075- Correspondante avec bénéfices (23MAR23 5/6)!

Cette histoire toute particulière n'est vraaaaaaaaaiment pas terminée. Dans les faits, l'idylle a perduré six mois, si ce n'est pas davantage. Les billets 055 (briser la glace), 060 (au parc), 066 (au boulot), 070 (café noisette vanille) composent ma première vraie histoire amant-maîtresse avec une grosse femme. Je n'oublierai jamais cette merveilleuse amie. Ce nouveau chapitre pourrait se nommer, Funmotel! Ouin! Mais ma cinquantaine est ce qu'elle est, j'ai oublié tout plein de moments de cette magnifique matinée. Comme d'habitude, je fais un effort incommensurable pour vous rapporter le tout le plus fidèlement possible!

Le chapitre de cette rencontre se déroule encoooore en automne, une belle matinée ensoleillée d'un vendredi chaud de novembre (?). Il me semble qu'il y avait des tas de neige d'une bordée accumulée des jours passés. Le tout était en fonte rapide, donnant des airs printaniers au décor de la ville. Ce matin-là, nous nous étions donné rendez-vous en motel pour une.. sieste.. je pense que vous comprenez. En fait, c'est la première fois que je me suis retrouvé à réserver une chambre pour y rencontrer une amie.. avec bénéfice!

La réservation se fait par le truchement d'un comptoir extérieur, comme dans les cantines estivales. Bien sûr, j'ai appelé dans la semaine, afin de savoir si les siestes à 35$ étaient toujours d'actualité. Cigarette au bec, un homme se présente au guichet, semblant aussi magané que Danny Trejo! Paiement cash de rigueur, ce ne fut pas long d'avoir notre laissé passer pour une chambre dans le fond du complexe.. sans bla-bla et small talk! 

Dire que j'étais déjà venu ici pour y assister à un spectacle d'un obscur groupe de musique rock. Je me souviens du couloir des salles de bains, avec cette affiche criarde fait main, "il est interdit d'avoir des relations sexuelles dans les salles de bains sous peine d'expulsion". Ouf.. c'est ici que j'ai compris que c'est un motel de passe!

En tout cas, louer une chambre de motel pour une sieste, la première fois de votre vie, c'est quelque chose d'assez stressant et inusité. "Sieste pour les travailleurs", dit l'affiche lumineuse du motel, visible depuis l'autoroute. Avec le temps, tu viens à réaliser que tu n'es pas le seul à réserver une chambre pour.. ben.. vous le savez.. pour baiser! Ça me fait penser que c'est comme la première fois que tu loues un film XXX ou que tu vas aux danseuses ou encore, que tu entres dans un peep-show!

L'homme patibulaire me donne la clé et marmonne quelques instructions, qu'il doit avoir récité dix mille fois. Il ne veut pas me revoir la bette avant.. les trois heures alloués pour une sieste. Je texte le numéro de chambre à mon amie, qui doit être aussi impatiente que moi. Trois coups de volant et voilà, la chambre des plaisirs est à l'extrémité du complexe.

Un french de retrouvailles avant de déverrouiller. Surprise! La chambre est étonnamment vaste.. et froide. Première étape, remettre le chauffage en fonction. Deuxième étape, se déshabiller sous la clarté qui flirte au travers les stores. Quelle magnifique femme.. si vous seriez capable de m'extirper ces souvenirs que j'ai de sa personne, je pense que vous comprendrez. Une tête de moins que moi, une looooongue chevelure, des seins fermes et géants, de superbes hanches galbées par des généreuses courbes. La perfection pour un admirateur de femme bien ronde, comme moi!

Oooooh my God, elle se met à genoux et abaisse mes bobettes. Cette impatience pour goûter ma verge, qui est déjà chargée de jus, ne semble pas feigne! Elle me tire des gémissements alors que mon gland est pris d'assaut par une langue endiablée.

Vous ne pouvez comprendre le ressenti.. c'est.. fou! J'oblige mon amie à se remettre sur pied et je goûte mon sexe en la frenchant goulument! Je suis repoussé sur le lit, alors qu'elle prend son temps pour retirer son jeans. Elle a gardé un petit déshabillé blanc qui, à mon grand malheur, dissimule son gros ventre. Je me rappelle instantanément qu'elle n'est pas à laisse de dévoiler ses courbes.

En tout cas, je me masturbe en la regardant se déshabiller, ce qu'elle ne me laissera pas faire longtemps. À peine elle eût avalé ma queue.. je l'oblige à se coucher sur le dos. Je veux la goûter à mon tour. Ce jus salé est un mystère pour ma langue. Ooooooooh.. j'y découvre une grosse et longue vulve qu'elle me laisse explorer. Je prends mon temps, le clitoris est capable d'attendre, je dois boire tout ce jus avant qu'il ne se perde. 

J'y promène les doigts.. à la façon que ma maîtresse gigote, elle en redemande! Allez.. j'ose.. un doigt s'enfonce lentement dans le vagin, explorant les renflements ondoyants.. c'est cooooochon! Encore plus profond, j'arrive sur un matelas capitonné que je caresse, gratte et écrase.. ma compagne capote! Je sors un doigt pour y insérer un deuxième, puis trois.. ouf! Et je ne vous raconte pas comment je me suis fait tirer les cheveux lorsque j'ai suçoté son abricot tout en poussant un doigt bien profond dans le vagin! Soudainement, ce jus salé change de goût (l'impression que la saveur s'approche de l'eau douce)et fut davantage abondant. Madame est fontaine!

Le moment de calme post orgasme fut de courte durée, elle s'appliqua à placer un condom sur mon pénis, pour me chevaucher.. oooooh oui.. c'est booooooooon! Toutes les positions y passèrent. Il y a une chose que je ne pouvais faire, lever son déshabillé et frencher. Elle m'explique que frencher est dorénavant réservé uniquement pour un hypothétique chum.

Ouf.. un moment donné, l'anneau du condom me donne des inconforts, au risque de me faire perdre cette fermeté. Je le retire et réclame un 69, une chose que je n'ai jamais vécue.. incroyable que d'avoir cette chatte dans ma face.. huuuuuum! L'érection redevient dure, un autre condom, pour que je la pénètre à quatre pattes cette fois.. la vue de son dos cabré est suuuuuperbe! La pénétration va bon train puis, je ressens de nouveau l'érection se ramollir. Coudonc, qu'est ce qui m'arrive? Jamais ça ne met arrivé avant! Vite, j'enlève le condom. Fichue Trojan Magnum! Mais le mal est fait.

On se rend à l'évidence que ce genre de panne peut arriver, nous ne sommes pas dupe. On demeure sous les couvertures pour se raconter toutes sortes de trucs sur nos vies, jusqu'à ce que le moment de se laver se pointe avec insistance. Bien sûr, elle ne veut pas que je la regarde se doucher. Cette honte de ses courbes la hante continuellement! Alors que les trois heures de grâce arrivent à épuisement. Un petit ménage de la chambre et nous quittons non sans planifier une prochaine rencontre, chez elle, sans condom.. ooooooooh.. j'ai déjà bien hâte! Revenez-nous pour la suite dans un prochain billet!

Heu.. j'oubliais.. je dois laisser la clé de la chambre dans la boîte postale de l'établissement! Rejoindre le patio de bois par la descente pour chaise roulante est un exploit. Toutefois, j'y amène des souvenirs impérissables! Bye bye pour vrai! 

admirateurderonde@gmail.com

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