Sous la couverture d'un intello qui aime les rondes!

Avec un titre de billet tel que je vous le présente, j'indique d'emblée que ce n'est pas le scénario d'un James Bond porno ou bedon d'une BD inédite du célèbre reporter Tintin qui recherche le dildo de platine de la Castafiore ! Et en passant, lisez le texte 097 avant de passer à celui-ci pour bien saisir toutes mes niaiseries que je vais raconter. Prenez-note que, parce que l'on jase de dildo, c'est connu par la psychiatrie et "prouvé" par toutes sortes d'histoires que j'ai entendu dans ma longue carrière de rat de bibliothèque intiminus curius , alors que les jeunes garçons découvraient une sexualité en consultant les Playboys de leur père, les jeunes filles découvraient les jouets sexuels de leur mère! Et oui, c'est un groooos tabou, plusieurs correspondantes m'ont corroboré l'énoncé par des témoignages en ce sens (guuuuurlp.. vous voyez que nous ne parlons pas uniquement des frasques de Justin Trudeau ou de la...

Délire Intense Libérant des Ondes Divines.. oui.. acronyme paaarfait pour les deux côtés de la médaille de ce joujou pour plaisirs intimes! Ne vous en faites pas, vous comprendrez ce que je veux dire si vous lisez le texte jusqu'au bout. Pour cet article, je vais explorer quelque chose que je trouve personnellement, extrêmement cochon! Attention, si mon exploration d'une sexualité que je ne connaissais pas il y a dix ans (je suis cinquantenaire en 2023) vous perturbe, vous allez devoir vous passer de la lecture de ce billet, ça risque d'être explicite. Mais non, je ne m'en vais pas explorer des fantasmes qui se rangent du côté des déviances (paraphilies)! Certaines correspondantes avec bénéfices m'ont fait découvrir leur jouet sexuel, des gugusses en silicone quoi, certains à batterie, d'autres uniquement phallique! Et de ces joujoux pour les plaisirs féminins, si vous êtes un homme, j'ai le goût de vous mettre au défi de tenir un de ceux-ci dans...

Huuuuum.. cette petite histoire.. je l'ai déterré dans un coin trèèèèèès reculé de ma tête.. genre.. dans le coin de la décharge ou dump . Je ne comprends pas comment ces souvenirs subsistent après presque trente-cinq ans. En voici les brides, comme si j'utilisais la Pensine de Dumbledore. Je me retrouvais au centre-ville de Montréal avec un ami pas mal déluré alors que je n'étais pas encore sortie de mon innocence. Nous devions n'avoir pas loin de 17 ans.. gros maximum. Je me souviens que c'était un après-midi gris de mois de mars genre, la gadoue sur les bords de rue menaçait de submerger nos chaussures. Nous nous étions déplacé avec le duo bus-métro vers la Sainte-Catherine.. pour.. je ne sais plus quelle raison. En tout cas, mon ami de l'époque le savait bien. Nous marchions en placotant, louvoyant sur le trottoir dans la foule de gens pressés. À l'époque, les rues piétonnières, ça n'existait pas.. pas sur la main en tout cas! Tout ça ...

Dans le billet 057, j'y exposais des trucs glanés sur le net pour réussir à rêver érotiquement.. pratiquement sur demande, comme ils disent. Dix jours consécutifs d'essais de la technique pour espérer faire une overdose de rêve cochon. La technique était ainsi; - Penser au sexe toute la journée (c'est plutôt facile à faire, avouons-le) - Vider son esprit (j'essaye de méditer au dodo, m'autosuggérant à faire des rêves cochons et de m'en souvenir) - Ne pas se masturber avant le coucher (ouf.. c'est un combat de tous les jours, mais maîtriser le edging , ça aide) - Penser à un fantasme (j'ai un fantasme récurrent.. faaaacile) - Demeurer nue sous les couvertures (c'est ma plus grande découverte que de dormir nue.. le ressenti du pénis sur les couvertures est wooooow!) - Dormir sur le ventre (i-m-p-o-s-s-i-b-l-e) Je vous laisse ici avec mon expérience de dix jours d'essai à induire une pensée érotique dans mes rencontres quotidiennes avec Morphée...

Il y a bieeeeeeen longtemps, pas trop loin de la majorité, j'allais au secondaire dans une grande ville. Pour quelques bidous, je travaillais dans un dépanneur de quartier qui était localisé dans un mini-centre commercial non loin d'un parc. Le Marché Richelieu sur un bord, une quincaillerie sans nom à l'autre extrémité, dépanneur, nettoyeur, agent d'immeuble, cantine, crèmerie, Mini Putt, club social et club vidéo en composait l'antique offre commerciale. Ce qui nous intéresse dans ce billet, c'est le club vidéo. J'y louais du temps de télé pour les vendredis et samedis soir. Au tout début, on y allait en famille, puis entre frères et finalement.. seul! Il y avait toujours, dans le fond du local, une section de films réservés pour les adultes, dissimulée derrière des portes de saloon à la hauteur des yeux.. Un après-midi, alors que je me retrouve à aller travailler au dépanneur lors d'une journée pédagogique, je me rends au club ...