodisiaque dans la salive des femmes, j'en suis convaincu. Comme à notre habitude, à chacune de mes visites, notre attention revient vers la super-extra-fabuleuse machine à café. Comme si notre histoire était écrite d'avance, je me place derrière Martine, occupée dans son boulot de baristette, des opérations minutieuses dignes d'une neurochirurgienne. Les mains sur ses hanches, je ramène Martine vers moi, écrasant ses fesses sur mon érection. La mince barrière du tissu de son legging ne fait pas obstacle à l'énergie brute irradiant de mon organe mâle... hihihi !  

Mon hôtesse cambre le dos, écrasant davantage mon sexe que je libère de mon pantalon, d'une audace inattendue. Ainsi libre comme l'air, la verge bouillante vient frapper le haut de ses fesses... ce qui ne manque pas de convaincre Martine de baisser la garde. À son tour, elle découvre ses fesses à mon plus grand désir ! Son legging descend aux genoux, sa culotte garçonne suit le même chemin. Une main experte oblige mon membre dressé à descendre plus bas alors que je suis tétanisé par le ressenti... hooooolala ! Les éclairs de plaisir fusant de ces caresses peau à peau achèvent mes dernières défenses. Pendant tout ce moment de préparation du café, mon membre en érection visite des coins intimes en laissant des traces de liquide séminal qui témoignent de ma grande excitation. C'est tellement fou et agréable que de pousser le gland sur le petit monticule formé par les lèvres comprimées et la toison broussailleuse. Wooooooooow !  

J'avoue que nous nous sommes limités à ce genre de caresses, qui se sont répétées lors de plusieurs visites où le café et la jasette étaient les raisons premières de se voir ! Par le fait même, je n'osais pas trop harceler Martine avec mes envies de seeeexe, mettons que je n'arrivais pas à déceler dans son verbal et non-verbal si elle voulait que nous poussions l'exploration intime plus profondément ! Lui demander direct ? Huuuuum... Je sais d'avance que j'en suis incapable : "Hey Martine, viens me rejoindre, j'ai le goût de te pénétrer." Ouf... Ce n'est vraiment pas moi qui expose ses profonds désirs de cette façon. Je suis plus un adepte des "feux d'artifice" dans les yeux qui témoignent le goût d'un rapprochement intime... immédiat... hooooolala oui ! Lorsque ces moments arrivent, on sait ce que l'on veut sans se le dire... c'est... chaaaaaud et iiiiiinfernal !  

Je suis allé voir Martine un midi où j'avais du temps avant de retourner au boulot. Comme à l'habitude, mon café fut servi avec des french kisses mouillés, des caresses amoureuses, des becquées chatouilleuses et des coups de langue suaves ! Pendant que le liquide chaud et caféiné dilate mes veines et éveille davantage mon esprit, une électricité statique crépite dans l'espace d'air qui me sépare de Martine... oooooh ! "Tu as bien bu jusqu'à la dernière goutte ? Viens, on va passer au salon !" Même s'il n'y a pas de séparation physique entre la salle à manger et le salon, j'ai compris le message, mes pupilles sont déjà dilatées au maximum. Dans une vivacité renouvelée, Martine s'engage dans un ramassage hyperactif du... méga sofa de Romain. Vous comprenez ? Ce sont ces sofas avec une extension en L pour s'allonger (j'ai profité d'une interlude pour trouver le vrai nom, qui est "canapé sectionnel lit" ou un "sleeper sofa"). Débarrasser le sofa n'est pas tout, placer un drap sur la section lit complète le tout. On ne sait jamais comment se comportera le surplus de nos fluides corporels, hihihi ! À la vitesse d'un sac de croustilles vidé de son contenu par une bande d'ados qui n'ont pas bouffé depuis quatre heures, je me retrouve nu dans le salon, déjà en érection. Timidement, alors qu'elle n'a pas eu d'homme entre les doigts depuis quelques années, Martine vient à moi et caresse ma queue délicatement... iiiiiiincroyable ! On s'embrasse tendrement, debout au milieu du salon, le temps s'en trouve suspendu. Pour désirer davantage mon hôtesse, je retire sa blouse et expose son soutien-gorge... huuuuum... Ça ne manquera jamais de me faire caaaaapoter !  

