Messages

Affichage des messages portant l'étiquette maxi

158- Dodue filet mignon (10MAI25 2/2)!

Image
Avertissement , ce texte consommera 7 à 10 minutes de votre précieux temps pour sa lecture, hihihi ! Parce que je n'avais pas encore terminé de raconter ma journée mémorable, au café et à l'épicerie — ce moment suspendu où quatre femmes rondes ont traversé l’espace vital d’un admirateur de bourrelets — il est grand temps de reprendre le fil de cette histoire au goût sucré-salé. Si vous n’avez pas encore lu la première partie, faites donc un saut par ici, au texte 157 . Ce que je m’apprête à partager en est la suite directe, tout droit sortie de mon cerveau encore un peu secoué. Je ne vous mentirai pas : il y a un fil rouge, un détail piquant qui relie chacune de ces femmes d’exception. Un truc que j’ai découvert complètement par hasard, un jour où je me suis mis à observer la façon dont l’humain s’amuse à coller des étiquettes sur tout ce qui sort de sa sacro-sainte «  normalité » . Vous verrez. Ce n’est pas anodin. Et ça risque même de vous faire sourir...

087- Maxi.. ben oui.. Maxi (01MAI23 1/1)!

Image
Dans d'autres billets publiés, je vous ai relaté une aventure pleine de feelings dans un McDonald's (044).. et une autre histoire au Ikea (035).. ouf.. j'ajouterai cette anecdote supplémentaire, à l'éééééééépicerie! Psssst.. sachez que ces trois rencontres débordantes de feelings dans un lieu ouvert à tous , ce fut toujours avec la même femme bien ronde.. hihihi! Vous pouvez me croire lorsque je dis que j'ai un faible, une énoooorme faiblesse en fait, pour les généreuses courbes! Bon, quoique ce fût une histoire de plaisir pour tous les sens, ma mémoire n'a gardé que des brides ténues de cette rencontre.. et je ne sais pas pourquoi.. grrrr! Quand même, je dois reculer six ou sept ans en arrière, c'est plus long que le mandat de premier ministre pour Philippe Couillard. C'était une de ces soirées où je faisais trois épiceries pour courir les spéciaux (qui n'existe plus en 2023). Mais non, je ne suis pas un couponeur, je aïs ça ...