132- Indiscrétions de minivan (29JUIL24 1/1)!
Il était une fois, deux amants en quête de feelings.. comme la plupart des amants diriez-vous. Ils recherchent désespérément un endroit pour se laisser aller.. sur le fly comme on dit! Pour le motel, c'est hors de question, le temps a trop filé lors des retrouvailles. Trop de choses à nous raconter, les mots ont pris la place des caresses. L'option logement est également impensable, des dizaines de kilomètres à égrainer dans la grande zone de Montréal peuvent réserver bien des surprises pour tout déplacement. Se laisser aller dans la nature urbaine, c'est réalisable, non sans risque d'être coincé pour "grossière indécence". Aaaaattendez.. qu'est-ce que c'est la grossière indécence en 2024, au Canada? Au premier abord, le terme est relativement ancien. Il a suivi le système pénal Canadien par l'entremise du Commonwealth! N'oubliez pas que l'Empire Britannique a conquis le Canada lors de la guerre des Sept Ans en 1760, faisant du pays un dominion britannique. Vous allez me dire que le Canada est indépendant depuis 1867, c'est vrai. Toutefois, notre structure gouvernementale est pratiquement calquée sur l'Angleterre, rassemblée sous le poétique nom de "monarchie constitutionnelle". La Grande-Bretagne a quand-même gardé un droit de regard sur ses dominions. Nous avons un gouverneur général du Canada (comme l'était Julie Payette) qui est notre représentant de la monarchie britannique, gardien de la Constitution. Il y a également le secrétaire général représentant le Canada à l'organisation du Commonwealth, s'assurant de la pérennité de nos systèmes légaux. Bon, tout ça pour dire que le terme grossière indécence (gross indecency) est apparu pour la première fois dans les annales de la justice britannique en 1885 pour criminaliser les actes sexuels entre hommes.. ouf! Les pénitenciers déborderaient aujourd'hui! D'ailleurs, au Canada, la dernière condamnation pour grossière indécence aux yeux de la loi, fut en 1960, quatre ans de prison pour un homme du coin de Calgary après avoir avoué des relations sexuelles homosexuelles consensuelles. Bien sûr, l'histoire véritable du cas est plus élaborée que ça, mais ça frappe l'imaginaire!
Bonne nouvelle pour les amants d'une sexualité canadienne contemporaine, depuis 1980, les infractions pour grossière indécence, attentat à la pudeur et la sodomie sont jugées archaïques et ne concernent que des cas litigieux en vigueur d'avant les changements de la loi.. comme toutes les histoires de curés homosexuels et pédophiles dans les pensionnats. Mais bon, pourquoi Joël Legendre fut accusé en 2015 après s'être fait prendre les culottes baisées au parc Marie Victorin? Il y a ici une petite nuance. La grossière indécence du code criminel a été revampée pour action indécence selon l'article 173; "quiconque volontairement commet une action indécente soit dans un endroit public en présence d’une ou de plusieurs personnes, soit dans un endroit quelconque avec l’intention d’insulter ou d'offenser quelqu’un.." ouf (vous en avez pour des pages de texte)! Je pense que je vais aller à la confesse drette-là! Malgré cette loi dans l'arsenal de la moralité, les amants de la nature ont quand même des beaux jours de feelings devant eux. La société post-pandémie COVID est de plus en plus tolérante et ouverte côté sexualité. Alors, qu'est-ce que vous attendez?
Je ne me fais guère prier pour la perspective de jouer avec l'interdit. Surtout lorsqu'une femme bien dodue daigne de me faire brûler de désir avec ses bourrelets de hanches témoin de mes envies, avec ses grosses cuisses au diapason de mes feelings, avec son gros ventre berceau de mon appétit.. je m'arrête.. juste à y penser, ma pression sexuelle monte dans la troposphère! Si vous suivez les histoires dans mon blogue, l'entièreté de mes aventures ont débuté par des rencontres en public.. avec échange de fluide.. surtout.. buccal. Frencher tout en glissant des mains sur les zones tabous est un plaisir tellement inégalable. Si vous "scrollez" mes textes, vous y trouverez des histoires d'amants prenant source dans des lieux très divers; épicerie, parc, travail, restaurant. Puis il y a celle-ci, dans ma minivan sur le bord d'une rue.. pourquoi pas! Cette journée-là, une correspondante est venue me voir au boulot.. et je dois vous dire que ce n'était pas la première fois, hihihi! Je vous raconte l'histoire d'il y a plusieurs années et, encore une fois, je n'ai pas tant de souvenirs. Les quelques photos que nous avons prises de cette rencontre sont ma source de souvenirs pour cette visite. Ben oui, moi et cette femme prenons plaisir à croquer sur le vif quelques scènes de nos ébats. En y pensant, peut-être que d'utiliser l'œil d'une caméra pour immortaliser ces souvenirs débordants de feelings, ça change la façon de classer le vécu dans notre cerveau? C'est peut-être pour ça que j'oublie. Il existe, apparemment, deux types de mémoire, soit épisodique et sémantique. La mémoire épisodique concerne les souvenirs d'événements spécifiques et personnels, tandis que la mémoire sémantique concerne les connaissances générales. Filmer un événement pourrait transformer un souvenir épisodique en un souvenir plutôt sémantique, genre, tu te souviendrais de l'événement à la manière d'une connaissance sans sa fonction émotionnelle. Ou encore, en transposant ton œil à celui de la caméra, tu pourrais te décharger de la fonction mémorisation au profit de l'enregistrement sur support électronique. À creuser davantage.. dans un autre texte!
