090- Correspondante avec bénéfices (18MAI23 8/6)!

Revenons sur cette histoire que j'ai entamé depuis.. une éternité. Cette aventure relate mon premier vrai crush de femme ronde avec qui j'ai fais connaissance, flirté, rencontré, baisé, aimé.. vous voyez le genre! Si vous êtes nouveau lecteur et nouvelle lectrice sur ce blogue, lisez tout d'abord les billets 082 et 083 pour me connaître, qui sont une mise-à-jour du billet numéro 001. Puis, pour l'histoire de correspondante avec bénéfices, il y a toute une série de billets à lire; 55-60-66-70-75-80-85.. ouf.. c'est votre lecture estivale qui n'a rien d'Arlette Cousture ou de Michel Tremblay. Ça ne vous tente pas de vous taper le prequel de ce billet? Ok, je vous en fais un minuscule résumé. Dans le coin de 2015, j'ai découvert le site de rencontres qui allait me permettre d'explorer davantage un fantasme qui m'anime depuis des siècles, les femmes rondes. À peine inscrit que je reçois un mémo d'une femme qui me tombe dans l'œil. Il s'ensuit de la correspondance, une rencontre et un coup de foudre. Au travers des échanges de feelings à divers lieux, elle m'invite chez elle, pour augmenter la fréquence de nos rencontres. Parce qu'elle est célibataire depuis une quinzaine d'années, cette aventure la lance dans la recherche d'un amoureux, qui finira par mettre un terme à notre amitié si particulière!

Poursuivons l'aventure qui a poussé les bases de tous mes désirs modernes.. vraiment. Au dernier billet, j'expliquais que l'escalier intérieur de la maison de mon amie était mon Stairway to Heaven.. ce qui se passait au rez-de-chaussée n'avait pas son égal à ce qui se passait à l'étage! Je ne vous décrirai pas les moindres faits et gestes chaque fois que nous montions en haut (lire le billet 080 entre autres), mais définitivement, ce furent des moments riches en ressenti. Tu sais qu'un moment était intense lorsqu'après une dizaine d'années, tu es capable d'en ressentir les effets en évoquant ces souvenirs.. hooooolala!  Chaque fois que je voyais mon amie monter l'escalier, je savais que j'allais me retrouver au septième ciel des feelings. Si c'est ça le paradis, "Seigneur, rappelle ton fils vers ton Royaume, immédiatement".. boaf.. si je continue à écrire.. dites-vous que l'être supérieur ne veut rien savoir de mon âme pécheresse.. hihihi! 

Je me rappelle de cette fois où nous étions en petite tenue et que le soleil d'automne ou de printemps chauffait l'air.. assez pour que nous puissions être dehors, sur le balcon de l'étage. Nous placotions sur nos chaises en regardant l'horizon.. ou les cours arrière du voisinage. Le balcon n'était pas orienté sur le côté bucolique de la rivière. Le soleil réchauffe notre peau exposée, nos pieds nus et nos idées obscènes. Je lui prends amoureusement la main, cette femme habite tellement mes pensées. Toucher qu'un centimètre carré de son corps me fait l'effet, j'imagine, d'une dose de psychotrope. Je vois la vie en rose, mes sens se placent en mode réception maximale, mes pupilles se dilatent, ma verge se gonfle déjà prête à s'exposer aux plaisirs. Justement, ce ne fut pas long que l'hôtesse délaisse ma main et libère cette partie de mon anatomie! Hoooooolala, essayez de vous imaginer que la femme de vos rêves les plus fous vous branle lentement sans quitter des yeux ce bout de peau durcie. J'ose placer doucement une main libre sur celle de ma partenaire et je découvre un feeling capotant quand même, essayez ça; touchez la main de votre partenaire lorsqu'il/elle caresse votre pénis.. ouf.. il/elle sera déstabilisé au début, mais si les doigts se croisent.. c'est coooooochon.. se branler à l'unisson! Bon. Bien que mon amie soit libérée de plein de tabou, elle n'aime pas être aperçue en petite tenue, alors que moi.. je m'en fiche un peu que les gens voient la couleur de mon slip. On se lève pour entrer, mais je ne peux résister à la plaquer sur le garde-corps, chuchotant quelques mots coquins à l'oreille, ma queue coincée entre ses fesses.. mais.. ça n'ira pas plus loin.. nous avons passé à la chambre.. hihihi!

Je vous laisse l'imaginer, lorsque l'on passe au lit, le plus grand fun est de toujours caresser un coin tapissé de terminaisons nerveuses, de lécher un bout de peau, d'embrasser ce qui peut l'être, de pénétrer une partie intime.. de ne pas arrêter au nom des feelings et de l'excitation. Toute la gamme de position régulière y passait.. mais le 69 n'avait rien de régulier pour moi.. c'est comme le gros lot de la roue chanceuse.. sans Yves Corbeil à l'animation. Le mood pour qu'elle s'abandonne au soixante et neuf n'y était pas toujours. Quand j'avais la chance d'y goûter, gooooooo! Ma compagne est une femme très ronde, avec une longue chatte et d'énormes lèvres.. huuuum! Je n'ai pas besoin de vous dire que je suis déjà en érection.. et avoir ses parties intimes dans ma face, son jus d'amour qui déborde, ses grosses fesses rondes.. un rêêêêêêêêve pour n'importe quel coquin de mon moule. Je passe les bras de chaque côté des cuisses, je plaque mon nez et ma bouche sur la vulve.. et je lèche sans relâche, pousse ma langue dans le vagin aussi loin que je le peux. Je vais vous le dire bien franchement, et ça ne reflète que moi, les feelings de la fellation en mode 69, c'est secondaire. Je dirais que d'avoir la vulve dans cette position est c-o-m-p-l-è-t-e-m-e-n-t cochon que ça bousille tous mes sens, à en oublier les jeux de langue de ma compagne! Ooooooooh.. juste y penser.. vous comprenez..

