165- Retour vers le 004 (25JUIN25 1/1)!

Hum. Même après 35 ans, la chanteuse québécoise qui m’a fait chavirer vers les douces rondeurs (et les plus virulents vallons) reste une source d’admiration qui traverse les décennies sans prendre une ride. Time out. On ne va pas plonger tout de suite dans le vif du sujet. Avant tout, je dois vous rappeler que la série « Retour vers le » est une relecture de mes vieux textes, que je dépoussière et remets au goût du jour.

Si vous saviez à quel point je grince des dents, comment mon souffle se coupe net à la relecture, et comment la honte me tord les boyaux en parcourant mes vieilleries littéraires… Je vous jure qu’il y a eu de l’évolution depuis ! Évidemment, mon amour propre m’interdit de laisser ça tel quel. Alors, allons-y, retapons un ancien texte avec mes tripes d’aujourd’hui. En passant, prévoir quinze minutes pour la lecture de ce billet en entier.. oui oui !

Mais avant de me lancer dans cette opération délicate d’auto-chirurgie textuelle, laissez-moi vous entraîner dans ce side quest : vous montrer tout le boulot qu’il faut abattre pour qu’un texte de blogue arrive, tout beau, tout chaud, prêt à être publié. Grosso modo, en gardant la tête froide, je dirais que ça prend un bon huit heures de travail (non consécutives, on s’entend). Et j’adooooore ça. C’est devenu une seconde nature. Même si je sais que la lecture est en perte de vitesse, dans ce monde saturé d’images-éclairs, cette junk food visuelle qui mène doucement au diabète de l’imagination…

Partager, à travers mes mots, cette passion pour mon gros fantasme, c’est un effort d’introspection monumental, mais jouissif. Ça garde la flamme vive. Hélas, depuis que j’écris ce blogue, les rencontres se font rares, pour ne pas dire inexistante… Est-ce que j’essaie de compenser ce manque avec l'écriture ? Je ne crois pas. C’est plutôt l’intensité des sphères professionnelle et familiale qui me goooobe ma spontanéité. Mais bon… mes désirs, eux, restent toujours aussi bourrelesques… huuuuum !

C'est dans cette veine que nous poursuivons la visite des bureaux administratifs de « Sous la Couverture d'un Intello qui Aime les Rondes » (la CIA-R, Couverture.Intello.Aime-Rondes), pour explorer mon processus créatif d’un billet de blogue.

Chers visiteurs et visiteuses, nous arrivons — je dirais — au plus étrange bureau administratif de toute la boîte. Après le bureau de l’idéation (146), suivi du bureau de la recherche (151) et celui de la planification avec la magnifique Anaïs (155), on poursuit maintenant vers le bureau 165 : la rédaction préliminaire... ou, si vous préférez, l’antre des brouillons.

Sur le mur de droite, on peut lire sur une petite plaquette : Réjean-Loup Thériault, brodeur en chef des premières versions. Le clou de la déco : une feuille dactylographiée, collée de travers sur la porte, où l’on peut lire cette maxime rigolote : « Ici, même les fautes ont le droit d’exister un moment. »
Ne vous laissez pas impressionner par le personnage qui habite cette pièce. Ça sent un ti-peu le vieux garçon et c’est un joyeux fouillis, mais Réjean est un bon bougre. Ce n’est pas un ermite, il a le droit de sortir par lui-même, hahaha !
Ooooooh ! s’exclame une femme derrière le groupe. Ça veut dire qu’il est célibataire ? On peut le dater ?
Hahaha ! C’est possible, mais je dois vous dire que son seul amour, c’est la machine à café. Bon, entrons sans plus tarder. Pénétrons maintenant dans l’espace où les idées prennent forme, trébuchent, s’échappent… puis reviennent, gonflées d’audace. Bienvenue dans le bureau de la rédaction préliminaire. Monsieur Thériault, la visite est là !

L’ouverture de la porte dévoile un espace de travail dans un désordre savamment orchestré. Une vieille machine à écrire trône au centre, mais la vraie pièce maîtresse, c’est un laptop qui semble encore rouler sous Windows 95. La table est recouverte de feuilles froissées, de dictionnaires ouverts à des pages au hasard, et d’un pot Mason rempli de stylos mordillés. Un divan-lit dort dans un coin, orné d’un écriteau qui proclame fièrement : « Siestes créatives autorisées ».

