125- Verges sans football (06MAI24 1/1)!

À propos de cet admirateur de femme bien en chair qui cogite ce blog, croyez-vous que son esprit est assez obtus pour ne regarder que dans une direction? Bien sûr que non. Mon histoire, ton histoire, leur histoire.. c'est la somme de toutes les expériences que chacun accumule dans son individualité, dans sa collectivité et dans la discrétion du backstore d'un entrepôt mal éclairé. Pour ce texte, je vous emmène justement, dans ce coin ultra-hyper-secret de mon existence, une histoire que je n'ai probablement pas racontée à peeeeersonne! Dans ce récit qui suivra, les femmes rondes, il n'y en a pas, niet, nada. Des feelings, je dois dire qu'il y a eu quelque chose qui s'y rapproche pas mal. Rappelez-vous qui je suis, avec la lecture ou la relecture du billet numéro 89, "Des statistiques intimes", publié une année avant celui-ci. Il y a quelque chose sur ces statistiques personnelles qui représentent bien cette exploration hors de l'ordinaire. Vous savez bien que ce n'est pas parce que je suis dans la nature que je ne me masturbe pas. Je me laisse plutôt guider par mes pulsions du moment, par la pression dans mes tuyaux, selon l'envie insatiable de me faire du bien. Je ne fume pas, je ne me drogue pas, je ne prends pas d'alcool, je me masturbe, ça oui! Si la masturbation rend sourd, ouf, il y a longtemps que je serai 100% malentendant. Assez de ces allusions aux plaisirs solitaires, suivez-moi dans le vif de l'histoire.

Il y a de ces journées d'automne où le beau temps ainsi qu'une relative chaleur glane notre présence dehors, en tenue estivale, soit culotte courte et t-shirt. De plus, c'est ce moment où les feuilles des arbres offrent un kaléidoscope de couleur agréable. Pourquoi demeurer au boulot lors de ce genre de période de lunch alors que la nature m'appelle à grand coup de cor des Alpes sans crier Ricola! Prendre congé de mes collègues ouvriers l'espace d'une heure ne peut que me faire du bien, surtout qu'ils passent leur temps qu'à parler d'actualité en ajoutant leur saveur d'esprit fermée sur les nouvelles réalités d'un monde qui s'éloigne de plus en plus de l'univers qui les ont façonnés. Où vais-je alors? Je connais ce parc patrimonial, uniquement ouvert en été. Il est composé d'un petit espace vert derrière un minuscule bâtiment d'accueil. Cet emplacement est sur le bord d'une route très passante, où personne n'a l'idée d'y faire halte, genre, "tiens, un lieu historique fermé, je vais m'y arrêter". Il y a juste moi qui a cette idée.. oups.. presque!

J'entre par l'allée gravelée, je me place près d'un van style Econoline qui semble tiré de la série "The A-Teams". Peut-être que cette camionnette fait partie du monument historique? Avant de sortir de la voiture, j'ai le temps de remarquer que les tables de pique-nique sont entreposées pour l'hiver et que les panneaux anti-vandalisme couvrent déjà les ouvertures du pavillon d'accueil. Un banc isolé de la route fera l'affaire pour accueillir mon derrière et mes miettes de sandwich. Les ratons s'occuperont de nettoyer les traces de ma visite. Enfin, cette sainte paix tant désirée! Je me promène, non pas sur les sentiers, plutôt sur les réseaux sociaux, tout en mangeant et "stalkant" la petite vie de mes pairs. Tout ça, en mastiquant une mini carotte, qui est quand-même quelque chose de satisfaisant. Ooooooooh, la photo style boudoir d'une connaissance virtuelle vient me tirer une.. érection.. que j'entretiens en caressant celle-ci par-dessus mon short! Je cède, je libère mon pénis par un trou de jambe du short. Les caresses sont bonnes, le gland est déjà violet qui est également le signal que je ne peux plus m'arrêter. Tant de bien que de mal, je relève ma queue pour me masturber à grand coup de poignet.

Chaque toucher vient me chercher un choc de feeling que je connais bien! "Je peux t'aider"? Une poussée d'adrénaline s'empare de mon corps, une explosion nucléaire éclate dans ma tête, engourdissant les membres. C'est un homme qui a parlé, sorti de nulle part, avec cette proposition hors de l'ordinaire. Au premier coup d'œil, c'est certain qu'il est loin dans la cinquantaine. Chauve sur le dessus de la tête, obèse, plus petit que moi, t-shirt de syndicat de la construction, pantalon cargo.. un homme que je n'aurais jamais remarqué avant aujourd'hui! Bien sûr que je suis tétanisé par la proposition impromptue. Mon pénis dans la main droite, mon téléphone dans la main gauche. Sans que je puisse faire quoique ce soit, il s'assoit à ma droite et remplace ma main par la sienne.. ooooh.. ma queue ne dit pas non, alors que ma tête crie "WHAT THE FUCK"!
- J'aime ça les pénis, avoue l'homme qui n'a d'yeux que pour cette pièce de mon anatomie.
- Hum hum!
- Toi, est-ce que tu aimes les pénis?
- Hum hum, je réponds en m'étouffant avec ma salive!
- Tu as une belle queue, m'annonce mon voisin en se caressant à son tour. Veux-tu voir la mienne?
- Hum hum, dis-je.
- Viens dans mon camion, on va être plus à l'aise.
- Hum hum!