Comme un mâle alpha, j'imagine, je guide Martine pour qu'elle se retrouve sur le dos, les quatre fers en l'air sur le canapé (sur la section lit, bien sûr) ! Son legging et sa bobette disparaissent par magie, ma bouche se retrouve entre ses cuisses dénudées. Huuuuum... ce geste est tellement cochon et gratuit, alors que je sais qu'elle ne fait pas de fellation. "Viens en moi, bel homme !" Ooooooooooh ! Je ne me fais pas prier davantage. Je tire Martine vers moi, jusqu'au bord du sofa. Un peu de ma salive sur le gland avant de le faire disparaître lentement dans cet entrejambe moelleux. Je soulève les genoux de mon amie et je pousse mes hanches vers l'avant... huuuuum... c'est du velours que de pénétrer une chatte bien lubrifiée ! Les va-et-vient polis font place à des coups de reins profonds... les sensations sont iiiiiiiinouïes !  

"Tout doux, ton gros pénis va trop loin." Hihihi, je ne croyais pas qu'un jour, une femme me dise un truc semblable, vraiment pas ! Je tiens compte de ses doléances, j'évite de pousser trop fort, je ne veux surtout pas qu'elle garde le souvenir d'une rencontre désagréable. J'avoue que c'est un combat de tous les instants que de s'empêcher de donner un puissant coup de rein. À quatre pattes, alors que je suis debout derrière elle, c'est une vue de derrière qui demeurera toujours un plaisir de la vie. Alors que je place ma verge sur sa vulve, je me donne ce loisir de caresser tout ce qui s'offre à mes paumes... hooooolala ! La courbe des hanches, le creux du dos, les seins portés par la gravité, les mollets contractés, les épaules arquées et ces fesses légèrement écartées pour... je n'en peux plus... que mon pénis glisse tendrement en allant retrouver un nid douillet aux mille sensations. Huuuuum... cette fois, pénétrer ma verge en entier est permis, nous soutirant des gémissements de plaisir !  

Ooooohmygod, ce moment où "tu n'en peux plus" arrive. Mon cerveau me dit de ralentir la cadence pour prolonger les jeux intimes, mais mon pénis m'ordonne de lâcher prise pour un orgasme libérateur, un milliard d'éclairs de feelings traversant l'entièreté de mon corps. Je flanche... comme bien des fois... des jets de sperme impatients sont expulsés, résultat d'une pression accumulée par un nombre incalculable de coups de rein... ouuuuuf. Je ne sais pas si c'est la même chose pour tous les hommes, mais chaque coup de rein est un coup de pompe qui hausse la pression dans ce coin de l'intimité masculine. Je m'écrase sans vie sur la croupe de ma partenaire... deux corps unis par les plaisirs du sexe. Un temps indéfini s'écoule. Nous reprenons vie lentement, on rigole pour se remettre d'aplomb, et elle m'explique où se trouve la salle de bain !  

Les femmes ne sauront probablement jamais ce que sont ces feelings ultra chatouillants d'un membre masculin après éjaculation. À peine arrivé à la salle de bain, l'hôtesse de la maison mouille une débarbouillette et rince délicatement ma verge aux veines pulsantes. Je peine à me contenir ; aussi doux que puisse être le nettoyage de l'engin, ça chaaaaaatouille !  

En conclusion, avec cette mini-série de textes, je suis dans l'obligation de dire que j'ai adoooooré l'aventure et que j'en veux encoooooore ! Vous comprenez que nos petits jeux sont plus longs à vivre qu'à écrire... ça n'a rien des petites vites. Seule l'alarme du boulot pouvait m'obliger à couper court, vers le coït interrompu ou un dernier ti-coup libérateur. Dans ce texte, je n'ai fait que rapporter un exemple du modus operandi de nos beeeeelles rencontres ; une fois n'est pas coutume. Ce petit manège s'est déroulé quelques mois, avant qu'une situation problématique ne vienne troubler notre histoire de feelings !  

C'est drôle et plate à écrire, mais je dirais que la fin fut comme un Harlequin que j'ai terminé de lire et replacé dans ma bibliothèque, sous l'onglet romances. Je vous rappelle que l'âge ne devrait avoir aucune importance (dans les limites de la légalité, on s'entend) dans vos histoires ; seules nos inhibitions mal dosées peuvent venir gâcher toute la patente. Encore un énorme merci pour être passé me voir ici et ainsi lire... mon Harlequin ! Hihihi !  


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Commentaires

  1. Comme plusieurs Harlequin il n'a pas mention du port du condom dans ton histoire!!! Ni la mention de l'orgasme de la femme et encore moins les mots de son éjaculation !!!! Le cerveau de Montréal nord a mis des scénarios en rêve lors de ma lecture hummm merci pour ce partage

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