Une grande ombre se lève prestement, tasse de café tiédie à la main, béret posé sur une tignasse en frisottis. Réjean-Loup apparaît pieds nus sous la lumière blafarde filtrée par un store délavé.
Bienvenue dans ma cachette, dit Réjean-Loup dans une phrase au débit feutré, à mots longuement mâchés. Ah, patron ! Vous tombez pile. J’viens de faire sortir un paragraphe que je gardais coincé depuis mardi dernier… Il était pris entre deux souvenirs et un fantasme flou. Vous voulez lire ? Attention, c’est encore chaud, ça colle aux doigts.
Montre-moi ça...
Réjean-Loup tend la feuille tachée de café. Le papier crépite sous mes doigts. C’est tout chaud.
— « Elle s’était penchée pour ramasser un trombone tombé, mais lui voyait déjà l’ourlet de sa jupe remonter comme une promesse silencieuse. Il posa la main sur sa hanche, large et chaude comme une colline de tendresse. Anaïs ne dit rien. Elle l’encouragea d’un soupir bas, presque chuchoté contre les boiseries du bureau. Ses doigts glissèrent, curieux, entre deux plis du chemisier déboutonné, là où la peau commençait à raconter des secrets… et s’arrêtèrent juste au bord du vertige ».
On entend aussitôt un souffle retenu dans l’assistance… ou plutôt chez les visiteuses.
Oufff… t’as entendu comment il parle de hanches ?
J’en ai des frissons entre les cuisses, j’te jure… il me donne envie de postuler ici, moi aussi !
Une autre glousse doucement, visiblement émue :
Il est pieds nus, mais il marche direct dans nos fantasmes !
Réjean-Loup, du fond de la pièce, sans détourner les yeux de sa machine à écrire, sourit :
Ce n’est qu’un brouillon, mesdames… imaginez quand ce sera bien lissé.

À peine le temps de replier le papier qu’on entend des pas feutrés. Une silhouette familière approche, balançant des hanches qu’aucun bureau, même renforcé, ne pourrait résister. Anaïs. L’unique. Jean moulant, crop top entrouvert sur une poitrine audacieusement installée, hanches débordantes d’amour, regard vif et lèvres encore brillantes de gloss cerise.
Je vous dérange ? dit-elle d’un ton faussement naïf, un dossier à la main.
Réjean-Loup se redresse, légèrement rouge sous son béret. Il recule sa chaise d’un coup de genou — un réflexe réservé à elle seule.
Pas du tout. Tu arrives pile. Je venais justement de te… mentionner.
Elle s’approche, lit d’un œil curieux le paragraphe que je tiens encore. Puis, elle lève un sourcil :
Mmh… un fantasme flou, hein ? Je commence à croire que ce bureau a une mémoire tactile...
Elle pose doucement le dossier sur la table, mais s’y appuie aussi, hanche en premier. Lourdement. Lentement. Réjean-Loup ravale sa salive. Elle est si proche que j’entends le froissement de sa peau sous le jean.
Et moi, j’peux ajouter une note de bas de page ? murmure-t-elle, mi-taquine, mi-provocante.
Dans le coin, les visiteuses ne tiennent plus en place.
Elle est incroyable, chuchote l’une.
T’as vu comment elle le fait fondre juste en parlant ?
Ils ont une tension sexuelle qui ferait buguer un détecteur de fumée !
Réjean-Loup attrape un stylo, l’air de rien, et griffonne quelques mots sur un coin de napkin. Je jette un œil amusé :
« Note à moi-même : déplacer le bureau d’Anaïs… plus près ».
Je vous laisse, patron, je retourne à mes trouvailles, dit Anaïs en glissant une main sur le haut de mes fesses !

Ne vous laissez pas trop surprendre par Anaïs, mes chères visiteuses, ajoute lentement Réjean. Je ne suis qu’un poète de soirées open-mic et ancien concierge dans une bibliothèque de cégep. Avant que vous ne vous fassiez trop d’idées… j’ai la cinquantaine, et j’adore mon boulot ici. Je suis à ma place.
Si vous lisiez les courriels qu’il m’envoie… trop de métaphores inexplicables, dis-je tout sourire de la dernière caresse furtive d'Anaïs. Depuis qu’il a été embauché ici, on le définit comme un écrivain de chaos littéraire.
Ne vous inquiétez pas, les amis, mes collègues ne sont pas intimidants. En gros, je ne corrige rien de ce que je ponds. Je crache des phrases. Dans ma tête, c’est comme extirper mes concepts d’un rêve flou.
On accepte tout ce qui sort de sa tête, que j'ajoute pour souligner mon appréciation du personnage. Les brouillons peuvent être moches, parfois absurdes, mais c’est toujours bien vivant.
Ooooh oui ! Un bon brouillon, c’est un texte qui sue, qui pue un peu, mais qui respire.
Voilà pour ce qui est de la rédaction préliminaire. Merci Réjean. Je crois que tu as gagné des admiratrices !