Shit.. qu'est-ce que je fais là? Le gars me parle comme si j'avais cinq ans et je le suis sans retenue dans cette aventure. Son "camion" me rappelle la scène d'Elvis Gratton où ce héros fédéraliste invite une adolescente sur le bord de la route, pour lui faire des propositions d'ordre sexuel. La porte de côté glisse, l'ouverture m'invite dans un intérieur à une banquette, les parois entièrement tapissées d'une moquette jaune.. comme dans les films! Je me sens pris au piège lorsque la porte se referme, mais soudainement très excité. J'enlève mon short, chandail et bobettes sans me poser de question, mon érection se balançant au gré de mon déhanchement. L'homme bedonnant ne se laisse pas prier de se déshabiller, je vois bien que ce n'est pas la première fois qu'il s'embarque dans ce genre d'aventure. Ooooooooh! De toute ma vie, je pense que c'est la première fois que je vois un vrai pénis en érection.. et queeeeeel pénis hors norme! Il doit bien mesurer cinq pouces maximum, MAIS, sa largeur doit faire mon avant-bras.. ça c'est hors norme! Je m'étends de tout mon long en laissant l'homme me transporter par mes feelings! Il s'occupe sans relâche de ma verge; masturbe, flatte, tournoi, enserre, relâche! Il ose une chose à laquelle je n'étais pas prêt. Il approche sa bouche entrouverte de mon gland.. "NOOOOOON".. dis-je avec un mouvement de recul. "Je ne suis pas wheeling pour ça.. ma première fois.. masturbe-moi svp".

Pendant qu'il respecte mon choix, j'ose quelque chose que je n'aurais jamais cru faire avant aujourd'hui, je TOUCHE UNE QUEUE AUTRE QUE LA MIENNE! Et.. c'est quelque chose.. avouons-le.. de capotant! Toucher un pénis pour la première fois, c'est comme toucher du velours, du satin. C'est doux, c'est imparfait, c'est dur, c'est chaud. Et le plus débile dans tout ça, c'est de sentir le pénis s'animer sous mes doigts à chacune de mes caresses! Ooooh my god.. "attention, je vais éjaculer", dis-je devant ce traitement princier!
 Il reprend contrôle de son pénis tout en masturbant le mien et presque à l'unisson, nous éjaculons une décharge de plaisir.. la sienne se réfugie sur mes côtes. Je replace mes doigts sur la hampe de sa verge, voulant savoir s'il avait des pulsations incontrôlables, comme moi, après l'orgasme. Mais je ne m'y suis pas attardé longtemps, un liquide bouillant glissait du long de mes hanches. Le gars me tendit une guenille pour m'essuyer avant de me rhabiller.. presque honteux.
- Si tu veux me revoir, je peux te donner mon numéro de téléphone.
- Hum hum, tout en sachant que je ne désire pas retenter l'expérience, vraiment honteux de m'être laissé embarquer dans cette galère.
Alors, sans histoire, nous avons quitté chacun de notre côté, les dernières effluves de l'orgasme s'échappent avec les dernières croquées dans ma pomme, ce fruit interdit.

C'est débile comme histoire! Même si j'ai adooooré toucher le membre dressé de l'inconnu, je sais que je suis fuuuuull hétéro. Pourtant, ce que je viens de faire, ça entre complètement en contradiction avec les idées préconçues du monde hétéro normal que l'on m'a inculqué. Je dois dire que l'expérience que je me suis donné le loisir à découvrir, c'était plutôt pour répondre à un sempiternel désir masculin; comparer nos pénis! À part les vestiaires sportifs, je ne sais pas quels autres moyens répond à ce désir bien enfoui. Les films pornos, je vais vous le dire, ce n'est vraiment pas la place pour se comparer; sinon, je serais forcé de croire que 90% des hommes se rasent les poils pubiens.. hihihi! Maintenant que j'ai vu de visu, pour vrai, un pénis en érection, que je l'ai touché live, je suis obligé d'écrire que cette partie intime que l'on cache sous une double couche de tissu, a un pouvoir d'attraction re-dou-ta-ble. Est-ce que ça fait de moi un homo que certains diront? Pas du tout. Selon ce que j'en sais de la nomenclature de la sexualité, je pourrais être catégorisé sous les bi-curieux.. hihihi! Ouin.. cette curiosité.. c'est plus fort que moi! Est-ce que je suis de nouveau prêt à retenter l'expérience? Dans ma tête de cinquantenaire, ben, je ne me ferme à aucune expérience, incluant celle-ci. Vous pouvez me croire, toucher un pénis avec consentement n'est pas péché.. c'est super débile écœurant.. wooooow! Voilà pour l'histoire que je voulais vous raconter, l'extirpant avec plaisir d'un tiroir de ma mémoire. Comme d'habitude, merci d'avoir parcouru mon fait vécu!


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