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176- Retour vers le 006 (29AOUT25 1/1) !

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  Vous me suivez encore dans ce boulot de débroussaillage ? Bon. Vous commencez à connaître mes plongeons réguliers dans mon passé bloguesque .   C’est définitivement comme faire du ménage dans une plate-bande... mais sans jardinière invitée pour me remplacer (voir texte 171 ).    J'ai beaucoup de travail à abattre, les ronces ont envahi ces vieux numéros d’une série que je redécouvre lentement et que je me donne le devoir de la remettre au goût du jour post-pandémie.   Gurrrrlp… la tâche va être colossale : débuter par l'arrachage des mauvaises herbes, pour brasser et enrichir le terreau, puis y planter de nouvelles pousses, ajouter (presque obligatoirement) du paillis et terminer par arroser comme il se doit.    Si vous avez, comme moi, passé le cap des cinquante ans, vous savez déjà qu’il faut sortir les gants de travail pour ne pas abîmer la vieille peau des mains et mettre des genouillères pour éviter de casser les oreilles...

170- Félinerie et cougarattitude (25JUIL25 1/3)!

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Ça vous dirait une petite histoire vraie ? Prendre note que celle‑ci était vouée à rester dans la catégorie «  petites aventures  » — la sempiternelle question de distance oblige. À quand le jour où des génies futuristes inventeront enfin le bidule de téléportation façon Star Trek  ? Avouez que, pour les ingénieurs, ça ne devrait pas être sorcier : on démarre par une dématérialisation — hop, on désassemble toutes les particules subatomiques du corps ; on expédie le tout sous forme de flux énergétique ; on rematérialise à destination, et voilà, copie conforme du bonhomme ! Facile la téléportation quantique ! «  Beam me up, Scotty ! BBW woman can’t wait !  » En attendant que le téléporteur trône dans mon salon, il me reste le char, l’autobus et le métro. L’avion ? Pas encore — sauf si une riche sugar mommy bien dodue veut me payer le billet, combler mes feelings et m’entretenir jusqu’à la fin des temps. Ooooh, arrête tes rêves éveillés, mon fabulateu...