Réjean-Loup replace son béret, jette un clin d’œil complice aux visiteuses frémissantes, puis se racle la gorge comme un troubadour en début de récital.
Mesdames… pour vous qui frémissez à l’encrier de mes élans, voici un petit poème : 
> Si vos cuisses frémissent quand j’écris à demi-mot,
> Imaginez ce qu’il se passe quand je pose le stylo.
> J’ai le verbe sensuel, mais les mains savent lire…
> Et mon bureau est grand, si vous voulez y écrire.
Il sourit, l’air faussement modeste, pendant que quelques visiteuses gloussent et qu’une autre murmure.
— Je signe où la promesse d'embauche, déjà ?

Hihihi ! Je reviens maintenant à la raison première de ce texte, soit la relecture et la réédition du billet numéro quatre, accouché quelque part en décembre 2022. Mais non, je n'ai pas besoin que Réjean-Loup y mette son grain de sel ! Ce texte numéro quatre vous présente une chanteuse qui est, très certainement, le point némo de mon amour pour les rondeurs. Bon, on s’entend : elle n’était pas considérée comme grosse, mais plutôt… chubby, ou toutoune, comme on disait. Joues rondes, mignons bourrelets… elle est tout simplement adooooorable !

Sans plus tarder, je me lance.


Au fil du temps, je peux vous dire qu'une nouvelle correspondance commence presque toujours par la même question : « d'où vient ce désir pour les femmes rondelettes » ? Je vous jure que je ne fais jamais de copier-coller pour répondre. Chaque fois, c’est un élan d’introspection, suivi d’une bonne dose d’improvisation. Au gré des discussions, ma réponse se peaufine, se nuance, se colore un peu plus. Petit à petit, cette espèce de « self-introspection » m’a ramené (ou fait redescendre…) toujours plus près de mon adolescence.

Ben oui… j’avais une tante aux seins énormes et ventre plutôt pomme, qui me faisait carrément trembler de feelings. À ce jour, je ne sais toujours pas si elle était consciente que cet attribut généreux pouvait émoustiller sa joyeuse bande de neveux lors des baignades d’été... hihihi! À part matante, d’aussi loin que je me souvienne, il y avait une chanteuse rondelette qui est venue prendre le Québec par surprise avec un premier hit musical devenu légendaire, propulsant la pop québécoise dans les hautes sphères des chansons éternelles.

On recule jusqu’en 1988. « Bye Bye mon Cowboy » tourne en boucle sur tous les palmarès, le Québec surfe sur la vague Mitsou... pendant que moi, je chavire. Littéralement. Je suis en amouuuuur !

Dans ces années là.. la nuit, je rêvais à la fameuse jeune chanteuse, je regardais son fameux vidéoclip sur Musique Plus avec beaucoup de déééésir. Chaque fois que je voyais son petit kit blouson noir, bottes et jupe assorti, je capotait ma viiiiie! D'ailleurs, ce fameux ensemble emblématique, incluant le chapeau, que portait Mitsou dans le vidéoclip, il est maintenant exposé au « Temple de la Renommée », soit, au Musée Canadien de l'histoire à Gatineau, en 2025. 

Sont venus ensuite les autres succès de son premier album El Mundo : La Corrida, puis Les Chinois... OMG. Ce vidéoclip-là, je pense que c’était ce qu’il y avait de plus seeeexy à mes yeux d’ado en ébullition. C’était fou le sex-appeal qui s’en dégageait ! Pssst ... je viens de le revoir sur YouTube... bon, oui, le son et l'image ont vieilli — un peu comme du vin de dépanneur — mais les feelings anthologiques sont encore là, solides comme jamais !

Évidemment, j’ai remplacé les posters de Samantha Fox dans ma chambre par ceux de ma nouvelle coqueluche blondinette aux courbes voluptueuses. Et puis... le climax arrive. L’incroyable vidéoclip qui passé à l’histoire, celui qui a déclenché un incendie dans mon imaginaire : Dis-moi, dis-moi. L’impudique star y dévoile un pan de son audace, et moi, je suis totalement conquis. Le cover sophistiqué de l’album Terre des Hommes révélait un côté tellement provocant que, si le clergé avait encore eu de l’influence, ils auraient excommuniée Mitsou sur-le-champ, bible et crucifix à la main.

Et un jour, j’ai appris que notre Baby Spice québécoise était 100 % pure laine montérégienne, née sur les rives du Richelieu ! Un nouvel album voit le jour Le Yaya, avec une pochette à couper le souffle et une chanson qui, encore aujourd’hui, me donne des frissons de chaleur : C’est chaud. Non mais… c’est m-a-l-a-d-e à écouter. Mettons que ça éveille des envies torrides, sans préavis ni avertissement parental.

Par le truchement divin de la télé, j’ai eu la chance incroyable de croiser mon fantasme… en mode présentiel ! Alors que Mitsou animait une quotidienne estivale avec Jean-Michel DufauxC’est chaud, comme LA fameuse toune — la production est venue tourner une émission pas loin de chez moi. Bien sûr que j’ai dit oui pour faire de la figuration dans le public… en totale admiration enthousiasme j'étais !