Cette journée-là, l'été était bien installé, chaleur, humidité et correspondante sont au rendez-vous dans mon parc favori, pour un lunch pique-nique en bonne compagnie. Une nécessité lorsque vous vous rencontrez pour un dîner en nature avec feelings, localisez la table / le banc la plus isolée. Pourquoi? Parce que vous allez vous asseoir au même côté de la table, pour se coller en guise d'entrée, s'embrasser en tant que plat de résistance, se caresser paaaaartout pour le dessert! Regarder à gauche et à droite, je glisse une main sous la jupe, elle me tire à elle pour m'embrasser. Une main discrète touche mon entrejambe, ma correspondante sait qu'un rien de feeling me fait bander. Quelqu'un approche, nos cuisses se repoussent, nos mains regagnent leur sandwich, une pudeur momentanée éclaire nos visages. Le promeneur s'éloigne, la craque de sein de mon amie est de nouveau gonflée, tirant des feux d'artifice dans mon regard. Ses doigts se frayent un chemin dans mon short, une contorsion pour atteindre cet appendice qui peut être si court et surprenamment long! Des petits baisers pavés de coups de langues et de lèvres mordillées, les papillons dans nos ventre font fi de nos inhibitions. Mais, cet autre couple apparu et recherchant une table comme la nôtre est une réprimande à notre indécence. Si ma partenaire garde les cuisses ouvertes, c'est définitivement une invitation à balader quelques doigts sous table. Holala, elle se laisse faire alors que nous regardons l'autre couple s'installer à leur table, assis chacun sur leur banc. Oooooh.. c'est toujours avec un plaisir renouvelé que de découvrir la moiteur d'une chatte inondée de désir!! "C'est ton dessert très cher matou et ta caféine du même coup"! Oui, je glisse deux doigts sur la vulve, dénichant rapidement ce coin tapissé de nervures.. oooooh! Je porte mes doigts à ma bouche, léchant quelques millilitres de philtre d'amour, prêt à recommencer ce plaisir fichtrement cochon!
Alors qu'on se laisse aisément gagner par nos désirs impudiques, on sait que l'on ne peut pas perdre toute convenance dans un parc, il y a des yeux partout! C'est plutôt le bon moment pour emballer notre gréement et aller se cacher pour laisser libre cours à nos pulsions. En fait, des cachettes parfaites pour faire des trucs liés à la sexualité lorsqu'un besoin pressant nous envahit, ça n'existe pas. Mais bon, on peut se rabattre sur ma fameuse minivan.. hihihi! Elle était, justement, stationnée dans une rue avoisinante du parc, sûrement pas par hasard. Moi et ma correspondante avions convenu qu'il y aurait de sérieux risques que l'on se retrouve complètement emballé par la perspective de jambes en l'air. La petite marche vers la voiture est, comme vous vous l'imaginez, pleine de sous-entendus, de caresses de fesses, de main-dans-la-main! La camionnette était sous les arbres centenaires, sur le bord d'un trottoir à l'entretien délaissé par les travaux publics. Rapidement, on se retrouve dans l'habitacle arrière, les fenêtres entrebaillées pour ne pas cuire comme dans un presto. Je baisse mes pantalons pour libérer une queue pourpre bien dressée, elle retire son chandail et soutien-gorge pour délivrer ses gros seins gorgés de chaleur. C'est toujours incroyable les plaisirs d'une fellation en se délectant d'une grosse poitrine se balançant et en se régalant de jeux de doigts sous la jupe! Tout en variant les caresses buccales que mon amie donne à ma verge, elle glisse le gland sur ses mamelons, elle pousse la hampe entre sa poitrine, elle masturbe le membre à m'en faire perdre mes moyens. Tout ça, ponctué de la crainte de se faire prendre par un passant intéressé par les ombres qui se meuvent derrière les vitres teintées ou par les balancements de la suspension de la voiture. On voit des gens marcher sur le trottoir, des p'tits culs en bécik, des autos ralentir à l'approche du panneau d'arrêt. On entend des passants placoter, des portières claquer, des tondeuses vombrir.