Laissez-moi reprendre mes esprits.. je ne suis plus capable d'écrire..

C'est intense que de me rappeler d'un 69 avec une grosse femme. Je lui ai déjà demandé qu'elle se mette en califourchon sur mon visage pour que je la mange en mode soumis, du facesitting comme on dit, mais nous avons sorti cette idée pour d'autres feelings. À propos de facesitting, mon hôtesse m'a expliqué que oui, c'est pervers comme position, mais le ressenti serait.. passable.. de son avis, pour l'avoir déjà essayé. Huuum, je soupçonne que l'expérience ne fut pas agréable pour des raisons d'estime personnelle. En tout cas, un jour, je trouverai bien une partenaire qui voudrait me donner cette chance de vivre ce fantasme.

Ma compagne m'a également fait vivre un autre feeling que je n'avais jamais expérimenté avant. Après quelques échanges de mots doux sur l'oreiller, mon amie se lève et quitte la chambre. Huuum.. il y a sûrement quelque chose que j'ai loupé? Une envie pressante probablement? Elle n'a pas quitté la chambre marabout.. au moins, c'est ça. Tout ça pour dire qu'elle revient au lit après quelques minutes, un condom à la main. What? Sans poser de questions, elle se penche sur mon pénis et y déroule la capote. Mais, je suis toujours perplexe alors qu'elle s'installe à quatre pattes devant moi, le dos courbé, les fesses bien ouvertes. Je ne fais pas attendre, ni mon amie, ni ma queue.. et.. surprise.. une main pousse le gland vers.. l'anus! Wooooow! Jaaaaamais je ne m'étais aventuré par là. Bien que parfois, lors de la pénétration en levrette, je pousse un doigt sur l'anus.. hihihi! Personne ne s'en est plaint jusqu'à maintenant! Si je reviens au cas présent, la seule chose que je connais de la pratique, c'est d'y aller lentement au départ, question de détendre l'orifice. Puis, d'augmenter la cadence et la profondeur, tirer des grognements de la belle, tenter de comprendre pourquoi il y a beaucoup d'adeptes de la pratique. J'ai déjà entendu cette théorie qui dit que, passé cinquante ans, les couples (l'homme surtout, dans les couples hétéros) se lancent dans la découverte de l'anal pour changer des habituelles positions. Dans mon cas, il faut croire que pour cette première, j'étais trop dans la technique pour que je me rappelle des sensations, j'ai oubliéééééé! C'est quand même énormément cochon de l'avoir fait une première fois! À suivre, un jour!

Je me souviendrai à jamais d'un petit moment anodin pour tous, mais pour elle, ce fut tout un effort. Si vous vous rappelez, dans les billets précédents de mon histoire, je vous expliquais qu'elle avait honte de son gros ventre. Elle avait même été torturée à ce propos par un ancien conjoint. Depuis, elle gardait toujours une camisole ou une nuisette lorsque nous avions du sexe. Dès que le vêtement en question laissait paraître un bourrelet, elle le tirait par le bas. Lorsque j'ai su tout ça, jamais je n'ai tenté quoi que ce soit pour le retirer. Une après-midi typique de relation intime chez elle, nous sommes assis en indien sur le lit, moi derrière elle à lui caresser le dos, les épaules et les cheveux. Alors que je m'apprêtais à replacer la camisole sur son ventre à découvert, elle lève les bras pour que je la lui retire.. tout simplement.. à mon grand étonnement! Comme elle est beeeeeeeelle mon amie, les longs cheveux couvrant son dos, les bourrelets que tout le monde trouve disgracieux. Moi je la trouve tellement magnifique! J'entends des sanglots? Hum.. d'où ça vient? Ooooooh je comprends vite, ma très chère amie me dévoile une couche de son traumatisme. Je ne fais rien d'autre que de la serrer dans mes bras depuis ma position, pour un tendre moment qui a duré.. une éternité peut-être? Ce dont je me souviens, c'était extrêmement touchant. Ce fut la seule fois de ma vie où j'ai eu ce privilège d'apercevoir ma compagne entièrement nue.. et ça m'a touché drette au cœur.

Voilà. C'est ce que je voulais vous partager par l'entremise de ce billet. Pour l'histoire de cette correspondante, il ne me reste qu'un chapitre à vous écrire, la fin et son épilogue.. noooooooon! La boucle sera bouclée, je vais devoir passer à autre chose. En y pensant vite-vite, peut-être que de vous raconter toutça est genre, l'ancienne vie que j'expulse pour ne plus jamais y revenir.. un deuil définitif.. noooooooon! Mais non, tous ces moments avec cette femme sont chose du passé, sans remord ni regret. Elle fait partie de ce que je suis devenu et je l'admirerai jusqu'à la fin de mon temps, hihihi! Merci d'être encooooore passé par ici.. je vous adore!

admirateurderonde@gmail.com

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