Wooooooooow. J’ai trippé ma vie. Avoir la plantureuse chanteuse et animatrice à quelques mètres de moi pendant des heures… c’était MON après-midi. Le premier choc : Mitsou est petite. Le deuxième choc : elle portait un top blanc laissant deviner sa fameuse craque, et une jupette assortie qui laissait échapper un petit bourrelet absolument délicieux. J’étais en transe. C’était la Mitsou de mes rêves, dans mes yeux, dans ma tête… paaaaartout ! Les hormones dans le tapis, disons que j’en ai vidé quelques boîtes de Kleenex en mode auto-caresse. Emmanuelle de Bleue Nuit pouvait retourner se recoucher.

Bref, je ne vais pas tergiverser sur tout son parcours exceptionnel jusqu’à aujourd’hui — je suis certain que vous en savez autant que moi. Tsé, tout le monde l’a déjà entendue à la radio ou vue à la télé et connais des pans de vie sur sa carrière dans la mode et en tant que femme d'affaires. Disons que quand elle s’est éloignée de la chanson, je l’ai un peu tassée de mon radar affectif. C’était peut-être à l’époque où la gang de Brandon Walsh commençait à titiller mes désirs de rencontrer des filles... du genre de Tori Spelling dans Beverly Hills 90210, ou encore Pamela Anderson dans Alerte à Malibu. Et plus tard... probablement que Marie-Chantal Toupin a su devenir la nouvelle sexe-symbole, holala oui : Regarde-moi dans la craque... euh… non… dans les yeux !

Mais en y repensant encore plus fort… en creusant mon ciboulot au marteau-piqueur émotionnel, je me rappelle maintenant d’une autre artiste qui m’a touché dans le fond des tripes. Eh oui, il y a eu la pétillante Julie Snyder, qui animait L’enfer, c’est nous autres. Faut dire que Julie, avec son look éclaté et sa drive de tornade, elle marquait l’imaginaire. Mais honnêtement, celle qui m’a vraiment pris par les feelings… wooow… rien qu’à y penser, cette attirance me remonte en surface, c’est.. Chantal Lacroix.

Je crois l’avoir découverte à travers une émission estivale qu’elle animait, Partis pour l’été, si ma mémoire ne me joue pas des tours. Disons-le franchement : j’ai eu un vrai coup de foudre. Chantal, c’est pas juste une animatrice, c’est une boule d’énergie bienveillante avec un charisme immense qui me chavire encore aujourd’hui, en 2025. On dit souvent qu’elle projette l’image d’une femme accessible, dynamique, attentionnée… mais moi, ce que je voyais – et que je vois toujours – c’est une sensualité toute québécoise : visage lumineux, épaules solides, une chaleur humaine à faire fondre la neige de février et une silhouette presque… pulpeuse. Hooooolala… j’en frissonne encore, pour vrai.

Et malgré ce béguin à haut voltage, j’ai jamais collé de poster de Chantal Lacroix sur les murs de ma chambre de jeune adulte pas intéressé à rencontrer des filles de mon âge… hihihi ! Mes sentiments pour Chantal devait être quelque chose de trop intime, trop personnel, comme un crush qu’on garde secret pour mieux en savourer l’effet. 

Au final, dans les années 1990 (pas plus aujourd'hui), Mitsou Gélinas n’était pas ce qu’on appelle aujourd’hui une femme ronde – pas dans le sens des courants body positivisme. Elle collait davantage aux standards sexy de l’époque : mince, blonde, fougueuse, avec des courbes bien placées dans une silhouette quand même relativement fine. Cela dit, elle avait des formes – notamment une poitrine généreuse – qu’elle savait mettre en valeur avec un flair de provocatrice aguerrie, que ce soit en vidéoclip, en shooting photo ou en direct à la télé. Huuuum, oui !

Pour bien des jeunes (et moins jeunes) à l’époque, Mitsou dégageait une sensualité assumée, pleine d’audace, loin de l’image de la bonne fille sage. Faut dire aussi qu’elle vient d’une famille showbiz avec un pedigree hors du commun. Et savez-vous quoi ? Même si l’histoire ne classe pas Mitsou dans la catégorie des femmes rondes, pour moi, elle reste une femme provocante, à la silhouette renversante, qui m’a profondément chamboulé.

Je peux même ajouter, en guise de bouquet final, que vous connaissez désormais les racines de mes désirs bien en chair. Il aura fallu une bonne décennie après l’ouragan Mitsou pour que je laisse mon cœur — et d’autres parties de moi — se jeter corps et âme sur les femmes très rondes. N’oubliez pas… si vous avez envie de partager vos propres feelings, ou simplement poursuivre la conversation, écrivez-moi sans gêne. Merci d’avoir pris le temps de lire ce long et gros texte – au propre comme au figuré !


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