Même si nous craignons de se faire prendre, soit ça n'arrive jamais, soit les témoins de nos ébats respectent cette intimité que nous avons créée. Bien sûr, le moment d'ouvrir un compartiment secret arrive, j'y extirpe un condom pour.. hum.. oui.. elle sait pourquoi.. vous savez pourquoi.. la fameuse pénétration! Dites-vous que je raconte les grandes lignes que je me souviens. Bien sûr que j'ai caressé ma partenaire dans toute la splendeur de ses courbes généreuses qui me sont offertes dans l'habitacle arrière de la voiture.. quand même assez exiguë pour ce genre d'activité. "Place-toi à quatre pattes.. ooooh.. je ne me tanne jamais de regarder tes hanches et.. tes grosses fesses! Oooooh.. tu ne peux pas savoir comment c'est incroyable le ressenti d'une queue qui pénètre doucement un vagin.. indescriptible"! J'ai déjà essayé de décrire cette sensation physique dans un autre texte. En gros, ce sont des ondes "chocs électriques" qui traversent le gland et qui montent directement au cerveau, alors qu'à l'approche de l'éjaculation, les chocs sont en mode continue et sinusoïdals (indescriptible, je vous le dis)! C'est à ce moment que ma partenaire s'écarte de mon bassin en se plaçant à genoux devant ma queue vibrant de plaisir. Le condom est retiré pour répondre à un fantasme de ma partenaire.. éjaculer sur ses seins.. que je me donne le loisir de réaliser! Wooooooooow! Ces moments seront toujours incroyables pour ma vie d'homme qui a été coincé sexuellement pendant tellement d'années où la plupart de mes semblables étaient au summum de leur puissance sexuelle. Je vais vous épargner de la description d'un autre fantasme de ma partenaire, soit, de voir mon pénis en mode repos. Je me souviens bien qu'elle a profité de ce moment post-orgasme pour regarder ma queue perdre de son tonus, ne la quittant pas des yeux. Il faut dire que lorsque je rencontre cette amie, je suis pratiquement toujours en érection!
J'avoue que j'adore filmer et photographier quelques moments de nos aventures. Si je me souviens, c'était sous sa proposition, au tout début de notre longue aventure, que nous prenons plaisir à s'inventer des "sex-tape". Bien sûr que je me masturbe encore en regardant en action, nos mains, nos bouches et nos parties intimes. J'en reparlerai dans un autre billet de ce fantasme de filmer nos ébats. Revenons plutôt au sujet de base de ce texte, soit, nos rencontres en public. Bien sûr que tout ça est d'un commun accord. Ne croyez pas que c'est le patriarcat qui décide de où et comment avoir du sexe. Cette femme ronde, elle m'a fait part de plein de fantasmes qu'elle aimerait réaliser. Comme je suis plutôt un soumis dans la sexualité, disons que j'essaie de rendre possible ses désirs hors de l'ordinaire.. et je m'en complaît énormement.. n'ayez crainte! Il y a une phrase que j'ai déjà entendue de.. vous allez rire.. je ne me souviens plus de sa provenance.. mais c'était un éminent personnage du paysage public québécois. Les mots étaient comme suit; "dans la vie intime de la chambre à coucher, lorsqu'une femme vous demande de réaliser un certain désir sexuel, vous ne pouvez pas refuser. Faites-fi de votre dégoût et de vos inhibitions, lancez-vous même si vous n'aimez pas ça"! Woooow! Et j'essaie de maintenir ce leitmotiv pas trop loin de mon conscient! Mettons que grâce à cette "obligation", j'ai eu la chance d'essayer des petits trucs sexuels que je vous partage au travers mon blogue! En fait, j'imagine que ma vie sexuelle n'a pas son pareil. J'ignore ce que mes compatriotes vivent et vécurent de ce côté de l'intimité. Tsé, le désir de se comparer doit être inné chez le genre masculin. Je proclame que j'ai des aventures hors de l'ordinaire car je n'ai aucune idée de ce que c'est l'ordinaire. Je pourrais considérer que la normalité, dans mon éducation, est la relation monogame hétéro pour la vie, du sexe pour avoir des enfants.. mettons. Je sors de ce cadre un petit peu, j'ajoute des expériences qui vont me suivre toute la vie! Allez-y, faites comme moi, émancipez-vous dans cette nature, urbaine et sauvageonne, qui nous est offerte! Merci, comme à l'accoutumée, pour votre passage sur le blogue!
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